Flash back de Mona

Mona Fletcher et Catherine Fletcher se promenaient main dans la main dans les rues de Londres. Elles venaient de se réveiller après une longue sieste durant l'après-midi. En tournant le premier coin, ils virent un attroupement de personne sur le pont, avec des voitures de polices, des ambulances et des gens qui prenaient des photos. Curieuses, elles allèrent voir ce qui se passait en se faufilant parmi les gens. Là, au sol, ils virent leurs parents, dans une flaque rouge, qui ne bougeaient pas. Mona tenta de les appeler, mais ils ne répondirent pas. Mona compris tout d'un coup ce qui se passait.

- Grande soeur?
- T'en fais pas Catherine, papa et maman sont juste en train de dormir. On va aller marcher encore un peu et revenir, ils vont surement être réveiller à ce moment-là!

Les deux soeurs se mirent donc en route, aucune d'elles ne savaient que leurs parents étaient morts. Elle croyaient dur comme fer qu'ils étaient simplement endormis pendant très longtemps. Les deux jeunes filles n'avaient jamais connu la mort, elle ne pouvait pas donc pas les pleurer. Elles revinrent 3 heures plus tard et il n'y avait plus aucune trace des voitures de police, des ambulances, des gens qui prenaient des photos ou même de leur parents. Il ne restait que la grosse flaque rouge, que Mona allait plus tard apprendre qu'il s'agissait d'une flaque de sang. Du sang appartenant à ses parents déceder d'un bête accident de voiture, où l'ivrogne au volant avait percuté un chien sur la route, donna un coup de volant et écrabouilla deux passants, qui se trouvaient là au mauvais moment. Les deux passants étant les parents de Mona.

- Où ils sont papa et maman?
- Je ne sais pas, ils sont peut-être en train de nous chercher dans la ville. Allons les retrouver.

Toujours main dans la main, elles marchèrent dans la ville, à la recherche de leur parents, qu'ils ne trouvèrent jamais.

Mona et Christine, âgées respectivement de 13 et 10 ans, marchèrent toutes deux, main dans la main, dans les rues de Londre, à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent, et toujours à la recherche de leurs parents, qu'elles croyaient aussi en train de les chercher quelque part dans la ville et qu'un jour, ils seraient réunis. Mais pour l'instant, manger devenait vraiment important, car les gentils marchands qui leurs offraient gentiments de la nourriture avaient été remplacer par de gros magasins de mode. Et bien qu'elle ait déjà essayé à plusieurs reprise, jamais les employées ne voulaient partager la moindre croute avec les deux petites filles. Mona, étant la plus vieille et de ce fait, la plus responsable savait qu'en ce monde, il fallait de l'argent si on voulait quelque chose. Mais elle n'avait aucun sous sur elle. Elle avait déjà remarqué que quelques personne dans la rue tout comme elle et sa soeur, montraient leurs talents aux passant pour récolter quelques pièces. Malheureusement, Mona n'avait aucun talent particulier et Christine encore moins. Alors elle se rappela que lorsque son papa ne savait pas quelque chose, il arrêtait un passant dans la rue pour lui poser une question. Elle su donc ce qu'elle devait faire et arrêta le premier passant en lui demandant:

- Monsieur, vous savez comment je pourrais gagner de l'argent pour nourrir ma petite soeur?

L'homme regarda la petite fille un instant, se pencha pour l'examiner de plus près et lui sourit.

- Bien sur ma petite! Tu n'as qu'à me suivre et tu gagneras beaucoup d'argent! C'est garanti!

Mona sourit de toutes ses dents et pris la main de Catherine pour suivre le monsieur. Celui-ci les amena dans un endroit qui sentait vraiment fort. Des hommes de tout âge étaient assis autour d'une longue table avec de long bout cylindrique en acier et ils buvaient un breuvage jaune avec de la mousse. Elle pu aussi voir une femme derrière un comptoir qui servait a d'autres hommes le même breuvage jaune. Elle se dit que cette femme devait aussi être dans la rue comme elle, étant donné qu'elle n'avait pratiquement aucun vêtement sur elle. L'homme lui montra une femme qui s'avançait sur la table où se trouvait les hommes et lui dit:

- Pour gagner de l'argent, c'est très simple, tu dois faire comme cette femme. Tu vois, les gens se précipitent sur elle pour lui donner de l'argent.

Mona n'en revenait pas! Elle regarda Christine qui était tout aussi sans voix qu'elle. Faire autant d'argent en si peu de temps, c'était incroyable. Mona se tourna vers l'homme et lui sourit... sourire qu'elle perdit quelques mois plus tard après avoir découvert que son travail de danseuse constituait aussi à servir d'objet sexuel à des hommes bien plus âgés... 1 an plus tard, sa soeur marcha dans ses pas.

Mona, 16 ans, danseuse dans un bar depuis maintenant 3 ans. Elle était une vraie professionnelle et avais appris beaucoup de choses qu'elle n'aurait jamais pu apprendre dans la rue. Sa soeur, Christine, 13 ans, marchait dans les pas de sa grande soeur. Elle apprenait aussi le métier et gagnait maintenant son propre argent tout comme sa grande soeur. Tout comme elle, elle perdit aussi le sourire lorsqu'elle se fit pénétrer violemment pour la première fois. Mona avait commencé à boire, à prendre de la drogue, à fumer, mais tout ça la détruisait de l'intérieur et elle senti la dépression monter en elle. Une dépression si forte qu'elle voulu se couper les veines avec des lames de rasoir... et sa petite soeur l'imitait encore. Mais il vint un temps où Christine arrêta complétement d'imiter sa grande soeur... C'était un matin d'hiver, suite au party des employés du bar. Mona se réveilla complétement nue et avec la gueule de bois dans sa chambre. Au sol, un homme était en train de profiter de sa soeur pendant qu'elle dormait. Elle lui lança un soulier, lui disant que le spectacle allait continuer ce soir et qu'il n'avait rien à faire là. Il décampa aussitôt en la traitant de sale pute. Elle se leva tranquillement, marcha jusqu'à sa soeur et bougea le corps de Christine pour qu'elle se réveil.

- Aller, bouge toi... on a du travail à faire tantôt... Aller Cath...Cath?

Elle brassa sa soeur, voulant qu'elle se réveil, mais elle ne répondait pas.

- Aller Cath, c'est vraiment pas drôle là!

Toujours aucune réponse. C'est là qu'elle se rendit compte que sa soeur ne se réveillerait plus jamais, qu'elle était morte..... que ses parents, qu'elle croyait depuis 6 ans en train de les cherches dans la ville, étaient en réalité mort depuis tout ce temps. Elle venait de réaliser qu'elle avait perdu les être les plus chers à ses yeux, les seuls personnes au monde en qui elle pouvait faire réellement confiance.

Des murs sombres, une porte froide en métal avec des barreaux, un sol tout aussi froid que la porte, Mona était enfermé dans cette salle depuis maintenant trois semaines... mais qu'est-ce qui l'avait poussé à rentrer dans cette ville où enjamber des cadavres dans les rues était une chose courante? Elle avait quitté Londres suite à la mort de sa soeur et cherchait désespérément à refaire sa vie d'une certaine manière, mais ses vieilles habitudes la forçait toujours à vendre son corps pour obtenir de l'argent pour survivre. La mort de Catherine avait grandement affecté les nuits de Mona qui rêvait chaque soir que sa soeur venait la hanté, lui reprochant sa mort. Cette nuit-là n'était pas différente des autres.

- Non... Christine, je ne voulais pas... c'est ma faute je sais bien, mais je ne voulais pas! Pardonne moi ma petite soeur.... tu n'avais pas à suivre mes pas comme ça... tu aurais dû t'enfuir au lieu de me suivre! Je suis tellement désoler!

Mona se réveilla en sursaut, son cauchemar l'ayant tiré hors de son sommeil. Pleine de sueur et rempli de remord, elle se recula contre le mur en mettant ses mains contre sa tête, regrettant une fois de plus d'avoir demandé à cet homme comment gagner de l'argent. La porte s'ouvrit alors sur un homme assez imposant.

- Aller, c'est ton tour!

- Mais qu'est-ce que vous me voulez au juste?

- Expérimenter quelque chose sur toi!

Sa vie fut a jamais changé cette journée-là

Assise à son bureau de
réceptionniste, Mona tente de comprendre comment son ordinateur fonctionne.
Elle venait de commencer et elle n’avait jamais utilisé d’ordinateur auparavant
et rien ne voulait marcher. Et bien sûr, tout le monde était bien trop occupé
dans leur paperasse pour aller l’aider. Toutefois, Jean-David-Alexandre
s’approcha d’elle alors qu’elle frappa son ordi.


-
Maudite machine de criss! Rend moi mon
travail!


-
Hey relax un peu, tien, t'as juste à
appuyer là


-
"Non
mais pour qui il se prend celui-là.... je le savais voyons...." ouais
c'est ca merci bien.


Elle se leva
pour aller chercher les feuilles qui sortaient de l’imprimante, échappa son
crayon et se pencha pour le ramasser, mais JDA se pencha en même temps pour le
ramasser, question d’être sympa, mais leurs têtes se cognèrent.


-
* Criss de con! "aille ca fait
mal....connard..."


-
désoler je voulais juste
t'aider...arrange toi donc toute seule si t’es pas contente


Il retourna à son bureau.


-
c'est bien ce que je comptais
faire!!!


Mona se dirigea
vers la cuisine pour se faire du café et pogna les nerfs contre la cafetière et
la cassa sur le plancher. En attendant cela, Keith ordonna à JDA d’aller
s’occuper d’elle. La pauvre était en train de pleurer sur la table.


-
hey....relaxe un peu c juste une cafetière.....


-
ho toi ca va hein! Pas besoin d'avoir
pitié pour une pauvre conne qui sert a rien!


-
t pas une pauvre conne voyons, t'as
l'air bien plus brillante que la plupart du monde ici


-
parles.... les autres au moins ont été
a l'école eux.... moi j'ai eu l'école de la rue...


-
c pas important l'école, j'y ai pas été
non plus


-
t'es pas obligé de mentir non plus....


-
je te
ment pas, mon père s'en crissait fac il me gardait à la maison pour me demander
ce qu'il voulait ce que je c je l'ai appris tout seul où quand je suis parti
dans l'armée


-
....ouais....
un père.... ta eu droit a ca toi... moi il est mort quand j'avais 10 ans


-
bah c chiant mais bon tu vas pas
passerta vie à chialer pour ça


-
je suis pas du genre a chialer sur leur
mort... " pas sur la leur en tout cas..." bon tu veux quoi là?


-
je susi sensé te réconforté, c l'autre
qui a demandé ça


-
: l'autre?
qui ca l,autre? T'es pas vraiment clair toi on peu dire...


-
le chef là


-
ho...lui...je comprend toujours pas
pourquoi il vouait que je travail pour lui.... ptit merdier....


-
bof, au moins c un job


-
.... mais j'ai jamais fais ca de
ma foutu vie! Comment il veut que je sois réceptionniste si tout ce que je sais
faire c'est de me dandiner autour d'un poteau comme une pauvre cloche et faire
des pipes a des clients pour avoir un peu d'Argent pour survivre! « criss
de folle pourquoi t’a raconté ca toi? »


-
oh t
danseuse...bah c pas compliqué réceptionniste en tout cas ça a pas l'air, tu
répond au téléphone et des truc comme ça


-
: ouais,
plus facile a dire qu'a faire... moi quand je répond au téléphone d'habitude
c'est pour exciter le client.... pas pour lui être vraiment utile....


-
bah t'as qu'à parler comem tu me parle
tu m'exciste pas du tout là "bah.....hum......."


-
ha je
vois... t'es de ce genre la..... "dommage, il est cute..." dnoc je
devrais parler plus bête aux client?


-
bah pas forcemment bête, juste normal
"elle a quand même toute une paire de...non essai d'être sympa pour uen
fois"


-
: normal....
et c'est quoi pour toi être normal? si tu t'es retrouvé c'est que tu dois as
l'être...


-
bah pas
besoin de faire la cochonne et pas besoin d'envoyer cheir tout le monde...et je
suis aps ici pcq je suis pas normal....


-
il est pas obligé de le dire comme ca non
plus...." alors t'a fais quoi?


-
g tué
ceux qui me faisaient chier


-
wow....
un meurtrier au rang des forces de l'ordre... où va le monde hein.... pas mieux
qu'une pauvre pute à la réception...


-
voit pas
ça comme ça t'as l,air de qqn de très bien


-
ouais...
mes clients aussi disent ca....


-
prend pas
ça de même....tu c quoi, je te paye un café, ça te dit?


-
....pourquoi
tu ferais ça?


-
pcq ça me
tente


-
pas plus
qu'il faut...mais ya un tit café proche de l'école primaire...


-
aller
vien, je connais aps trop la ville mais toi tu dosi bien savoir où aller


-
pas plus
qu'il faut...mais ya un tit café proche de l'école primaire...


-
bon bah go *sourit*


-
....ouais...


Mona se leva et
alla avertir le chef qu’elle et JDA allaient prendre une pause dans un café,
Keith répondit positivement, leur disant de faire attention de pas se faire
tuer. Ils sortirent du poste et se dirigèrent vers le café mentionné par Mona.
JDA lui paya un café et lui tira même sa chaise avant de s’asseoir.


-
et toi, comment tu t ramassé au poste?


-
....j'ai
fait une pipe au tireur d'élite qui a eplosé vla pas longtemps...un autre
policier nous a vu, on m'a arrêté.... le con a eu pitié de moi et m'a offert un
boulot...ctait mieux ca que de pourir dans une cellule...


-
: ouais
j'imagine bah moi aussi c'était à peur près le choix que j,avais...la prison ou
ce travail en faite g eu de la chance que ce gars crève


-
ouais
bah... il a fait le con avec les Black Wings, alors stait pas vraiment de la
chance...


-
il devait
pas être futé alors


-
mouais...
c'est vrai qu'il était pas futé...


-
tu veux
qqch à manger?


-
un peu ouais...
mais t'es pas obliger de payer pour tout non plus


-
bof ça me
fait plaisir


-
....ok
alors je prendrais un muffin aux fruits, un croissant au beurre pis une
douzaine de beignes...


-
wow t'as
faim pour vrai


-
si c'est
un problème ta juste a le dire


-
mais non
je trovue ça le fun poru une fois de pas tomber sur une annorexique


-
ouais....
moi je trouve ca bien d,une manière de pas etre tomber sur un épais qui veut
juste baiser avec moi...


-
bof,
si c ça que je voulais j,aurais eu qu'à te droguer et à te sauter dessus, mais
c trop compliqué


-
ouais et
en plu, alors je doute qui se passe de quoi entre nous deux, t'es de l'autre bord toi


-
de
l'autre bord?


-
bah
ouais... de l'autre bord... ce genre de gars quoi...


-
et c moi
qui est pas clair?


-
bah...
gay, fifi, tapette, homo... de l'autre bord quoi


JDA se mis a rire de cette réplique.


-
moi? jamais de la vie


-
mais ta
dit que je t'excitait pas tantot, pourquoi t'a menti?


-
bah c pas
pcq tu m'excite pas que je suis gay voyons...


-
ha bon...


-
ouais...c
pas tout les gars qui aime les filles dans ton genre


-
: toi
tu sais parler aux fille a ce que je vois..... tu devais pas être très
populaire...


-
j'avais
autre chose à faire


-
bon au
moins je sais que tu me sauteras pas dessus


-
non, g
pas envi, g autre chose à faire ce soir


-
je t'ai
jamais demandé si t'en avais envie non plus, t'es pas mon genre anyway


-
tant
mieux. comme ça c qu'une sortie entre collègue rien de plus


-
tu pensais
que ca allais aller plus loin?


-
non je suis là pcq le chef voulais que
je te réconforte c tout


-
je sais…


-
et g pas toute la journée non plus....


-
moi je t'ai obligé à rien de toute
façon alors....


-
ouais
mais c le patron qui m'oblige...et g pas envi de perdre mon job


-
: mouais....
anyway tu vas surement crevé comme les autres.... bon y va?


-
ouais aller


JDA paya, puis
ils repartirent au poste de police. Celui-ci retourna à son bureau pour y nettoyer ses fusils, et Mona
retourna au sien pour péter sa coche contre le téléphone.


-
calme toi
voyons qu'est-ce qui se passe?


-
rien,
juste un dude con qui arrête pas de crier que sa fmme s'est fais tué, j'ai pas
de temps a perdre avec des conneries pareil moi


-
bah...c
la police ici c normal que des gens t'appel pour ça


-
ouais
mais moi j'en ai rien a foutre!


-
bah ton
travail c de savoir où il est pour envoyer des policier


-
ouais bah
moi personne ma appris le boulot alors.....


-
bah je
peux te montrer si tu veux...g pas vrm d'expérience là-dedans mais à deux on
devrait pouvoir s'arranger


-
et
pourquoi tu m'aiderais la? personne t'oblige pour ca


-
faire une
bonne action mettons


-
un
meurtrier est capable de faire ca?


-
je suis
aps un meurtrier....g juste....fait le ménage...c tout....


-
....ouais...on
va dire.... mais pourquoi tu m'aiderais?


-
regarde
si tu veux pas t'aide laisser faire...


Elle soupira
puis accepta.


-
.... ok... c'est gentil de ta part...


-
donc là
le téléphone sonne pas, donc t'as la paix


-
: merci sherlock.... j'avais
remarqué...


-
: ...si
t pour avoir l,air bête arrange toi donc toute seule


-
ok ok désoler....


-
: c
pas pcq t une pute que tu dois avoir l'air d'uen vache


-
: faut ben j'ai l'air d'une vache avec les boeufs tu pense pas? C'est mieux
ca que d'etre la poulette de service.


Ils se mirent à
rire tous les deux, puis JDA entendit quelque chose et tourna la tête vers son
bureau. Mona tenta de lui parler un peu, mais il n’eut aucune réaction. Elle du
lui donner une pichenotte sur le front pour le ramener à la réalité.


-
hey-hoo... quelqu'un dans la petite tête?


-
oh tu me parlais....quoi?


-
: .......bah
je sais pas t'était censé m'aider avec ma job et pis la tu regardais dans le
vide comme si t'avais vu un fantome...


-
: oh
non c que je pensais que qqn foullais dans mes affaires...dsl c que je suis
sourd d'une oreille


-
: sourd
d'une oreille et parano sur les bords, belle vie que tu mène toi


-
je suis
aps parano


-
bah ya personne a ton bureau pis ta
encore rien fait....moi j'appel ca être parano


-
: non,
g entendu du bruit et je c que le placard où g mes armes est pas encore fermé à
clef pcq g pas de cadenas alros je voulais jsute m,assurer que qqn touche pas à
mes trucs.....c tout


-
mouais.... bon tu m'aide ou pas?


-
bah ouais mais y'a rien à faire


-
.....
mouais.... je crois que je vais demander a quelqu'un d'autre debord.... on peut
pas vrament dire que t'es utile


-
bah arrange toi donc ac t



Pendant que JDA
retourna à son bureau, Mona continua de sacrer contre son ordinateur qui cru
bon de faire apparaitre un blue screen sur son écran. Encore plus en colère, ,
elle frappa l’écran, frappa l’ordinateur et lança le clavier derrière elle, qui
se retrouva sur la tête de JDA qui était en train de remplir ses dossiers.


-
ARG! MAIS
MERDE FAIT ATTENTION!!


-
HO ARRÊTE DE CHIALER CRISS DE BOEUF!


-
: ET
TOI ARRÊTE DE LANCER DES TRUCS FOUTU CONNASSE QUI C PAS FAIRE AUTRE CHSOE QUE
SE FAIRE DÉFONCER!


-
MOI AU
MOINS JE TUE PAS DES CRISS D'ÉPAIS JUSTE PARCE QU'IL ME FONT CHIER!


-
OUAIS
BAH EN TOUT CAS SI TU TE LA FERME PAS T LA PROCHAINE SUR LA LSITE!


Les deux s’approchèrent tout en continuant
de se crier aprè pendant que les autres policiers les regardaient faire, le
chef y compris, profitant du petit moment de spectacle qui s’offrait à eux.


-
OUAIS BAH MOI J'AI CONNU DES GARS QUI AVAIENT
PLUS DE COUILLES QUE LA PETITE MERDE QUI SE TROUVE DEVANT MOI!


-
C SUR QUE
DES COUILLES T'EN AS VU TOI DANS TA VIE SALOPE


-
HO
FERME TA PETITE GUEULE DE MERDE!


Une fois près l’un de l’autre, elle l’embrassa
à pleine bouche. JDA, surpris, répondit au baiser et l’attrapa par la taille
pour la coller contre lui


-
"criss de folle.....wow"


-
: " batard qu'il est chaud!"


Keith se mit à les engeuler, alors ils
allèrent dans les toilettes pour baiser, puis en sortirent comme si rien ne s’était
passé. Mona demanda gentiment a JDA de l’aider avec son problème, celui-ci l’aida
en souriant, elle le remercia


-
merci
c'est très gentil, tu es très fin tu sais?


-
ça me fait plaisir voyons, si il y a
encore quoi que ce soit tu n'as qu'à me demander, je suis juste derrière toi!


-
merci mon
coeur


-
de
rien princesse