Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]

**Edric De Molay** Dim 30 Jan - 16:21

Edric l'écouta changer en se laissant bercer sous la mélodie puis elle se mit à chanter en français. S'était donc ça les vraies paroles. Elle lui avait dit la vérité depuis le début et il ne l'avait même pas comprit. Elle se colla alors à lui et devint plus insistante. Sa respiration s'accéléra alors qu'elle se collait contre lui. Inconsciemment, il se retrouva par dessus elle alors qu'il continuait de l'embrasser. Tranquillement, son côté plus bestiale et guerrier refaisait surface alors qu'il l'embrassa avec plus de fouge. Il ne pensait plus vraiment ce qui se passait et se mit à la caresser alors qu'il alla mordiller son cou. Il en avait vraiment besoin et ses mouvements devenaient de plus en plus brute alors que ses caresses devenaient plus violentes et il alla agripper les seins de sa déesses fermement mais il fini par comprendre ce qui se passait et figea sur place. La dernière chose qu'il voulait était la prendre comme un animal et la brutaliser. À l'époque il n'avait pas beaucoup d'expériences mais au moins, il gardait une certaine douceur. Il ne voulait pas la souiller, lui faire mal. Avec tout ce manque il ne savait pas s'il allait perdre la tête. Il se retira mais on voyait bien que son corps était bien réchauffer.

- Je ne veux pas te faire mal... je ne veux pas te prendre comme un animal... j'ai oublié comment on respecte un femme dans son lit Ivy... je ne veux pas perdre le contrôle... j'ai fait des choses horribles dans ma vie.... j'ai eut une période ou j'ai voulu renier toutes mes valeurs en cherchant un but dans mon existence... et j'ai... j'ai aussi eut une relation quelques années avant de te connaitre... et quand j'ai du la quitter, elle ma souler et je l'ai souiller. Je l'ai détruite et j'ai vraiment crut mourir avant que je te rencontre alors que tu priais... j'ai pendant su que résement qu'elle avait eu un fil. Mon fil... et que.... que le premier chef des Black Wings... celui qui a partit toute cette horreur dans cette ville... il était mon petit fils... j'étais son arrière, arrière, arrière, arrière grand-père... tu te rends compte... tous ceux qui souffre à cause des Black Wings.... c'est moi la source de ce drame... je suis autant responsable que lui de ses morts puisqu'il était ma chaire... j'ai tout ses morts sur les épaules... je... j'ai fait tellement de chose mal malgré que j'ai passé toute ma vie a vouloir faire le bien....

Un frisson parcourra son corps et il ne pu s'empêcher de l'embrasser sauvagement mais lorsqu'il reprit ses esprits, il la lâcha avant d'aggraver son qu'à! Il la voulait. Il voulait la prendre mais il avait tellement eut besoin de lui dire ça... voilà comment briser un beau moment. IL ferma les yeux, se tue et se laissa tomber sur le dos a ses côtés. Il était certain... Il la regarda un moment, son regard semblait vide mais il la voulait. Il n'y avait aucun doute la dessus. Il retenait la bête de lui. Il ne voulait pas et puis comment allait-elle vraiment le prendre? Il avait tellement vécu avant de la retrouver....

-.. je n'aurais pas du t'en parler.... je....

Il resta la pieger entre l'envie et la retenue. S'était décidé... il ne fera plus rien... plus rien, non. Il avait besoin d'un guide pour retrouver ses étoffes d'autre fois. Il devait trouver une façon de tout effacer et de recommencer à zéro...

**Ivy Poison** Dim 30 Jan - 16:50

La jeune femme ignorait ce que penserait Edric de ses paroles, principalement du au fait qu’elle ait été la maitresse de son propre père pendant plusieurs années, alors qu’elle était encore en Grèce, cherchant un nouveau but dans sa vie. Il avait celui qui la convainquit de partir de sa province natale pour finalement partir, voyager et découvrir de nouvelle personne. En autre, il était la raison de leurs rencontre avec Edric et la jeune femme commençait à croire que son père l.’avait poussé à partir volontairement, ayant une idée derrière la tête. Le petit hypocrite d’Apollon, mais il avait ses raisons. Et alors la température devenait de plus en plus chaude tant qu’elle l’incitait à s’unir avec elle et donc la passion autrefois perdu, revint, sa respiration accélérait ainsi que celle d’Edric. Elle avait pas perdu la main, s’était certain. Et comme si Edric était possédé, il devint plus animal, plus bestiale, ce qui ne déplaisait pas la jeune femme qui fut autrefois habituer à ce genre de relation avec les Grecs. Les Dieux n’étaient pas toujours des sains et doux aux lits. Elle sentit les dents d’Edric lui mordiller son cou, ce qui la fit frissonner et gémir. Son corps fut parcouru de frisson alors que le Templier devint plus brutal et agrippa ses seins. La jeune femme n’y reconnaissait plus son tendre amant. Certes, il avait toujours eu une grande force de poigne et au lit, il savait être animal, plus sauvage… mais pas aussi douloureux et les paroles qui s’en suivit expliquèrent alors son arrêt. Il ne savait plus quoi dire ou quoi penser, mais la jeune femme n’avait aucun dégout envers lui…

- … l’erreur est humaine Edric… tu n’es parfait et tu ne le pourras jamais l’être… malgré les paroles que j’ai pu dire plutôt sur les humains, même les Dieux ne sont pas parfaits et ils nous arrivent de commettre des erreurs… mais tu dois cesser de vivre dans le passé Edric. Tu ne pouvais pas savoir que cette femme abuserait de ta confiance, te menant à lui faire du mal, tu n’avais pas de contrôle sur ton corps Edric, alors ne te torture plus l’âme… ont ne peut pas choisir nos actes en conséquence du futur. Nous ne pouvons pas les modifier, mais nous pouvons faire une chose… les corriger. Tu n’es pas fautif Edric… tu n’a rien fais de mal… en fait, c’est cette femme qui devrait avoir des remords d’avoir ainsi lâchement et salement abusé de ta confiance par quelque chose de dégoutant.

Elle se tourna alors vers lui, était maintenant poser sur son profil pour le fixer et elle posa alors une main sur son torse qu’elle glissa vers son visage pour le tourner vers le siens et déposa un profond baiser remplis de tendresse et de passion.

-… tu es ce que tu es Edric ! Ne refuse pas ton passé car c’est lui qui décidera te tes actions futurs. Le passé nous sert de professeur qui nous apprend à ne plus commettre les mêmes erreurs déjà fait. Tu es quelqu’un de bien Edric, la preuve… même lorsque j’ai quelques fois usé de mon pouvoir pour créé un état euphorique pour que l’on puisse consumer notre amour avant que nous soyons ensemble, tu a toujours su être un tendre et valeur chevalier avec moi Edric… n’ai peur de rien Edric… tout n’est qu’une question de contrôle de soi-même et j’ai foi en toi mon amour…

Et elle posa alors de nouveau ses lèvres sur lui et une liane glissa doucement vers le lit pour enlever à Edric le reste de ce qui cachait son intimité, solidement présent et la jeune femme vint à prendre place sur lui, se penchant vers ses lèvres. Il avait besoin de se faire guider pour redevenir ce qu’il était autrefois et la jeune femme allait l’aider. Elle le fit tourner avec elle-même, du mieux qu’elle put, pour qu’il soit de nouveau dominant sur elle et la jeune femme commença alors son ré-apprentissage…

- Mon amour… avant de prendre une femme… tu dois la préparer avec l’aide des préliminaires… soit que tu utilise ta lange ou bien tes doigts pour ainsi préparer mon intimité à te recevoir. Prend ton temps mon cœur… nous avons tout notre temps et ce, peu importe l’heure que nous sommes. Personnes ne pourra entrer, croit moi…

Elle leva alors la main vers la portes et d’énorme racines jaillir du sol pour bloquer la porte, empêchant quiconque d’entré. Il était temps pour eux de se retrouver enfin… Ivy avait confiance en Edric et savoir qu’il saurait faire attention, mais elle allait devoir le guide pour le moment. Mais très vite, elle se fit ramener sur Edric et de son regard, elle comprit qu’il préférait qu’elle puisse commencer, question de voir ce qu’il devait faire et la jeune femme ne s’en pria pas pour le faire attendre. Ses lèvres se posèrent sur les siennes, échangeant une caresse avec leurs langues et elle déposa alors ses lèvres sur son cou et commença à lui embrasser son corps, descendant doucement, passant sa langue en même temps sur son corps. Elle prit du temps sur les cicatrices, adorant celle-ci qui lui donnait un air virile et lorsqu’elle descendit vers sa verge, qu’elle prit dans sa main, et qu’elle l’embrassa, elle put entendre un grognement de la part d’Edric, ce qui amusa la jeune femme et elle commença alors des caresses buccale pour lui faire plaisir avant de finalement le sucer avec plaisir et envie.

**Edric De Molay** Dim 30 Jan - 18:08

Edric l'écouta attentivement. Arlequin lui avait dit la même chose…. ne pas vivre dans le passé, mais comment faire? Sa véritable vie se trouvait au moyen-âge. S'était quelque chose qu'il devra travailler dessus. Elle lui dit alors qu'il n'était pas fautif pour ce qui était arrivé, mais ça, il ne le croira jamais. Peu importe ce que les gens pouvait dire. Il savait que ce qui était arriver avec Pernelle était de sa faute, un point c'est tout. Ivy déposa alors un baisser remplis de tendresse et de passion qui le fit chaviré. Elle ne semblait pas être trop affecté de la révélation et il en était vraiment soulagé.

Elle continua alors son discours, lui disant que son passé devait lui servir de professeur plutôt que de torture. Il était quelqu'un de bien et elle lui rappela alors ses rêves qu'il faisait allers qu'il avait été tendre avec elle malgré sa maladresse. Elle déposa alors un nouveau baiser sur ses lèvres alors qu'il sentit quelque chose enlever les boxers du chevalier. Elle vint prendre place sur lui. Elle lui parla alors de comment la femme fonctionnait, il connaissait ça… il ne l'avait pas nécessairement maitriser mais il se rappelait qu'il avait état entendu ça et il l'avait déjà fait, il y a bien longtemps. Une racines énorme jale alors du sol et bloqua la porte. Il voulu répliquer son désaccord. Il fini par soupirer et la laissa faire. Il voulait qu'elle commence. Le Templier ne se sentait pas près et en même temps, il n'était pas très à l'aise en ce moment. Lorsque Ivy déposa ses lèvres dans son cou et commença à embrasser son corps, il frissonna de plaisir mais lorsqu'elle descendit vers sa verge et la prit, il laissa pousser en grognement. Elle la prit dans ses mains et l'embrassa. Lorsqu'elle commença alors des caresses buccale avant de finalement le sucer, il se mit a gémir de plaisir alors que tout son corps ce souleva sous les pulsions qu'il ressentait. Il caressa doucement Ivy alors qu'il ferma les yeux en la laissant faire. Cela faisait si longtemps… Il se mit alors a lui masser les seins tranquillement en tentant de se maîtriser du mieux qu'il pouvait. Son esprit se retrouva propulsée dans le passé. Elle avait vraiment été la seule qu'il avait laisser le prendre ainsi. Sa tête tournait, il ne voulait pas qu'elle arrête. Un sourire apparu sur son visage alors que la respiration devenait irrégulière.

- Vous êtes bien vilaine ma soeur… la malechevance (perversité) n'est pas toujours une bonne chose….

**Ivy Poison** Mar 1 Fév - 1:08

Ivy devait s’attendre à qu’Edric soit toujours aussi tête de cochon qu’il l’était avant et s’attendait à ce qu’il continue à croire que ce qui arrivait ici était de sa faute et que personne ne lui dirait le contraire mais pourtant. Du moins, pour le passé, elle lui apprendrait à cesser de vivre dans le passé et d’évoluer. La jeune femme comprenait les désires d’Edric, car elle aussi aurait préféré vivre encore dans le passé, lorsque la nature était encore aussi vivante, aussi verte, aussi étendu. Mais maintenant, elle avait perdu tout son éclat et la jeune femme ignorait si la nature pourrait enfin revenir et c’est à ce moment qu’elle eu cette idée : Et pourquoi ne par faire ce pays, un tout nouveau coin de paradis et ainsi la protégé des industries ? Cela pourrait-être possible, mais demanderait beaucoup de temps et d’énergie, mais cela serait faisable, mais pour cela, elle allait devoir demander l’appuie à certain Dieu comme pour amener la pluie en ces terres légèrement aride ainsi qu’a sa mère pour rendre la terre fertiles, du moins, elle pouvait déjà faire cela, mais avec l’aide de Déméter, cela serait beaucoup plus facile et prendrait moins de temps et d’énergie…

Et alors, la situation changea et la jeune femme du prendre les devants avec Edric, qui semblait ne plus trop se rappeler comment agir avec la dame et donc elle usa d’une liane pour le dévêtir pour ensuite prendre place sur lui et lui expliquer le fonctionnement d’une femme et ce, peu importe s’il le savait ou non, elle voulait lui rafraichir la mémoire. Et donc, ses baiser commencèrent à parcourir son corps muscler, à léché ses cicatrices. Elle sentait le corps d’Edric frissonner sous ses tendresses et caresses. Il n’avait pas perdu au moins cette passion pour elle et la jeune femme en était bien heureuse, car cela l’aurait démolie. Et la jeune arriva alors à la verge de son amant et la prit dans sa main, toujours aussi bien avantager le templier. Elle l’embrassa avant de le sucer comme si il était un suçon, enfonçant son dard dans sa bouche et mimant des mouvements de va et viens avec sa bouche. Le grognement d’Edric la fit comprendre qu’elle adorait et donc, c’est pourquoi qu’elle approfondit sa fellation. Le corps d’Edric se soulevait sous les pulsions sexuelles que la jeune femme lui créait. Il était maintenant assis et se mit à lui caresser les seins, créant des frissons chez la jeune femme. Elle continuait à lui faire ses caresses buccales lorsqu’il émit un commentaire qui la fit rire et la jeune femme, léchait de bas en haut son membre avant de le masturber avec sa mai net le fixa dans les yeux en disant…

- Mais notre Templier ne semble pas dégouter ou bien en désaccord avec les actions de la sœur….

Et la jeune femme avala alors ses deux boules, question de l’exciter encore un peu plus et revint a la charge en le suçant de nouveau. Il était en force ce soir et sa ce voyait… mais, après pas loin d’une quinzaine de minutes, la jeune femme vint sur lui et murmura…

- Fait moi voir ce que tu vaux avec ta langue…

**Edric De Molay** Mar 1 Fév - 12:35

Edric la laissa le guider un peu. Il n'était pas vraiment persuadé que s'était une très bonne idée. Il avait beau la vouloir de tout son coeur, le templier se mettait encore des bâtons dans les roues. Pourquoi? Sa conscience voulait vraiment l'énerver, le torturer et lui gâcher la vie. Lorsqu'elle commença par contre a le sucer il ne pu se retenir de gémir de plaisir et elle approfondit sa fellation. Tout son corps se souleva sous les pulsions qu'il ressentait. Il lui envoya alors un commentaire qui la fit visiblement rire.

- Et bien ma soeur… difficile de faire quoi que… ce soir lorsqu'elle l'hypnotise par sa beauté….

Il gémis de nouveau le plaisir alors qu'elle avala ses deux boules pour ensuite revenir à la charge mais après quinze minutes, Ivy retourna sur lui et lui murmura des mots qui au début figea Edric mais très vite son côté bestiale sembla ne rien vouloir savoir de ce qu'il pensait. Le Templier la retourna brusquement et l'embrassa aussi sauvagement que tout a l'heure mais après un moment, il descendit ses lèvres vers ses seins, resta un moment à lui lécher ses extrémités, puis poursuivit sa route jusqu'à l'intimité de sa déesse. Il se mit alors à la lèche non maladroitement mais avec expérience. Il avait réussi a freiner ses envies un moment Il fini par mettre un doigt dans son vagin alors que sa bouche s'occupait de son clitoris.

Il le fit pendent une bonne dizaine de minute avant de ressentir des pulsions d'excitation incontrôlable et il remonta rapidement vers Ivy et l'embrassa alors que son sexe frottait contre son intimité. La tendresse s'arrêta à peut prêt la pour un moment. Il enfonça sa touche rapidement en elle. Elle était vraiment en feu. Quelques siècles sans activités! S'était trop. Il se mit à donner des coups de bassin violent qui faisait presque bouger le lit sous l'impact des coups qu'il lui infligeait. L'excitation monta rapidement en lui. Il grognait presque de plaisir alors qu'il la chevauchait. Il comprit cependant son erreur et ralentit un moment pour qu'elle soit plus confortable et se mit a lui caresser la poitrine.

**Ivy Poison** Mar 1 Fév - 14:41

La jeune femme s’amusait avec le joujou d’Edric avec tant d’avidité qu’elle pensait s’y perdre dans ses propres pulsions sexuelles. Edric avait toujours su éveiller en elle des pulsions sexuels qu’aucun Dieu n’avait réveillé chez elle, sans doute parce qu’il était le premier pour qui elle vouait un véritable amour et non un amour passager qu’elle eu dans le temps qu’elle vivait encore dans la Grèce Antique. Les hommes étaient souvent plus encrés dans les sexualités. Beaucoup étaient marier mais presque tous vivaient aussi de relation homosexuels entre eux lors des orgies Gréco-romaines. Ivy se rappela même des hommes qui abusaient de pauvre enfant, qui était tout a fait normal à leur yeux, mais la Déesse voyait cela comme étant un acte dégoutant et dépraver…

Lorsqu’elle commença à sucer Edric, il ne put s’empêcher de se soulever par ses pulsions. Il disait que non plutôt mais son corps disait que oui et qu’il en désirait encore beaucoup plus. Et ils s’échangèrent des répliques sexuels question de se provoquer un et l’autre, ce qui amusait Ivy. Cela faisait si longtemps qu’ils ne s’étaient parlé de la sorte.

- Et il est difficile pour la sœur de ne pas agir autrement avec un corps aussi musclé, aussi attirant et aussi excitant… Donc… tout est de votre faute cher Templier…

Ivy s’occupait toujours aussi bien de sa verge et de ses testicules. Elle avalait l’un et l’autre avec d’avidité et de perversité. La jeune femme était une Nymphe… une succube version naturel. Car, les Nymphes possédaient toujours un physique qui attirait le regard des hommes et la jeune femme se souvint de la mésaventure qu’elle vécu avec un jeune Templier, envieux d’Edric et d’Ivy, principalement lorsqu’il les avait surpris pour finalement les espionner à chaque débat et finalement la kidnapper pour qu’elle lui exauce ses désires sexuels… quelque chose qu’elle ne désirait plus se rappeler… Après une quinzaine de minute, elle monta sur lui et l’invita à s’occuper de la douce et belle Déesse, ce qui le figea sur coup. Elle comprenait qu’il puisse être réticent, mais il semblait alors vite reprendre les commandes. Elle se fit alors retourner brusquement, ce qui excitait la jeune femme pour venir l’embrasse tel un animal et a ce moment, la jeune femme revint à cette ancienne Ivy qui ne désirait que les hommes brutales et violant sexuellement avec elle, mais qui savaient tenir un certain respect envers la jeune femme. Sa bouche cherchait avec avidité à faire enrouler sa langue contre celle de la Nymphe, ce qui fit gémir la jeune femme qui sentait ses mains se balader sur son corps. Il quitta alors son échange buccal pour venir lui titiller ses mamelons avec sa langue et sa bouche, ce qui amena la jeune femme à gémir de plus en plus. Sa bouche poursuivit la route et descendit vers son entre-jambe, qu’elle écarta ses jambes, aider des mains de son tendre amour. Il semblait avoir prit de l’expérience ce petit et il put entendre la joie de la jeune femme à être traiter ainsi par ses gémissement qui devinrent plus fort et puissant. Il avait bien apprit et elle en était bien contente. Elle senti un de ses doigt, qui possédait des pattes d’ours, entré a l’intérieur d’elle qui lui déchira un faible crie de plaisir et de surprise et en même temps qui la masturbait, sa langue et sa bouche s’occupèrent de son petit bouton rose.

Après une dizaine d’excitation, il remonta vers la jeune femme alors pour l’embrasser, qu’il fit rapidement et reconnu en lui l’animal qu’elle avait fréquenté avant et frotta son sexe contre le siens et la tendresse disparu l’espace d’un instant alors qu’il enfonça son dard à l’intérieur de la Déesse, poussant un petit crie. Son intimité s’était réduite étant qu’elle n’avait pas baisé depuis bien longtemps. Il se mit alors à donner de coup violant, qui fit bouger le lit qui se frappait contre le mur et la jeune femme gémissait de plus en plus alors que ses jambes s’enroulaient autour de sa taille et que ses mains étaient posées sur ses épaules. L’homme grognait comme un animal, ce qui fit rire la Déesse qui n’attendait que ça, mais il semblait se calmer et étrangement, elle se mit à gémir encore beaucoup plus tant que l’effet était totalement différente, comme si il arrivait à enfoncer son dard contre des parois qu’il ne le faisait pas dans le temps. La jeune femme ne pouvait empêcher sa bouche gémir de plus en plus et une main vint se poser sur son sein et le masser. Toute la salle se recouvrit encore beaucoup plus de verdures, transformant sa chambre en une mini amazone…

**Arlequin** Mer 2 Fév - 20:34

Arlequin avait commis une grave erreur. Edward l’avait envoyé vérifier que la puce implantée dans la tête de Yamari fonctionnait toujours en sachant très bien qu’elle était défectueuse. Antonin n’avait pas voulu la trahir, elle semblait heureuse et il ne pouvait pas lui enlever ça. Alors il avait menti. Il avait dit à Ed que tout était en ordre. Celui-ci n’avait pas apprécier.

- C’est du bon travail Arlequin. Il y a par contre une chose qui me confond un peu.

Edward lui avait enfoncé une seringue dans le coup, Arlequin avait su aussitôt ce qui l’attendait. Deux Black Wings l’attrapèrent avant qu’il ne puisse tenter de s’enfuir.

- C’était ta dernière chance et tu l’as gaspillé. Je vais devoir te montrer ce que l’on fait des traitres.

Il n’y avait plus rien à faire, Arlequin n’aurait pas le choix de tout endurer. Et c’est ce qu’il fit. Heureusement, les Black Wings n’en avait que faire des tortures qui trainaient en longueur. Les coups de couteaux, les décharges, les drogues, les rats mais il était encore en vie. La toxine continuait de faire effet, l’empêchant d’utiliser son pouvoir pour se téléporter en sécurité, elle semblait d’ailleurs nettement plus efficace que la première fois. Le coup final allait être porté. Allongé sur le sol, Arlequin pouvait vaguement voir un homme approcher avec une épée. Il n’avait plus la force de bouger. Son costume était couvert de sang, il portait toujours son masque. Antonin senti la lame lui traverser le corps et hurla jusqu’à ce que le crie se bloque dans sa gorge. On ne l’avait pas touché au cœur, il fallait le faire souffrir jusqu’à la fin. La lame lui avait traversé le ventre puis on l’avait retiré avant de l’enfoncer de nouveau juste à côté du premier impact. Après des siècles, il allait finir comme ça, dans le sous-sol d’un vieil hôpital. Il sentait son sang couler de plus en plus alors que son cœur s’emballait et qu’il avait de plus en plus de mal à respirer.
Arlequin avait perdu le contrôle de lui-même. Dès que la toxine cessa de faire effet, il se téléporta par réflexe. Il réapparu dans la chambre d’Edric et tomba directement sur le lit. L’impact, aussi peu violent qu’il fut, suffit à lui couper le souffle. C’est ce qu’on appel être au mauvais endroit au mauvais moment…Heureusement, Antonin n’était pas conscient de l’endroit où il était et encore moins de ce qui se passait car il aurait été affreusement gêné sinon. Il ne s’était même pas rendu compte qu’il s’était téléporté. Après quelques secondes, les draps étaient déjà couverts de sang. C’était une manière plutôt brutale d’interrompre les deux amoureux mais ça n’avait pas été volontaire ou prévu d’avance. Surtout qu’Arlequin n’avait pas parlé à Edric depuis deux mois. Deux long mois à tuer…à lutter pour garder la confiance d’Edward et finalement la perdre complètement en essayant d’aider quelqu’un à vivre le bonheur tellement rare dans une telle ville. Antonin aurait voulu pouvoir hurle, comme si un cri aurait pu apaiser la douleur, mais il n’avait plus assez d’air pour le faire. Son masque ne l’aidait pas non plus mais il n’avait plus la force de bouger, pour une fois qu’il aurait voulu l’enlever. Il était blême, signe du cadavre qu'il risquait bientôt de devenir.

**Ivy Poison** Jeu 3 Fév - 1:52

Edric et Ivy étaient en train de prendre leurs pieds. Cela faisait si longtemps que tout les deux ne s’étaient pas retrouver et leurs pulsions avaient besoin d’être ainsi libérés. La jeune femme était si heureuse, qu’elle ne désirait en rien être déranger… mais alors qu’elle s’apprêtait à renverser son bel étalon, le corps d’un homme ensanglanter apparu à leurs coté, alors que la jeune femme se préparait à renverser Edric sur lui. Comme réflexe, elle poussa Edric d’elle, le forçant de sortir d’elle-même. Elle avait laissé sortir un crie de surprise et fixait le pauvre car il avait l’air sérieusement blesser et alors que son corps se couvrit de plantes, pour ainsi cacher sa nudité. S’était comme si elle avait prit une fleur et l’avait aplatit pour en faire une robe. Et avant même qu’elle ait put faire quoi ce soit, Edric était déjà au près du jeune homme pour vérifier s’il était correcte. Mais les paroles qu’il émit figèrent la jeune femme…

- Anto... mon dieu!!!

- An… Antonin ?... I… Il est toujours vivant lui aussi ?...

- Oui… mais ce n’est pas le temps mordiable. Qu’es-ce qu’ils lui ont fait ?

- Edric… je vais enlever les racines devant la porte et tu dois absolument me trouver de l’eau, du savon et des chiffons propres pour que je puisse soignée ses blessures et si tu peux me ramener quelque chose qui me permettra de faire bouillir de l’eau… je fais préparer quelques choses qui permettront ce pauvre à guérir en quelques jours. Vite… je vais m’occuper de lui Edric…

- ... mais je..... Ivy, j'ai le meilleur médecin ici, il va le soigné.... de l'eau, du savon.... des chiffons, ce n'est plus comme dans le temps regarde le....

Ivy fixa alors Edric d’un regard très noir… ses méthodes de soins furent et serons toujours aussi performant que cette merde de technologie. Contrairement à l’humain, elle faisait appelle à des plantes ayant des propriétés guérisseuses. D’accord… pour ce qui était du cancer, elle ne connaissait pas vraiment cela… mais elle avait toujours su comment soigné des gens aussi gravement blessé. Edric venait de la blesser dans son orgueil et son amour propre… Elle était une déesse et possédait des connaissances… mais en même temps, elle ne pouvait pas en vouloir à Edric… il avait toujours vu que la simple Ivy usant des méthodes humaine… maintenant, il allait voir Ivy la Déesse, possédant des méthodes qu’aucun humain ne possèderait. Son sang possédait des capacités curatives que même les herboristes ne pourraient trouver sur aucune plante. S’était une raison de pourquoi elle fut pourchassée pendant un temps par des humains. Sa main pointa les racines qui réintégrèrent le sol. Edric semblait encore hésitant et une larme perla alors le visage de la jeune femme…

- Je n’ai pas pu sauver Antonin lorsque j’étais cette foutu sœur… laisse moi corriger cette erreur Edric… laisse moi te montré une autre facette de moi… tu ne connais pas encore tout de moi… elle posa alors sa main sur le visage d’Edric. Pístepsé me ti̱n agápi̱ mou ...(fais-moi confiance mon amour)…

- Mais.... je....il......et....... attend moi la....

Et Edric sortit en courant pour aller ainsi chercher tout ce qu’elle lui avait demandé et elle lui cria de lui rapporter de l’eau en même temps. La jeune femme usa de ses pouvoirs pour soulever doucement le corps d’Antonin alors que pour d’Autre, ils enlevèrent les draps de surplus ainsi que les oreilles et tout le reste. Le corps d’Antonin fut alors déposer au près de la jeune femme. Le pauvre…

- Antonin… tu m’entends ?... tu reconnais ma voix mon petit ? C’est moi… Ivy… tu te rappel non ?... Je vais m’occuper de toi Antonin… mais je dois enlever ton masque…j’ignore si cela te dérange ou non… mais je dois le faire… tu respire mal et je veux au moins t’enlever un mal… je crois que sa suffit ainsi…

Et la Déesse enleva le masque d’Antonin pour dévoiler son visage qui était ronger par les rats du temps… la jeune femme se rappelait de ce genre de méthode de torture. Le pauvre enfant avait tellement du souffrir. Son regard se posa alors sur le siens et Ivy lui fit un sourire. Mais la, elle était obliger de lui enlever tout vêtements sinon elle ne serait jamais en mesure de le soigné.

- Antonin… je dois te prévenir d’une chose… je dois t’enlever tes vêtements sinon je ne pourrai jamais te soignée… enfin, ce n’est pas comme si tu ne m’aurais pas déjà vu nue mon petit… enfin, c’est un peu différent… mais…

Une griffe très pointue et coupante, une griffe de rose, poussa de sa paume droite et elle en coupa le vêtement d’Antonin. Elle remarqua alors de profonde blessure au niveau du ventre, mais Ivy ne laissa rien paraître dans ses émotions et continua de le dévêtir pour qu’il ne soit plus qu’en sous-vêtements et la griffe disparu. Elle remarqua alors une légère teinte rougeâtre sur les joues d’Antonin, ce qui la fit rigoler et elle posa alors un baiser sur son front.

- Je vais bien m’occuper de toi Antonin… d’ici quelque jour, tu seras tout neuf…

Et Edric arriva entre-temps, alors qu’elle s’était penchée pour lui donner un baiser sur son front et lui dit ces paroles. Edric posa les trucs à ses côtés et la jeune femme commença alors par soignée les blessures du pauvre jeune homme, demandant à Edric de faire bouillir l’eau. Entre-temps, divers plantes poussèrent dans la chambre et s’allongèrent pour faire tomber dans la bouilloire les herbes que la jeune femme avait besoin. La jeune femme fit alors pousser d’autre plante qu’elle mâchouilla dans sa bouche pour en faire une pommade, qu’elle fit tomber dans un bol qu’elle créa avec une feuille. Elle mélangea d’autre plantes qu’elle avait mâchouillée et les mélangea avant de les poser sur les blessures d’Antonin, ce qui lui fit un léger picotement à ses blessures. Alors que pour les autres, elle leur appliqua aussi un peu de pommade et couvrit alors les blessures avec de longues herbes qui maintiendraient sa pommade. Edric semblait jeter un regard douteux sur sa pommade…

- Tu croyais que je la créais comment ma pommade qui aidait à guérir tes blessures et les désinfecter ?

La jeune femme se leva alors pour aller voir sa décoction et s’entailla sa main en répétant le même processus que pour les vêtements d’Edric. Le sang coula dans la potion, ce qui fit dégager une étrange lumière verdâtre avant de disparaître. Elle la fit bouillir encore quelques minutes et demanda alors à Edric de fermer le poêle, étant donner qu’elle ne connaissait pas vraiment cela. N’ayant pas de bol, la jeune femme fit pousser une branche de cocotier et fit tomber au sol une noix de coco qu’Elle demanda à Edric de la découper pour en faire un bol. Elle le rinça avec le reste de l’eau et en versa sa mixture.

- Il faut attendre que cela refroidisse… Antonin… je vais te faire boire une potion qui va accéléré ta guérison, si tu es capable d’ouvrir la bouche et de l’avaler, cligne une fois des yeux… mais si tu ne peux pas, fais moi deux clignement et je te le ferai boire moi-même…

Antonin cligna alors deux fois des yeux, ce que la jeune femme s’attendait et sans même se préoccuper si Edric le désirait ou non, elle fit entrer la potion dans sa bouche, sans l’avaler et elle se pencha, ouvrit la bouche d’Antonin et lui fit avaler la potion, faisant du mieux qu’elle pouvait pour que cela ne soit pas pénible et elle lui massa alors l’œsophage pour que cela puisse bien glisser et elle fit de même plusieurs fois jusqu'à qu’il n’ait pu de potion nulle part… Elle caressa la chevelure du jeune homme et fit mener les couvertures sur lui et ainsi qu’une couverture qu’elle posa sa tête dessus et le laissa se reposer. Elle prit alors la main d’Edric et le mena dehors… Une larme coula sur sa joue…

- Edric… je sais que nous ne sommes plus au moyen-âge… mais mes techniques sont toujours aussi bonne… je suis une déesse mon amour… j’ai des pouvoirs que tu ne sauras jamais imaginer… laisse moi te prouver que je suis toujours aussi utile Edric… laisse moi te prouver que je ne serai pas un poids dans tes jambes…

**Edric De Molay** Jeu 3 Fév - 15:19

Ils étaient en plein action lorsqu'il sentit quelque chose tomber sur le lit. Ivy le poussa rapidement sur le côté alors que le chevalier se retourna pour voir ce qui se passait. Il reconnu Antonin sans hésiter et se tourna vers lui pour vérifier s'il était toujours envie. Le pauvre était vraiment amoché. Pourquoi les Black Wings lui avaient-ils fait ça? Avait-il découvert qu'il était venu? Bon sang! Il aurait jamais du le laisser partir! Il savait que cela allait arriver! Il parla un moment avec Ivy alors qu'il était en état de choc. Il enfila un pantalon…. Il savait très bien que si on ne réagissait pas rapidement, il allait y passer. Ivy lui demanda alors de le soignée avec de l'eau, du savon et des chiffons! Mais elle est folle! Ses techniques ne marche plus depuis longtemps. Il lui dit qu'il avait les meilleurs médecins! Il allait le sauver. Son médecin avait réussit de lui sauver la vie alors qu'il avait eut pendent plusieurs heures un poumon perforé, une épaule gauche totalement foutu et transpercé proche du coeur. Plusieurs fois, son coeur avait arrêter et à chaque fois, il avait réussit à le repartir. Comment, au grand comment, pouvait-elle le sauver avec de l'eau, du savon et des chiffons! S'était ridicule et il le lui fit savoir. S'ils n'agissaient pas vite, il ne survivra pas la nuit… Ivy le fixa avec un regard noir. Il savait qu'elle avait du lui faire de la peine mais le temps leur manquait! Elle lui demanda d'avoir confiance en elle… comment pouvait-il? Non! Ce n'était pas le temps de se poser des questions. Il sortit en courant et alla chercher tout ce qu'elle avait besoin.

Edric arriva alors qu'il vit qu'elle avait enlevé le masque d'Arlequin ainsi que ses vêtements. Le coeur se serra en se rappelant de la première fois qu'elle l'avait soigné. la déesse avait toujours agit comme une mère avec lui. Il lui donna ce qu'elle avait besoin et fit bouillir l'eau. Il avait ordonné de ne pas se faire déranger mais que les médecins soient près à intervenir au besoin. S'il ne voyait pas d'amélioration rapidement, il n'hésitera pas à faire signe à ses spécialistes de rentre. Il regarda les plantes qui avaient poussées dans sa chambre. Il soupira en regardant l'état de son plancher. Elle appliqua une pommade qu'il ne connaissait que trop bien sur les blessures de son écuyer. Elle rajouta de longues herbes pour maintenir se remède. Normalement, s'était avec des bandages qu'elle soignait de Templier, mais comme il connaissait son secret, elle n'avait plus à se cacher. Cela faisait tout de même très étrange pour lui de la voir agir ainsi. S'était donc comme ça qu'elle créait sa pommade… il regarda la substance douteux… elle le vit et lui fit un commentaire qui affirmait ce qu'il croyait. S'était bel et bien le même remède.

Lorsqu'elle se leva et entailla sa main. Le sang coula dans l'espèce de potion qu'elle avait préparé. Encore plus perplexe, il regarda le liquide alors qu'un étrange lumière verdâtre apparue un moment avant de s'éteindre. Suite à sella, il ferma la poêle. Elle fit encore pousser une plante alors que la chambre d'Edric devenait tranquillement une vrai jungle! Il prit son épée à la demande d'Ivy et créa un bol avec une noix de coco. Elle n'allait tout de même pas lui faire boire ça?!? Pas question! Pour lui, il ne voyait qu'une potion de sorcière. Comment voulait-elle le soigner avec ça! Il s'apprêta de lui défendre de lui donner mais elle versa déjà le liquide dans la bouche d'Antonin. Le Templier croisa les bras et regarda la scène impuissant. Elle semblait avoir terminer… Une larme coula sir le visage alors qu'elle installa confortablement Antonin dans ses couvertures. La déesse attrapa Edric et le mena dehors. Elle chercha à le rassurer….

- Par Sainte Madelaine… Ivy…. tu as beau être une déesse, tu penses vraiment que je vais laisser Antonin ainsi! Je veux bien te faire confiance mais… Il n'est pas question que je le laisse mourir ainsi. Il suffit d'une moindre hésitation, un moindre malaise, un arrêt cardiaque et j'envoie mes médecins sur lui! Ventre-Dieu ne me dit pas que ce que tu me faisais avaler, s'était cette chose…..

Il la regarda dans les yeux un moment. Il restait calme et ne semblait pas plus inquiet que cela mais dans le fond de son regard, on pouvait lire sa panique. Il soupira et rentra de nouveau dans sa chambre et resta bien droit a côté de son lit après s'être rattaché son épée à sa ceinture. Il avait toujours le torse nu mais il s'en fichait. Il fixait son écuyer les bras croiser.

**Arlequin** Jeu 3 Fév - 17:06

Arlequin cru entendre des voix qu’il reconnu immédiatement. D’abord, celle d’Edric et ensuite celle de…mais c’était impossible, elle ne pouvait pas être là. Il était certain d’être soit mort soit en train d’avoir des hallucinations. Il était certain d’être encore allongé sur le sol de la salle de torture de l’ancien hôpital et la présence d’Edric lui semblait tout aussi absurde et improbable que celle d’Ivy. Pourtant, il aurait aimé la retrouver. Elle avait été comme une mère pour lui pendant les quelques années qu’il avait passé chez les templiers. Elle venait le consoler quand il faisait un cauchemar, c’est elle qu’il allait voir lorsqu’il se sentait seul ou qu’Edric était trop dur avec lui. Antonin commençait sérieusement à se demander si ce n’était pas réel, il avait encore mal et ne pouvait donc pas être mort et la voix d’Ivy lui semblait si proche. Elle voulait enlever son masque, c’était une bonne idée mais si c’était vraiment elle, il n’était pas certain, il ignorait pourquoi mais l’idée de lui montrer son visage ne lui plaisait pas. Quand il senti son masque être retiré, Antonin comprit que c’était réel. Il pu alors la voir clairement, c’était bien elle qui se tenait là et qui lui souriait.

*Pourquoi est-ce qu’elle est là ? Ça se peu pas…je dois être en train de devenir fou…qu’est-ce qu’elle fait ?*

Quand elle lui enleva ses vêtements, même s’il ne savait pas trop si c’était seulement une hallucination, Arlequin se senti particulièrement gêné. Ce n’était pas la même chose que quand il était petit. Il rougit légèrement, ce qui sembla amuser Ivy. À mesure qu’elle lui parlait, Antonin avait du mal à suivre, il entendait ce qu’elle disait mais ça finissait par devenir seulement des sons qu’il ne pouvait comprendre. Il sentit quelque chose sur ses blessures alors qu’elle mettait sa pommade et son souffle se coupa un moment, il n’arrivait pas à crier. Il vit ensuite une silhouette s’éloigner, tout commençait à devenir flou autour de lui. Par miracle, il réussit à comprendre ce qu’Ivy lui disait et savait très bien qu’il ne pourrait pas avaler quoique se soit mais elle s’en occupa. Antonin passa proche de s’étouffer à quelques reprises avec la potion. Il se retrouva complètement seul, du moins c’est ce qu’il cru car il n’entendait pas un son et ne voyait rien. Il ferma les yeux un moment. Au moins, il ne sentait plus le sang couler, mais il en avait perdu beaucoup. Ses mains se mirent à trembler, il ignorait si c’était un bon signe ou non. Edric était revenu auprès de lui mais il ne le remarqua pas. Petit à petit, il finit par pouvoir respirer presque normalement, c’était déjà ça de gagné. Son cœur continuait à battre de façon irrégulière mais il faisait toujours son travail. Par contre, à mesure qu’il retrouvait certaines capacités, la douleur semblait s’intensifier. Incapable de se retenir et pouvant enfin le faire, Arlequin se mit à crier. Il sentit tous les muscles de son corps se contracter, ce qui ne fit qu’accroître le mal. Antonin avait affreusement froid et tout ce qu’on venait de lui faire subir lui revenait à l’esprit sous forme d’images. Il senti quelques chose se poser sur son bras comme pour le retenir sur le lit

- Laissez-moi !!! ARG !!...Achevez-moi !...

Dans son esprit, il était dans le sous-sol de l’hôpital et on venait de reprendre la torture. Si Edric n’avait pas été assez fort pour le maintenir contre le lit, Arlequin aurait sans doute aggravé son cas. Le problème était par contre que plus il se débattait, plus il avait mal donc plus il croyait qu'on continuait à le faire souffrir et ainsi de suite. Complètement épuisé, il finit par abandonner et cesser de bouger, les larmes aux yeux, en continuant de gémir.

**Ivy Poison** Jeu 3 Fév - 18:36

Ivy savait qu’Edric ne serait aucunement en accord avec les méthodes de la déesse, mais elle s’en fichait royalement. À ce moment, lorsqu’elle sortit pour parler avec lui, elle sut alors qu’elle allait devoir se battre de nouveau contre les hommes pour ainsi prouver sa valeur et ses capacités. Edric voulait jouer à la guerre avec elle ? Il allait être servit. La jeune femme savait que maintenant, elle allait devoir prouver sa force envers Edric, qui était toujours encré dans ses valeurs qu’elle n’avait jamais rien compris, mais il faut dire qu’Elle était une déesse et que les valeurs et tout le reste était différent. Le pauvre n’était pas habituer de voir les gens guérir magiquement et miraculeusement. Mais en même temps, Ivy était cruellement déçut de la réaction du jeune homme. Il était témoin de ses guérisons miraculeuses… pourquoi maintenant ne pouvait-il pas avoir confiance en elle ? Il semblait un peu trop terre à terre… il semblait impossible pour lui d’imaginer que la magie et le divin puisse réellement exister et puisse être mille fois mieux que la technologie humaine qui en faite créait plus de problème que de solution. Elle se sentait amèrement insulter au point que lorsqu’Edric eut fini sa phrase, ses yeux devinrent complètement verts, sans pupille, sans iris… rien… le sol semblait se mouvoir sous les pieds d’Edric et la jeune femme le fixa alors… Sa voix n’était plus la même… en fait, elle avait totalement perdu le contrôle de son corps et si Edric connaissait réellement Ivy, il saurait que se n’était plus elle… Une étrange aura doré enveloppa la jeune femme, alors que la chambre d’Edric semblait devenir encore plus dense et étouffante…

- SURVEILLEZ VOS PAROLES HUMAINS… VOUS NE CONNAISSEZ PAS ENCORE LA PUISSANCE DES DIEUX… DÉFIEZ LES ET VOUS EN PAYERAI LE PRIX… NE SOYEZ POINT ARROGANT… CECI VOUS MÈNERA A VOTRE PROPRE PERTE… NOUS ÉCOUTONS CE QUE VOUS DITE… NOUS SURVEILLONS VOS PAS ET GESTES… NOUS SURVEILLONS NOTRE SŒUR ET COUSINE… LA BLESSER NE SERAIT PAS JUDICIEUX POUR VOUS…

Et la jeune femme perdit alors connaissance contre Edric avant d’ouvrir les yeux devant le Templier qui semblait à la fois estomaquer et troubler. Elle le fixa et alors qu’elle voulu lui demander ce qui se passait mais elle remarqua alors la chambre d’Edric et fit quelques mouvement de la main pour ainsi faire disparaître une plus grande partie des plantes pour ne laisser que les quelques petites pousses qu’elle avait fait jaillir du sol, pour créer une décoration intime et joviale. La jeune femme n’attendit rien d’Edric… et comme si elle ne se souvenait plus, elle répliqua à Edric…

- Je te prouverai alors ce que vaut réellement les Dieux Edric… et ce, même si je dois prendre mille ans pour que tu puisses enfin changer d’avis à mon sujet… je t’aime et je ne laisserai plus rien m’empêcher de vivre à tes côtés… tu peux me détester ou renier, mais au final, c’est toi qui seras en tord et qui passera à côté de quelque chose de fabuleux… ce n’est pas à tout les jours que l’on peut partager notre vie avec une déesse.

Sa main se posa sur sa joue et un magnifique sourire s’afficha sur son visage…

- Je réussirai à prouver ma valeur… j’en fais le serment…

Mais elle entendit alors Antonin hurler comme un diable et elle courut vers le pauvre homme. Edric le tenu sur le lit pendant qu’il se débattait… le pauvre devait être pris d’hallucination et il en vint alors à se calmer après avoir trop épuisé le peu d’énergie qu’il avait et son état semblait se stabilisé plusieurs minutes après. Sans même se soucier d’Edric, Ivy vint à boucher légèrement le corps d’Antonin pour coucher sa tête sur ses jambes et elle caressa alors sa chevelure et lui prit alors main et lui chanta cette berceuse qu’elle lui chantait toujours lorsqu’il faisait des cauchemars. S’était une berceuse qu’elle avait créé pour Antonin…

‘’ Dors, dors, dors mon petit trésor
Je serai là pour veiller sur toi jusqu’au matin
Toi que j’adore je te protègerai dans se château-fort
Ne sois pas inquiet mon petit Antonin
Ivy sera toujours là pour t’aimer et te protégé

Dors, dors, dors mon petit trésor
Je serai toujours la pour te dorloté
Ne t’en fait pas pour les Templiers
Je serais bien te gâté et faire de toi un enfant enjoué
Malgré les cauchemars, je t’apporterai des rêves magnifiquement comblé

Dors, dors, dors mon petit trésor
Tu ne seras plus abandonné
Je serai cette ange gardien que l’on t’accore
Je veillerai sur toi comme étant mon petit protégé
Endors-toi mon petit ange aimé

Endors-toi mon petit Antonin
Je veillerai pour que tu sois bien entouré
Ne sois pas inquiet mon petit
A ton réveille, je ne serai pas partis… ‘’

La jeune femme continua de lui chanter cette chanson, ignorant maintenant Edric… elle était un peu énerver du à son comportement envers elle et donc, elle préférait réconforter son petit Antonin et elle déposa un baiser sur son front pour continuer a fredonner sa mélodie…

**Edric De Molay** Jeu 3 Fév - 20:42

Edric regarda Ivy rentrer dans sa chambre… elle faisait horriblement peur. Que ce passait-il avec elle? Elle se mit alors à lui hurler des insultes et disait qu'il était arrogant et qu'il avait vraiment tors d'agir ainsi avec Ivy… Le templier resta cependant bien droit et ne montra aucune émotion. Il plaça une main discrètement sur le manche de son épée. Il ne comprenait vraiment pas ce qui se passait avec elle et si elle devait l'attaqué… Il savait qu'elle risquait de ne jamais faire une chose pareil, mais il avait apprit à ses dépends qu'on était jamais trop prudent. Même avec des proches que jamais on ne croirait qu'il s'attaque à vous…Mais soudain, elle perdit connaissance et il l'attrapa avant qu'elle ne tombe par terre. Elle semblait perdu sur le coup alors que sa chambre était une vrai forêt amazonienne. Elle s'était calmée et les plantes disparues.

- J'ai juste besoin de temps Ivy. S'était pas compliquer non?

Ivy lui parla encore de Dieux mais il ne l'écoutait pas vraiment. Il était vraiment inquiet pour le gamin et malgré son regard froid et autoritaire, il aimait beaucoup Antonin et il était plus qu'un écuyer pour lui. Il était sûrement, malgré les années, son meilleur ami. Presque son petit fil. Soudain, Antonin se mit à hurler comme s'il avait le diable au cul. Le templier s'approcha rapidement de lui et le tenu alors qu'il se débattait. Il devait se calmer bon sang! Edric regarda Ivy en lui demandant son aide. Elle s'approcha alors prit la main de Arlequin et se mit à chanter une berceuse qu'il reconnu. Souvent, il l'avait surprit à lui chanter cette chanson alors qu'Edric tentait d'endurcir le gamin.

Il espérait au moins que cela allait calmé le pauvre blesser… il devait bien se souvenir d'elle non? Elle l'embrassa sur le front et continua de fredonner sa mélodie. Décidément, elle avait toujours sa belle voix envoutante… il tenta de rester concentré sur Arlequin.

- Calme dois Demoiseau! Tu eus est en sécurité…. et il y a quelqu'un qui voudrait bien de voir, calme toi mort diable!

**Arlequin** Jeu 3 Fév - 21:25

Les yeux à demi fermés, Antonin senti qu’on passait une main dans ses cheveux et se calma. Il entendit ensuite chanter et reconnu immédiatement la berceuse qu’Ivy lui chantait quand il était petit. Ça faisait évidemment des siècles qu’il ne l’avait pas entendu mais le souvenir était toujours bien vivant. Instinctivement, il réussit à bouger une de ses mains pour la poser sur la jambe d’Ivy. Il réalisa alors qu’il pouvait vraiment la toucher…les alentours commencèrent à devenir clair, il ouvrit complètement les yeux, c’était la chambre d’Edric ? Qu’est-ce qu’il faisait là ? Donc, s’il était encore vivant et chez Edric ça voulait dire que…c’était vraiment elle ? Pourquoi pas ? Son ancien maître était bien encore en vie. En faite, Arlequin ignorait ce qui était arrivé à Ivy car après avoir été enlevé, il n’avait jamais cherché à retrouver les Templiers, trop honteux de les avoir dénoncés. Il entendit alors la voix du chevalier lui dire qu’il était en sécurité.

- Ivy…

Il lui aurait sauté dans les bras mais n’avait pas la force de le faire. Le simple fait de parler lui avait demandé beaucoup d’efforts et après avoir dit son nom il toussa plusieurs fois. Tant de souvenirs lui revenaient à l’esprit et pour une fois, c’était de bons souvenirs. Il eu l’impression de redevenir le petit garçon qu’il avait été quand elle s’occupait de lui, elle avait été la mère qu’il n’avait jamais pu connaître, il réalisait à quel point elle lui avait manqué. Sa main se serra un peu autour de la jambe de la déesse.

- Qu’est-ce…que tu…tu fais…

Antonin fut incapable de terminer sa question. Il aurait dû être mort. Au moins, il n’aurait plus vraiment le choix de rejoindre les Solciers…Plus jamais il ne pourrait retourner voir Edward, il ne le manquerait pas une deuxième fois. C’était une bonne chose…peut-être. Il ne savait pas trop quoi en penser, il avait encore trahi quelqu’un. Et sa façon de pensé n’avait pas changé…il ne croyait plus en l’Homme et se demandait comment alors il pourrait vouloir défendre ces gens. En plus, avec tout le mal qu’il avait fait et avec ce personnage…il savait qu’Antonin ne pourrait pas revenir, pas complètement. Pour l’instant il ne devait pas y songer, il devait simplement être heureux d’être en vie et espérer qu’il ne se soit pas trompé, qu’Ivy était bel et bien là. Sa main commença à se desserrer alors qu’il s’endormit, la berceuse était apparemment toujours aussi efficace.

**Ivy Poison** Dim 6 Fév - 16:52

Quel était le meilleur moyen de calmer Antonin ainsi qu’Edric ? S’était par la chanson car elle savait que sa voix envoutait toujours Edric et ce, même dans les pires moments. Mais en ce moment, elle recherchait le réconfort du petit Antonin qui semblait perdu à travers ses pensés. Une main de se posa sur sa jambe et la serra, un signe du petit qui voulait signifier son bonheur de la savoir à ses côtés. La jeune femme lui prit alors la main et des larmes coulaient de ses yeux. Le pauvre faisait pitié à voir dans l’état qu’il était. Les siècles passés furent une torture pour la jeune femme qui était en fait la mère adoptive de cet enfant et quel était le plus grand malheur d’une mère ? S’était de perdre à jamais son enfant, de ne pas le voir grandir et être fière de l’homme qu’il était devenu. Elle se fichait complètement de son visage à moitié ronger par les rats car elle voyait toujours le même petit Antonin qu’elle a aimé et qu’elle continuera à aimer.

- Oui… je suis là mon petit ange… je veille sur toi… comme je te l’ai promis ce soir où tu ma demander d’être ta nouvelle mère…

Ses yeux continuaient à perler son visage de larmes. Elle avait réellement peur pour son petit et elle se retenait pour ne pas pleurer comme une madeleine et pourtant… elle se rendait compte que tout était de sa faute… si seulement elle aurait déjà dit à l’avance qui elle était à Edric ainsi que son fils. Si elle aurait prit la peine de leur avouer qu’elle était en fait une nymphe, une déesse et qu’elle possédait des pouvoirs Divins et puissant elle n’aurait alors jamais eu peur de montré à qui ce soit son talent et lors du bucher, elle s’en serait alors sortit indemne avec Edric à ses côtés, sans doute en cavale, ayant récupéré aussi le petit Antonin. La jeune femme s’en voulait amèrement de tout cela… tout était ça faute… si elle n’aurait pas agit par peur et en hypocrite, elle aurait alors parfaitement put ainsi continuer à vivre sa vie avec eux. Peut-être aurait-elle vu ceux qu’elle aimait mourir, mais au moins, elle aurait sur la conscience de magnifique souvenir et non celui d’une mort du à un buché pour sorcellerie. Antonin semblait vouloir savoir ce qu’elle faisait, mais il partit pour le monde des rêves et sous la peine… elle implora son ami Morphée…

* Veille sur ses rêves Morphée… je te le confie le temps qu’il dort… prend bien soins de lui…*

Et elle se tourna vers Edric et sous la peine et en pleure…

- Je sais que tu a besoin de temps Edric… mais sache que je n’agis pas contre tes principes ou contre la vie d’Antonin… mais il est difficile pour moi de le regarder ainsi et ne pas prendre mon rôle de mère envers lui… je sais que je dois te faire peur en ce moment, que tu seras distant en raison de ce que je t’ai révélée… mais mon amour pour toi es sincère, que tu le crois ou non… Si tu préfère que je quitte les lieux… je le ferai… mais ne me demande jamais de ne plus te voir… cela me tuerais sur le coup… il n’y a rien de pire pour un Dieu de confier son amour pour un mortel et de se voir rejeté…

Et la jeune femme se leva alors pour quitter la pièce…

**Edric De Molay** Mar 8 Fév - 14:26

Arlequin semblait revenir à lui. S'était un très bon signe. Il devra rester un bon moment ainsi, mais il s'en remettra, Edric en était certain et il devait l'avoué. S'était surtout agace d'Ivy. La déesse se tourna alors vers lui. Il semblait qu'elle était vraiment vexer de la manière qu'il agissait. Malgré son attitude distant et sa manière de ne pas apprécier qu'elle agisse ainsi, il devait avouer qu'elle avait raison et qu'il n'avait pas peur d'elle. C'était vrai qu'il était sous le choc de la révélation, mais même s'il savait à présent qu'elle était une déesse, il la considérait toujours comme la soeur qu'il avait aimé et que malgré le fait qu'elle disait qu'elle était puissante et n'avait plus besoin de lui, il ne pouvait se résoudra à l'idée de la mettre en danger. Il ne pouvait se résoudre au fait qu'elle n'avait plus besoin de lui pour se défendre. Il veillera sur elle jusqu'à son dernier souffle s'il le fallait... Elle se leva pour quitter la pièce mais il lui attrapa la main et l'attira dans ses bras.

- Je ne veux pas que tu partes et je n'aurais pas du douté de toi, après tout, tu m'avais toujours très bien soigner............... Reste Ivy...

Il semblait être devenu beaucoup plus doux soudainement. S'il y avait une chose qu'il détestait, s'était de lui faire de la peine, même si quelques fois, il n'avait pas le choix. S'était son devoir. Il lui murmura alors dans l'oeil quelques mots et fit bien attention qu'Antonin ne l'entende pas même s'il savait qu'il dormait.

- Je sais que tu le considères comme son fils... mais s'est pareil pour moi malgré les apparences...

Il se retourna alors vers Arlequin et déposa sa tête contre celle d'Ivy et la berça un moment. il s'inquiétait énormément pour son écuyer. Il n'était pas question qu'il le laisse partir de nouveau. Et surtout pas retourner chez les Black Wings. Il retournera le chercher lui même s'il le fallait! On vie était en danger avec eut et il voulait garder un oeil sur lui.

**Arlequin** Dim 13 Fév - 22:00

Arlequin dormait paisiblement, du moins, relativement paisiblement vu la situation. Dans ses rêves, son esprit continuait à se poser des milliers de questions. Qu’allait-il bien pouvoir faire ? Il ne pouvait pas rester avec Edric…pas avec ce qu’il était devenu. Antonin n’était pas idiot, il savait que son ancien maître n’avait aucun mal à voir en lui une victime, un innocent dont la seule faute est d’avoir été aux mauvais endroits aux mauvais moments, que dans le fond il était toujours son écuyer. Par contre, l’assassin savait très bien ce qu’il était devenu. Il n’en avait pas honte mais n’en était pas particulièrement satisfait non plus, il l’acceptait simplement. Arlequin n’avait pas survécu pendant des siècles pour rien, il avait longtemps tenté de combattre ce qu’il était mais avait fini par abandonner en ne voyant que ça ne changeait rien, qu’il continuait à faire souffrir les gens et à adorer ça.

Flashback
On venait de le jeter dans le fond d’une cellule. Son visage était encore couvert de sang et il continuait de hurler jusqu’à ne plus avoir de souffle. Antonin était allongé sur le sol de pierre, il n’avait pas bougé de là depuis qu’on venait de l’enfermer. Sa tête gisait dans une mare rougeâtre qui créait une nouvelle tâche sur le sol déjà parsemé de ces marques de sang plus ou moins fraîche. Cinq jours, ça faisait cinq jours et quatre nuits que l’enfant avait été fait prisonniers.

L’accueil lui avait semblé plutôt sympathique lorsqu’il y repensait. On l’avait amené dans une pièce immense où il pouvait entendre des gens hurler et supplier qu’on leur ôte la vie. Alors, on avait commencé par lui demander où trouver les Templiers, et il refusa évidemment de répondre pour respecter son serment. On lui montra donc les différents instruments qu’on allait utiliser pour le faire parler afin de l’effrayer. Mais Antonin continua de se taire, ce n’était peut-être qu’un enfant mais on lui avait bien appris à ne pas craindre la souffrance, quoiqu’il n’avait jamais rien subit de comparable à ce qu’on s’apprêtait à lui infliger. Le petit manège commença en douceur, on le suspendit au plafond quelques heures avec de lourds poids accrochés aux chevilles. Au bout d’un certain temps, Antonin commençait à avoir l’impression que son corps allait se séparer en deux mais il serrait les dents et patientait. Le bourreau finit par venir le décrocher et on se remit à lui poser des questions.

- Où sont-ils ?

- Je ne sais pas.

- As-tu renié le christ ?

- Non

- AS-TU RENIÉ LE CHRIST?

- NON!

On lui posait sans arrêt les mêmes questions pendant environ trente minutes et il continuait de répondre de la même façon. Après cette petite pause, on l’attacha sur ce qui à première vue était une table. On lui passa une corde autour des jambes de telle façon que lorsque le bourreau tira d’un coup sec on pu entendre un os craquer. La cheville d’Antonin venait de faire un tour complet et il ne pu s’empêcher d’hurler. On le laissa ainsi un instant pour lui reposer les questions mais il continuait de s’obstiner. Le bourreau continua, la cheville fit un autre tour. Entre chaque torsion on lui laissait un moment pour l’interroger. Première journée, Antonin avait tenu le coup. Il ne pouvait plus marcher, tant mieux il ne pourrait pas s’enfuir. On lui laissa quelques heures de repos sur le sol humide et froid de sa cellule, on ne voulait quand même pas le tuer avant de l’avoir fait parler.

Deuxième journée. Le bourreau vint le trainer hors de la cellule, le faisant passer devant le corridor de barreaux qui lui permettaient de voir tout ces êtres mutilés et rendu à moitié fou par la souffrance, voir ce qui l’attendait. On lui posa les questions, afin de voir si la nuit ne lui avait pas porté conseil. Il se contenta de répondre par un mot, toujours le même « Non ». On l’attacha donc de nouveau, comme la veille avec des poids aux chevilles. Le supplice dura plus longtemps par contre. Ses bras ne supportaient plus le poids de son corps et il se mordait les lèvres jusqu’au sang pour ne pas leur donner la satisfaction de l’entendre crier cette fois là. Ensuite, interrogatoire qui ne donna strictement rien. Et finalement, la journée se clôtura avec des coups de fouets. Ce soir là, la première mare de sang se forma dans sa cellule. Antonin ne pu s’empêcher de pleurer, se disant que son maitre aurait honte de le voir aussi faible et ne supportant plus la douleur. En passant dans le couloir des cellules, parmi les cris et les supplications, on pouvait entendre une prière. L’enfant ne faisait que répéter ce qu’on lui avait appris, suppliant Dieu de lui accorder sa pitié et de guider les pas de ses frères loin de cet enfer.

Troisième journée. Le train-train quotidien. Les questions qui se répétaient encore et encore. Tout ce qui changeait, c’était la souffrance qui empirait. Cette journée là, on commença par jeter de l’alcool sur les plaies que le fouet de la veille avait laissé avant d’y mettre le feu. Antonin sentait sa chair lui donner un aperçu du bûcher sur lequel seraient envoyés ses frères s’il parlait. Etonnamment, on ne le suspendit pas au plafond cette fois et on le retourna plutôt aux coups de fouets. Après le troisième jour, Antonin ne vivait plus que de l’espoir que son maitre vienne le sauver. Il continuait à croire que c’était une question de minutes, d’heures tout au plus. La quatrième journée fut plutôt calme. On le suspendit en lui enfonçant des crochets métalliques dans le dos. Il resta accroché là jusqu’à ce que la chair lâche et qu’il s’écrase lourdement au sol. Le gamin voulait encore croire qu’on ne le laisserait pas, que ça serait bientôt fini et qu’il s’en sortirait vivant. Jamais il n’avait eu aussi peur de la mort, jamais elle ne lui avait semblé si présente. Ce soir là, on lui apporta du pain et de l’eau, ce qui lui sembla être un véritable banquer. La journée la plus dure restait à venir. On en avait assez de cet enfant qui savait trop bien tenir sa langue, il fallait donc y aller drastiquement. Antonin était attaché sur une chaise et des sangles de cuirs retenaient une étrange boîte sur sa tête. Il entendait des grattements.

- Tu vas nous dire où ils sont ?

- Sottard!

- Je vais prendre ça pour un non.

La plaque de métal qui l’empêchait de voir fut retirée et un énorme rat se jeta sur son visage. Le jeune garçon ne pouvait que hurler et supplier en sentant l’animal arracher sa chair. La bête affamée le dévorait vivant et il ne pouvait même pas se débattre. On l’avait fouetté sans rien en tiré, les bourreaux n’étaient pas des gens patients et n’avaient pas hésité malgré le jeune âge de leur prisonnier à user de plus de violence, la souffrance finissait toujours par délier les langues. Il n’en pouvait plus, il voulait mourir.

- Arrêtez !

- Tu vas parler !

- NON !

- C’est dommage car mon petit ami a un puissant appétit. Amenez les chiens.

- Je vous en supplie !

- Garde tes supplications pour d’autres sal traitre !

Il entendit des aboiements. Antonin avait déjà tellement mal, il devait bien lui manquer une bonne partie de son visage et le rat ne semblait pas avoir terminé. L’enfant n’en pouvait plus.

- Je vais tout vous dire ! Arrêtez !

Et là, il dit tout. Il avoua tout ce dont on les accusait l’Ordre et lui. Il donna leurs noms…et le lieu où il savait qu’ils s’étaient réfugiés. Antonin ne faisait pas ça pour sa vie, simplement pour que la mort arrive plus rapidement. Il avait su dès le premier jour que la seule façon de s’en tirer vivant serait de s’enfuir mais il n’y était pas parvenu, il était complètement fichu. L’échafaud l’attendait dès le lendemain. Il était un traitre, ça il n’eut aucun mal à l’avouer après leur avoir dit tout ce qu’ils voulaient savoir. Dans le fond de sa cellule, il continuait de prier, mais cette fois pour demander de ne pas réussir à traverser la nuit, de périr comme le lâche qu’il était le méritait, au fond d’un cachot. La suite, Antonin n’avait jamais été certain qu’elle se soit produite ou si ça n’avait été que le produit de son imagination. Le fait est qu’il entendit une voix.

- Petit…lève-toi, il faut partir.

Avec les chevilles en morceaux, Antonin savait très bien qu’il ne pouvait pas se lever mais senti quelque chose lui agripper le bras pour le relever. S’étant attendu à tomber lourdement au sol, il fut surpris d’arriver à se tenir debout. Il resta planté là un moment jusqu’à ce que cette étrange force qui l’avait remis sur ses pieds le pousse. C’est ainsi qu’il parcouru le couloir des cellules dans lequel régnait un étrange silence qui n’était rompu que par cette fois sorti de nulle part qui lui disait de se dépêcher.

Quand il se réveilla, le visage réchauffé par les rayons du soleil, Antonin ne savait pas où il était. On aurait dit un marché où les gens allaient et venaient. Il porta une main à son visage pour constater qu’il avait un masque. En l’enlevant, il ne pu que remarquer la seule chose qui lui permettait de comprendre que les cinq derniers jours qu’il avait vécu n’étaient pas un simple cauchemar. Son visage…
Fin Flashback

Arlequin se mit à parler dans son sommeil, il grommelait des prières en latin puis se mit à bouger légèrement. Il se réveilla en sursaut alors que l’image de son visage qu’il avait vu pour la première fois reflété dans une flaque d’eau. Son geste fut si brusque qu’il tomba en bas du lit.

**Ivy Poison** Dim 13 Fév - 22:35

La jeune femme n’espérait pas moins de la part d’Edric… les révélations qu’elle lui avait fait était plus que troublante, elle était difficile à assimilé pour ce pauvre jeune homme qui avait vécu dans ses valeurs et des croyances totalement différente à celle de la jeune Déesse, mais il avait tant à apprendre de sa part, des choses à découvrir… elle pourrait enfin lui partager son monde comme lui, lui avait partagé le siens. Enfin elle pourrait être elle-même et réellement se sentir aimer pour ce qu’elle était et non ce qu’elle ressemblait. Ivy se doutait fort bien qu’Edric ne cesserait jamais de la protégé et elle n’en attendait pas moins de sa part et espérait qu’il serait toujours le même avec elle. La pauvre se sentait de trop dans la pièce et décida donc de prendre ses cliques et ses claques pour ainsi laisser Edric en paix avec son enfant adoptif. Mais alors qu’elle approchait de la porte, il la prit par la main et la ramena dans ses bras… à ce moment… la jeune femme voulu pleurer… pleurer pour évacuer ses peines, ses colères, ses frustrations… tout ce qui avait fait en sorte que sa vie ne soit pas aussi beau et merveilleux qu’elle aurait du être en présent d’Edric son âme sœur. Les Dieux étaient formelles… Edric et elle était destiné à se rencontrés et de s’aimer jusqu’à la fin des temps… Edric désirait qu’elle reste et Ivy ne pouvait pas faire autrement… et elle pleura alors… pleura pour évacuer toutes ces mauvaises émotions qu’elle accumula…

- Je t’aie Edric… je suis désolée de t’avoir mentis durant le temps que nous étions ensemble… mais il y a tellement de chose qui mon torturer… des choses que je ne peux encore te le dire car ce serait encore trop dure pour toi d’encaisser… mais je veux partager ma vie avec toi… te faire voir le monde comme je le vois, te présenter ma famille, mon monde… je veux que tu sache tout de moi Edric… le veux-tu mon amour ? Sache aussi une chose… les Dieux avaient prévus notre rencontre… crois le ou non… mais nous étions destiner à être ensembles… nous sommes âmes sœurs…

La voix rassurante d’Edric la calma et elle prit alors place sur ses genoux, Antonin qui dormait enfin paisiblement, Ivy qui désirait tant être réconforté… cela faisait si longtemps qu’elle ne s’était pas retrouver ainsi au bras de son amant, qu’il cherchait à la consoler… mais… il y avait ce secret qui la tiraillait… un secret qui pourrait complètement déchirer Edric… non elle ne pouvait pas lui en parler… pas maintenant…

- Edric… le sentiment qu’une femme porte à un enfant est différent pour un homme… je te rappelle que cela ne fait pas des siècles que tu désire avoir un bébé… moi si… et je n’ai jamais pu en avoir car je ne voulais pas tomber enceinte que par l’homme qui m’était destiné… mais nous n’avions pas pu… et qu’aurais dit les gens du peuple si j’aurais été enceinte de toi ? Sorcière ! Sorcière… comprends tu que j’ai vécue une vie très difficile ? Tu ignore ce qu’est d’être un Dieu et de vivre à travers les gens obliger de caché qui nous sommes pour ne pas être poursuivit… Antonin était tout pour moi, celui qui me permettrait enfin de taire cette petite voix en moi qui me pousse à être fécondé et mettre au monde un héritier… je ne cherche pas à dire que tu ne l’aime pas autant que moi… mais… non ce n’est pas pareille Edric… pas comme tu le pense…

Car elle avait perdu un fils de lui et cela lui déchirait l’âme au plus haut point… elle pleurait encore contre Edric, ne disant rien sur ce passé très fâcheux pour finalement s’endormir d’épuisement contre son amant… elle était tirailler par tellement de chose…

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