AccueilUne vieille connaissance... [PV Edric]
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Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Jeu 27 Jan - 5:44
Le monde fut tout aussi sombre et maléfique qu’il l’était avant qu’Ivy ne se réveille après cent ans de régénération. Le monde ne semblait point vouloir évoluer aux mieux. La chasse aux sorcières perdurait malgré tout. Tant de mort et de gens pourchasser. Beaucoup de créatures fantastiques devaient se cacher de la vue des gens, créant ainsi un second monde du nom ‘’ le Purgatoire ‘’. S’était un monde prise entre les trois mondes : Le paradis, L’enfer et le Physique, la Terre. Les véritables sorcières, les Dieux et autre créature fantastique, unirent pouvoir et volonté pour ainsi créer ce monde invisible à l’humain tant qu’ils craignaient son courroux. Certes, l’humain pensait pouvoir détruire le monde inconnu, mais se n’étaient rien aux combats qui perduraient. Mais oublier l’idées des fées avec des ailes ou bien de la sorcière sur le balai volant riant à la lune. Ivy ne savait plus pourquoi vivre, tant qu’elle avait perdu le premier homme qu’elle avait autant aimé. Alors, la jeune femme voua tout son pouvoir, son amour et sa volonté dans les plantes, cherchant à les protéger et les aider. La jeune femme put retrouver l’ancien couvant dans lequel elle s’était infiltrer et par bonheur, elle put constater que ces femmes avaient évolué leur façon d’être et elle vit une statue à son effigie. Elle s’approcha alors de celle-ci pour la toucher et sentit l’énergie bienveillante et d’amour de ses parents. La voix de son père résonna au fond elle-même.
- Ma fille… ne perd pas espoir… beaucoup d’humain découvre leurs erreurs et apprenne à les corriger. Vois ces femmes qui vouaient un simple culte à un Dieu qui n’était nulle autre que père ! Je leur ai insufflé des rêves parlant de toi, pour ainsi leur faire comprendre que tu étais bien plus qu’une simple druidesse. Certes, il fut dur de détruire leurs croyances. Mais voit maintenant… elles voueront un culte en ton honneur jusqu’à la fin des temps et pour ainsi les protégés, certaine d’entre elle possèdes les pouvoirs que tu possède…
S’était tout en l’honneur de la jeune femme de voir celles qui étaient ses amies pouvoir ainsi devenir un jour de magnifique Dryades, car s’était le sort que l’on leur réservait dès leurs morts. Le monde possédait toujours une lueur d’espoir qui pour la femme, était signe que l’humanité pouvait changer, évoluer et apprendre. Son voyage la mena alors en Hongries pour enquêter sur un Vampire au nom de Vlad. OH, mais attention, ici nous ne parlons pas d’être surpuissant, ne pouvant aller au soleil, suçant le sang des gens pour survivent. Les vampires, qui en fait était des ‘’ Suceur de Sang ‘’, hommes ou femmes, qui possédaient un pouvoir hypnotique sur les gens pour ainsi les amadouer. Doté d’une grande vitesse et d’une grande force, cela leur venait simplement de la victime qu’ils consommaient. Oublier les légendes de chauve-souris et tout cela, ce ne sont que des sornettes. Boire le sang de leurs victimes ne servait simplement qu’à prolonger leur vie. Donc il n’était pas rare de voir des ‘’Suceurs de Sang’’ à l’apparence d’un vieillard alors qu’ils avaient que vingt ans lors de leur transformation. Donc, la jeune femme devait enquêter sur l’existence de deux éventuelles et dangereux Suceur de Sang : Vlad Tepes Dracul et Erzébeth Bathory. Elle fit donc la connaissance, sur le chemin, d’un homme au nom d’Abraham Van Helsing, un homme fort charmant qui ne fut pas dénuer de séduction envers la Déesse. Tous deux vécurent ainsi une relation intime, partageant leur désire de chasser ces deux vampires. Éventuellement, la jeune femme lui apporta divers information sur le monde fantastique qui se cachaient des humains, lui révélant qu’elle était en fait une Déesse. Les années passèrent où tous deux chassèrent les deux Vampires, mais éventuellement, chacun s’en était sortit avec l’aide de leur pouvoir et de la tromperie. Mais Ivy ne pouvait rester car d’autre mission lui furent confier par les Dieux, l’amenant à vivre d’autre aventures avec d’autre hommes, mais rien et personne ne su remplacer Edric de Molay. Il était l’homme qui avait su conquérir son cœur, se l’approprier et ne plus jamais lui rendre. Il était le voleur de son âme, mais il était mort désormais et une grande tristesse envahissait la jeune femme qui désirait tant revoir celui qu’elle aimait plus que tout…
Et les années passèrent et passèrent jusqu’à arriver aux Vingtième siècles où le monde de l’Industrie connue une extension exponentielle, ce qui affecta énormément la planète, la nature et les Dieux. Certes leurs pouvoir étaient toujours aussi grandiose, mais ils s’étaient affaiblit par la perte de nombreux croyants qui maintenant désiraient les voir pour perpétuer leurs croyances. Mais beaucoup de gens continuèrent l’ésotérisme, les prières et tout le reste, alors les Dieux tiraient leur pouvoir de ces gens. Et pour Ivy, il était difficile de ressentir ce que la planète vivait et tentait de se régénérer sans pouvoir le faire avec tous les bêtises des hommes, tel que Perl Arbore, la Deuxième Guerre Mondial, Hiroshima et bien d’autre… l’industrie augmentait, détruisant de plus en plus d’arbres et beaucoup de lieu se mirent à torturer de pauvre bêtes sans défense pour ainsi nourrir la terre entière, sous une demande importante de produits. Ivy n’alla jamais en Amérique, étant un continent Condamné selon elle. C’était à cet endroit juste où les amérindiens vivaient en harmonie avec les esprits, Dieux et tout le reste mais lorsque les colons arrivèrent pour colonisé, ce ne fut pas long que ce monde spirituelle chavira, poussant ainsi les créatures à se cacher dans le purgatoire, pour ainsi se cacher des humains. L’humanité n’avait pu d’espoir et la jeune femme le savait. Mais elle devait entretenir les forêts qui étaient plus importante. Ses sœurs et cousines jouaient leur rôle et donc, Ivy devait en faire autant. Mais un soir, alors que la jeune femme remettait de l’ordre dans la forêt, deux hommes surprirent la jeune femme avec son pouvoir et ce ne fut pas long avant qu’il tente de la capture en usant d’un pouvoir combiner de Feu. Encercler par les flammes, elle perdit connaissance…
La jeune femme se réveilla, enfermer dans une caisse en bois comme si elle était qu’un vulgaire animal et la fit exploser en propulsant des lianes de son corps. Elle était dans son avion et l’air semblait se faire rare, ce qui n’était pas un problème pour la jeune femme. Une fois atterrie, la jeune femme ne leur laissa pas la chance de réagir lorsqu’ils ouvrirent la coque. Tous furent propulser vers l’arrière et la jeune femme en descendit avec élégance…
- Par Déméter… la galanterie n’est plus ce qu’il était… Tha sas skotó̱so̱ ólous ..( Je vous tuerai tous)
Et ses yeux brillèrent d’une lumière verte et dangereuse. L’air semblait devenir plus dense et le sol tremblait autour de la jeune femme. S’était pas le goudron qui l’empêcherait d’utiliser ses pouvoirs et un combat s’enchaina alors entre la femme et les gens. Et alors qu’elle pensait avoir le dessus, les deux hommes qui usaient du feu s’en prirent à elle et de nouveau, elle suffoqua. À leur pied, elle se prépara à les déconcentré pour les tuer et en faire de la composte pour les plantes quand un autre Black Wings vinrent aider et la jeune femme tourna son regard vers lui. Étrangement, le feu disparu et elle put se débarrasser de ce nouveau gêneur et elle se tourna alors, ayant sentit la présence d’un autre homme et elle l’attaqua avec ses lianes, le figeant contre le mur. Son visage était voilé d’ombre par une cape capuchonner vert forêt de soies, cadeau de sa mère, ne laissant que deux yeux s’illuminer. Apollon s’était coucher pour laisser sa sœur Artémis se lever. Et la tension descendu lorsque la jeune femme compris qui se tenait devant elle… Par Zeus… s’était impossible… il était mort ! Il ne pouvait vivre… ce ne pouvait pas être lui et pourtant… même armure, même visage, même corps aussi musclé, même épée… tout était de lui, tout était identique, à quelques différence près. La jeune femme s’approcha alors, continuant de parler en Grec.
- Chmm ... endiaférousa ... ti téchni̱ ti i̱ zo̱í̱ mou férnei edó̱? Énas nekrós o̱s dó̱ro? (Hum... intéressant... qu'es-ce que la vie m'apporte là ? Un mort en cadeau ?)
Ce ne pouvait pas être Edric… impossible… Elle dévoila alors son visage…
- Voila une vieille connaissance que je ne pensais jamais revoir un jour… Zeus doit vouloir me récompenser de mon dur labeur…
Et elle défit son emprisonnement…
- Ma fille… ne perd pas espoir… beaucoup d’humain découvre leurs erreurs et apprenne à les corriger. Vois ces femmes qui vouaient un simple culte à un Dieu qui n’était nulle autre que père ! Je leur ai insufflé des rêves parlant de toi, pour ainsi leur faire comprendre que tu étais bien plus qu’une simple druidesse. Certes, il fut dur de détruire leurs croyances. Mais voit maintenant… elles voueront un culte en ton honneur jusqu’à la fin des temps et pour ainsi les protégés, certaine d’entre elle possèdes les pouvoirs que tu possède…
S’était tout en l’honneur de la jeune femme de voir celles qui étaient ses amies pouvoir ainsi devenir un jour de magnifique Dryades, car s’était le sort que l’on leur réservait dès leurs morts. Le monde possédait toujours une lueur d’espoir qui pour la femme, était signe que l’humanité pouvait changer, évoluer et apprendre. Son voyage la mena alors en Hongries pour enquêter sur un Vampire au nom de Vlad. OH, mais attention, ici nous ne parlons pas d’être surpuissant, ne pouvant aller au soleil, suçant le sang des gens pour survivent. Les vampires, qui en fait était des ‘’ Suceur de Sang ‘’, hommes ou femmes, qui possédaient un pouvoir hypnotique sur les gens pour ainsi les amadouer. Doté d’une grande vitesse et d’une grande force, cela leur venait simplement de la victime qu’ils consommaient. Oublier les légendes de chauve-souris et tout cela, ce ne sont que des sornettes. Boire le sang de leurs victimes ne servait simplement qu’à prolonger leur vie. Donc il n’était pas rare de voir des ‘’Suceurs de Sang’’ à l’apparence d’un vieillard alors qu’ils avaient que vingt ans lors de leur transformation. Donc, la jeune femme devait enquêter sur l’existence de deux éventuelles et dangereux Suceur de Sang : Vlad Tepes Dracul et Erzébeth Bathory. Elle fit donc la connaissance, sur le chemin, d’un homme au nom d’Abraham Van Helsing, un homme fort charmant qui ne fut pas dénuer de séduction envers la Déesse. Tous deux vécurent ainsi une relation intime, partageant leur désire de chasser ces deux vampires. Éventuellement, la jeune femme lui apporta divers information sur le monde fantastique qui se cachaient des humains, lui révélant qu’elle était en fait une Déesse. Les années passèrent où tous deux chassèrent les deux Vampires, mais éventuellement, chacun s’en était sortit avec l’aide de leur pouvoir et de la tromperie. Mais Ivy ne pouvait rester car d’autre mission lui furent confier par les Dieux, l’amenant à vivre d’autre aventures avec d’autre hommes, mais rien et personne ne su remplacer Edric de Molay. Il était l’homme qui avait su conquérir son cœur, se l’approprier et ne plus jamais lui rendre. Il était le voleur de son âme, mais il était mort désormais et une grande tristesse envahissait la jeune femme qui désirait tant revoir celui qu’elle aimait plus que tout…
Et les années passèrent et passèrent jusqu’à arriver aux Vingtième siècles où le monde de l’Industrie connue une extension exponentielle, ce qui affecta énormément la planète, la nature et les Dieux. Certes leurs pouvoir étaient toujours aussi grandiose, mais ils s’étaient affaiblit par la perte de nombreux croyants qui maintenant désiraient les voir pour perpétuer leurs croyances. Mais beaucoup de gens continuèrent l’ésotérisme, les prières et tout le reste, alors les Dieux tiraient leur pouvoir de ces gens. Et pour Ivy, il était difficile de ressentir ce que la planète vivait et tentait de se régénérer sans pouvoir le faire avec tous les bêtises des hommes, tel que Perl Arbore, la Deuxième Guerre Mondial, Hiroshima et bien d’autre… l’industrie augmentait, détruisant de plus en plus d’arbres et beaucoup de lieu se mirent à torturer de pauvre bêtes sans défense pour ainsi nourrir la terre entière, sous une demande importante de produits. Ivy n’alla jamais en Amérique, étant un continent Condamné selon elle. C’était à cet endroit juste où les amérindiens vivaient en harmonie avec les esprits, Dieux et tout le reste mais lorsque les colons arrivèrent pour colonisé, ce ne fut pas long que ce monde spirituelle chavira, poussant ainsi les créatures à se cacher dans le purgatoire, pour ainsi se cacher des humains. L’humanité n’avait pu d’espoir et la jeune femme le savait. Mais elle devait entretenir les forêts qui étaient plus importante. Ses sœurs et cousines jouaient leur rôle et donc, Ivy devait en faire autant. Mais un soir, alors que la jeune femme remettait de l’ordre dans la forêt, deux hommes surprirent la jeune femme avec son pouvoir et ce ne fut pas long avant qu’il tente de la capture en usant d’un pouvoir combiner de Feu. Encercler par les flammes, elle perdit connaissance…
La jeune femme se réveilla, enfermer dans une caisse en bois comme si elle était qu’un vulgaire animal et la fit exploser en propulsant des lianes de son corps. Elle était dans son avion et l’air semblait se faire rare, ce qui n’était pas un problème pour la jeune femme. Une fois atterrie, la jeune femme ne leur laissa pas la chance de réagir lorsqu’ils ouvrirent la coque. Tous furent propulser vers l’arrière et la jeune femme en descendit avec élégance…
- Par Déméter… la galanterie n’est plus ce qu’il était… Tha sas skotó̱so̱ ólous ..( Je vous tuerai tous)
Et ses yeux brillèrent d’une lumière verte et dangereuse. L’air semblait devenir plus dense et le sol tremblait autour de la jeune femme. S’était pas le goudron qui l’empêcherait d’utiliser ses pouvoirs et un combat s’enchaina alors entre la femme et les gens. Et alors qu’elle pensait avoir le dessus, les deux hommes qui usaient du feu s’en prirent à elle et de nouveau, elle suffoqua. À leur pied, elle se prépara à les déconcentré pour les tuer et en faire de la composte pour les plantes quand un autre Black Wings vinrent aider et la jeune femme tourna son regard vers lui. Étrangement, le feu disparu et elle put se débarrasser de ce nouveau gêneur et elle se tourna alors, ayant sentit la présence d’un autre homme et elle l’attaqua avec ses lianes, le figeant contre le mur. Son visage était voilé d’ombre par une cape capuchonner vert forêt de soies, cadeau de sa mère, ne laissant que deux yeux s’illuminer. Apollon s’était coucher pour laisser sa sœur Artémis se lever. Et la tension descendu lorsque la jeune femme compris qui se tenait devant elle… Par Zeus… s’était impossible… il était mort ! Il ne pouvait vivre… ce ne pouvait pas être lui et pourtant… même armure, même visage, même corps aussi musclé, même épée… tout était de lui, tout était identique, à quelques différence près. La jeune femme s’approcha alors, continuant de parler en Grec.
- Chmm ... endiaférousa ... ti téchni̱ ti i̱ zo̱í̱ mou férnei edó̱? Énas nekrós o̱s dó̱ro? (Hum... intéressant... qu'es-ce que la vie m'apporte là ? Un mort en cadeau ?)
Ce ne pouvait pas être Edric… impossible… Elle dévoila alors son visage…
- Voila une vieille connaissance que je ne pensais jamais revoir un jour… Zeus doit vouloir me récompenser de mon dur labeur…
Et elle défit son emprisonnement…
Ivy Poison- Simple membre
- Messages : 34
Date d'inscription : 26/01/2011
Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Jeu 27 Jan - 12:39
Avant
Edric finit par sortir dans la ville après avoir passé plusieurs mois enfermés dans la mine. Il se dit qu'il avait repris une forme acceptable et il sera assez agile désormais pour pouvoir se défendre s'il était attaqué. De toute manière, il était certain qu'il allait finir par devenir fou qu'il ait été enfermé une journée de plus. Plusieurs Solciers n'étaient pas d'accord avec leur chef. Ils voulaient vraiment qu'il se repose avant de retourner faire une tour dans le monde extérieur, car Keth était un endroit terrible où le danger pouvait surgir à tout moment et comme ils avaient presque perdu leur chef, ils ne voulaient pas vraiment prendre le risque de le retrouver de nouveau ensanglanté avec un sabre enfoncer près du coeur et un poumon perforer! Ce n'était vraiment pas une bonne place pour vivre et malgré les commentaires de ses membres,le Templier poursuivit sa route.
Il s'était équipé de sa cape, le médaillon de l'Ordre qu'il cachait soigneusement sous son chandail et de son épée Templère qui ne l'avait jamais laissé tomber dans les combats les plus terribles. Le chef des Solciers prit aussi un petit pistolet. S'était toujours utile, même s'il n'avait jamais été vraiment agile avec les armes de cette époque. Il passa plusieurs minutes à se demander pour il pourrait commencer à patrouiller. Le grand air lui faisait de plus grands biens. Même s'il n'y avait que très peu verdure, que les animaux ne venaient plus ici et que l'atmosphère et noir, voir morbide, il se sentait beaucoup plus détendu que dans la mine. Edric commençait vraiment à se demander pourquoi il avait installé son repère dans une grotte! Mit à par qu'il était beaucoup plus simple de défendre l'endroit, mais côté confort, s'était horrible.
Edric finit par tomber sur une jeune personne qui semblait être en détresse. Deux Black Wings fonçaient sur elle. Avait utilisée son don pour encercler la victime de flemme. Elle semblait suffoquer la pauvre. Sans hésiter, il sortir son épée et couru en sa direction. Il s'attaqua tout de suite à l'homme qui contrôlait ses flammes infernales. Il n'y pas le temps de réagir que la lame lui transperça le coeur. D'un mouvement vif, il retira sa lame pour couper la tête de son compagnon, mais une fraction de seconde plus tard, il sentit des lianes l'entourer et le piéger contre le mur. Tenant fermement son arme en main, il tenta de se déprendre, mais il était complètement immobilisé. La femme avait donc un pouvoir elle aussi... et il était sûrement tombé dans le panneau! Elle s'approcha de lui, mais il ne pouvait pas voir son visage. Il tenta de ce débattre, mais rien à faire. C'est alors qu'il entendit sa voix.... il la connaissait....
** FlashBack **
Alors que le jeune chevalier faisait sa ronde pour s'assurer que les environs étaient sécuritaires sous l'Ordre du Magister, il tomba sur une soeur. Ce n'était pas prudent de rester ici alors il décida d'aller la voir pour l'incité de rentrer au couvant.
- Bonsoir ma sœur, pardonnez-moi de vous interrompre dans vos prières mais les environs ne sont pas sûrs. Ce serait dommage si vous vous faites mortir. Retournez au couvant avant qu’il n’arrive malheur ! Que Dieu vous protèges…
La jeune femme semblait l'ignorer alors qu'une magnifique fleur naquit à ses genou. Incroyable mais vrai...elle se tourna alors vers lui...
- Par Dieu, je devais me rendre en ces Lieux sous la Lune, par la volonté du Seigneur ! Une sœur est souffrante et je suis ici pour cueillir ce qui me faudra pour venir à son aide… je suis guérisseuse au sein de mon couvant vous savez! Dieu me parle la nuit et me partage ses connaissances des plantes et de la nature… peut-être accepteriez vous de me reconduire au couvant ?
Une voix aussi mélodieuse....
** Flash-Back 2 **
Ivy prenait son bain dans le lac et alors que Edric l’ignorait, il la surprit, nue, en train de se laver. Gêner, il s’était tourner par respect pour la jeune femme. Elle sortit de l’eau et s’approcha d’Edric, mais ses principes l’empêchaient
d’agir avec la femme tel qu’il aurait du faire. S’approchant de lui, elle passa ses mains autour de lui, collant son corps contre le siens. Ses mains glissèrent sur ses bras pour croiser ses mains avec celle
d’Edric
- Je ne peux plus cacher mon amour pour toi Edric… dit moi que tu partage les mêmes sentiments pour moi…
** Flash-Back 3 **
Edrc s'était vêtu d'une capuche qui masquait son visage. Il avait réussit à se faire dans les habitants qui hurlait et riait alors que Ivy était attachée à une poutre de bois. Le coeur serré, il regardait la scène impuissant. Les paysans s'amusaient de la traiter de sorcière. Le Templier ne les croyait pas. Elle ne pouvait être une sorcière... Il fut obligé de la voir bruler sur le bûcher en hurlant de douleur alors que les flemmes la brûlaient vivante. Une image horrible qu'il ne pourrait jamais sortir de son esprit....
** Fin Flash-Back **
Cette voix, cette démarche... cette manière de parler. S'était impossible... il l'avait vu brûler vif! Son coeur s'arrêta pendent plusieurs secondes. Complètement figer, il fixa l'étrangère qui s'approchait vers lui incapable de dire quoi que ce soit... mais lorsqu'elle enleva son capuchon, il sentit tout son corps faiblir... s'était vraiment elle! Mais c'était impossible... Lorsque les lianes le lâcha, il se laissa tomber au sol avant de se relever presque tremblant l'épée dirigé vers elle.
- Par les Saints couillons du Pape.... c'est impossible.... tu ne peux être vivante...
Il était sur ses gardes. Cela pouvait très bien être un piège des Black Wings. Il n'y avait aucun doute que ce ne pouvait pas être elle. Il l'avait vu brûlé vif sur le bûché...il y a de ça bien des années...et puis... comment ce faisait-il qu'elle contrôlait les plantes... non... ce ne pouvait être elle... ce n'était pas ELLE!
Edric finit par sortir dans la ville après avoir passé plusieurs mois enfermés dans la mine. Il se dit qu'il avait repris une forme acceptable et il sera assez agile désormais pour pouvoir se défendre s'il était attaqué. De toute manière, il était certain qu'il allait finir par devenir fou qu'il ait été enfermé une journée de plus. Plusieurs Solciers n'étaient pas d'accord avec leur chef. Ils voulaient vraiment qu'il se repose avant de retourner faire une tour dans le monde extérieur, car Keth était un endroit terrible où le danger pouvait surgir à tout moment et comme ils avaient presque perdu leur chef, ils ne voulaient pas vraiment prendre le risque de le retrouver de nouveau ensanglanté avec un sabre enfoncer près du coeur et un poumon perforer! Ce n'était vraiment pas une bonne place pour vivre et malgré les commentaires de ses membres,le Templier poursuivit sa route.
Il s'était équipé de sa cape, le médaillon de l'Ordre qu'il cachait soigneusement sous son chandail et de son épée Templère qui ne l'avait jamais laissé tomber dans les combats les plus terribles. Le chef des Solciers prit aussi un petit pistolet. S'était toujours utile, même s'il n'avait jamais été vraiment agile avec les armes de cette époque. Il passa plusieurs minutes à se demander pour il pourrait commencer à patrouiller. Le grand air lui faisait de plus grands biens. Même s'il n'y avait que très peu verdure, que les animaux ne venaient plus ici et que l'atmosphère et noir, voir morbide, il se sentait beaucoup plus détendu que dans la mine. Edric commençait vraiment à se demander pourquoi il avait installé son repère dans une grotte! Mit à par qu'il était beaucoup plus simple de défendre l'endroit, mais côté confort, s'était horrible.
Edric finit par tomber sur une jeune personne qui semblait être en détresse. Deux Black Wings fonçaient sur elle. Avait utilisée son don pour encercler la victime de flemme. Elle semblait suffoquer la pauvre. Sans hésiter, il sortir son épée et couru en sa direction. Il s'attaqua tout de suite à l'homme qui contrôlait ses flammes infernales. Il n'y pas le temps de réagir que la lame lui transperça le coeur. D'un mouvement vif, il retira sa lame pour couper la tête de son compagnon, mais une fraction de seconde plus tard, il sentit des lianes l'entourer et le piéger contre le mur. Tenant fermement son arme en main, il tenta de se déprendre, mais il était complètement immobilisé. La femme avait donc un pouvoir elle aussi... et il était sûrement tombé dans le panneau! Elle s'approcha de lui, mais il ne pouvait pas voir son visage. Il tenta de ce débattre, mais rien à faire. C'est alors qu'il entendit sa voix.... il la connaissait....
** FlashBack **
Alors que le jeune chevalier faisait sa ronde pour s'assurer que les environs étaient sécuritaires sous l'Ordre du Magister, il tomba sur une soeur. Ce n'était pas prudent de rester ici alors il décida d'aller la voir pour l'incité de rentrer au couvant.
- Bonsoir ma sœur, pardonnez-moi de vous interrompre dans vos prières mais les environs ne sont pas sûrs. Ce serait dommage si vous vous faites mortir. Retournez au couvant avant qu’il n’arrive malheur ! Que Dieu vous protèges…
La jeune femme semblait l'ignorer alors qu'une magnifique fleur naquit à ses genou. Incroyable mais vrai...elle se tourna alors vers lui...
- Par Dieu, je devais me rendre en ces Lieux sous la Lune, par la volonté du Seigneur ! Une sœur est souffrante et je suis ici pour cueillir ce qui me faudra pour venir à son aide… je suis guérisseuse au sein de mon couvant vous savez! Dieu me parle la nuit et me partage ses connaissances des plantes et de la nature… peut-être accepteriez vous de me reconduire au couvant ?
Une voix aussi mélodieuse....
** Flash-Back 2 **
Ivy prenait son bain dans le lac et alors que Edric l’ignorait, il la surprit, nue, en train de se laver. Gêner, il s’était tourner par respect pour la jeune femme. Elle sortit de l’eau et s’approcha d’Edric, mais ses principes l’empêchaient
d’agir avec la femme tel qu’il aurait du faire. S’approchant de lui, elle passa ses mains autour de lui, collant son corps contre le siens. Ses mains glissèrent sur ses bras pour croiser ses mains avec celle
d’Edric
- Je ne peux plus cacher mon amour pour toi Edric… dit moi que tu partage les mêmes sentiments pour moi…
** Flash-Back 3 **
Edrc s'était vêtu d'une capuche qui masquait son visage. Il avait réussit à se faire dans les habitants qui hurlait et riait alors que Ivy était attachée à une poutre de bois. Le coeur serré, il regardait la scène impuissant. Les paysans s'amusaient de la traiter de sorcière. Le Templier ne les croyait pas. Elle ne pouvait être une sorcière... Il fut obligé de la voir bruler sur le bûcher en hurlant de douleur alors que les flemmes la brûlaient vivante. Une image horrible qu'il ne pourrait jamais sortir de son esprit....
** Fin Flash-Back **
Cette voix, cette démarche... cette manière de parler. S'était impossible... il l'avait vu brûler vif! Son coeur s'arrêta pendent plusieurs secondes. Complètement figer, il fixa l'étrangère qui s'approchait vers lui incapable de dire quoi que ce soit... mais lorsqu'elle enleva son capuchon, il sentit tout son corps faiblir... s'était vraiment elle! Mais c'était impossible... Lorsque les lianes le lâcha, il se laissa tomber au sol avant de se relever presque tremblant l'épée dirigé vers elle.
- Par les Saints couillons du Pape.... c'est impossible.... tu ne peux être vivante...
Il était sur ses gardes. Cela pouvait très bien être un piège des Black Wings. Il n'y avait aucun doute que ce ne pouvait pas être elle. Il l'avait vu brûlé vif sur le bûché...il y a de ça bien des années...et puis... comment ce faisait-il qu'elle contrôlait les plantes... non... ce ne pouvait être elle... ce n'était pas ELLE!
Dernière édition par Edric De Molay le Ven 28 Jan - 10:52, édité 1 fois
Edric De Molay- Chef des Solciers
- Messages : 437
Date d'inscription : 10/12/2010
Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Jeu 27 Jan - 15:43
Edric n’avait pas changé d’un poile depuis les siècles passé. Que lui était-il arrivé pour qu’il puisse obtenir l’immortalité ? Avait-il contrarié les Dieux ? Était-il aussi un Dieu ou même un Demi-dieu ? La jeune femme ignorait tout cela de lui, mais elle s’en fichait. Son cœur se remit à battre de nouveau pour lui qui l’avait tant chaviré, mais le pauvre, il semblait pris d’hallucinations en voyant la jeune femme, ayant levé son épée devant elle. Connaissant ses compétences d’écuyer, elle ne voulait pas le brusquer et donc, elle ne bougea plus. Comment lui dire qui elle était réellement et ce, sans que personne puisse être en mesure de recopier cela ? La jeune femme devait y penser et faire attention… et bien déjà. Si elle était réellement une black Wings, elle n’aurait pas été attaqué de la sorte et n’aurait pas tué des gens, alors que Edric pouvait voir des plantes envelopper les corps morts des cadavres pour les trainer au loin et en faire de la composte. Elle y pensait…
- Edric… Par Zeus, cesse tes conneries… c’est bien moi… i̱líthios(idiot)… baisse ton épée… je… je ne suis pas morte… et je pourrais en dire autant pour toi tu sais… selon les lois de la nature, tu devrais être mort, enterrer et ton âme au ciel…
La jeune femme se risqua alors d’avancer doucement, levant la main pour ainsi démontrer sa soumission à lui, pour ainsi lui prouver qu’elle ne lui voulait rien de mal. S’il n’était pas idiot, il saurait alors réaliser que la jeune femme devant lui était bel et bien Ivy Poison, cette sœur en qui il était tombé amoureux jadis au moyen-âge. La jeune femme s’approcha délicatement, ne démontrant aucune agressivité.
- Souviens toi agápi̱(amour)… souviens toi de notre première rencontre… j’étais devant un lac et une fleur a mystérieusement poussé devant moi… Tu as surgis des bois pour venir me prévenir du danger que les bois encourait… et je t’ai alors demandée de me raccompagné au couvant pour sauver Sœur Gisèle… Souviens-toi… s’était la pleine lune à ce moment, tu portais cette magnifique armure, mais nous avons été attaqué… tu as été blessé et je me suis occuper de tes blessures… en fait, pendant cinq ans, ce fut moi qui te soigna, je connais même toutes tes blessures… tu en a une sur le dos qui te viens d’un assassin qui a tenter à ta vie. Tu en a une autre au niveau du ventre qui te vient d’une fois alors que tu essayais de sauver une pauvre vieille dame en détresse. Tu en a beaucoup qui te viennes des combats lors que nous voyageons et que nous étions attaqués. Tu ma toujours protégé de tout… et souviens toi de ce jour où l’on ma brûler… l’on croyait que j’étais morte… mais je ne l’étais point et je sais que tu ma transporter dans la forêt, là où était la nature et lorsque tu ma ensevelis de la terre, tu a dis ‘’…
Et elle lui laissa alors dire ces mots qu’il avait récités en son hommage. Ivy avait continué d’avancer doucement, montrant toujours sa soumission et arriver au niveau de l’épée, elle leva la lame vers son cou et appuya le bout pointu sur sa gorge…
- Je ne suis pas une sorcière… mais j’ai toujours eu un pouvoir en liaison avec la nature… Den boró̱ akóma na sas apokalýpsei poios eímai… (je ne peux te révéler pour le moment qui je suis... mais je sais que tu fera le bon choix mon amour… mais si tu crois alors que je suis vraiment l’ennemis… tue moi…
S’était sans doute de la pure folie ce qu’elle était en train de faire, mais elle n’avait pas le choix de prouver qui elle était, qu’elle était celle qu’il avait toujours aimé. Ivy avait foi en Edric et savait qu’il ferait le bon choix… elle espérait alors qu’il ferait le bon choix… et de toute façon, elle ne pourrait mourir de la sorte… on ne peut tuer un Dieu…
- Edric… Par Zeus, cesse tes conneries… c’est bien moi… i̱líthios(idiot)… baisse ton épée… je… je ne suis pas morte… et je pourrais en dire autant pour toi tu sais… selon les lois de la nature, tu devrais être mort, enterrer et ton âme au ciel…
La jeune femme se risqua alors d’avancer doucement, levant la main pour ainsi démontrer sa soumission à lui, pour ainsi lui prouver qu’elle ne lui voulait rien de mal. S’il n’était pas idiot, il saurait alors réaliser que la jeune femme devant lui était bel et bien Ivy Poison, cette sœur en qui il était tombé amoureux jadis au moyen-âge. La jeune femme s’approcha délicatement, ne démontrant aucune agressivité.
- Souviens toi agápi̱(amour)… souviens toi de notre première rencontre… j’étais devant un lac et une fleur a mystérieusement poussé devant moi… Tu as surgis des bois pour venir me prévenir du danger que les bois encourait… et je t’ai alors demandée de me raccompagné au couvant pour sauver Sœur Gisèle… Souviens-toi… s’était la pleine lune à ce moment, tu portais cette magnifique armure, mais nous avons été attaqué… tu as été blessé et je me suis occuper de tes blessures… en fait, pendant cinq ans, ce fut moi qui te soigna, je connais même toutes tes blessures… tu en a une sur le dos qui te viens d’un assassin qui a tenter à ta vie. Tu en a une autre au niveau du ventre qui te vient d’une fois alors que tu essayais de sauver une pauvre vieille dame en détresse. Tu en a beaucoup qui te viennes des combats lors que nous voyageons et que nous étions attaqués. Tu ma toujours protégé de tout… et souviens toi de ce jour où l’on ma brûler… l’on croyait que j’étais morte… mais je ne l’étais point et je sais que tu ma transporter dans la forêt, là où était la nature et lorsque tu ma ensevelis de la terre, tu a dis ‘’…
Et elle lui laissa alors dire ces mots qu’il avait récités en son hommage. Ivy avait continué d’avancer doucement, montrant toujours sa soumission et arriver au niveau de l’épée, elle leva la lame vers son cou et appuya le bout pointu sur sa gorge…
- Je ne suis pas une sorcière… mais j’ai toujours eu un pouvoir en liaison avec la nature… Den boró̱ akóma na sas apokalýpsei poios eímai… (je ne peux te révéler pour le moment qui je suis... mais je sais que tu fera le bon choix mon amour… mais si tu crois alors que je suis vraiment l’ennemis… tue moi…
S’était sans doute de la pure folie ce qu’elle était en train de faire, mais elle n’avait pas le choix de prouver qui elle était, qu’elle était celle qu’il avait toujours aimé. Ivy avait foi en Edric et savait qu’il ferait le bon choix… elle espérait alors qu’il ferait le bon choix… et de toute façon, elle ne pourrait mourir de la sorte… on ne peut tuer un Dieu…
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Jeu 27 Jan - 17:50
Elle resta à l'écart un moment alors qu'elle ne semblait pas vouloir l'attaquer. Au contraire, elle resta bien loin et ce mit à lui parler. Elle avait un point. Il aurait du être mort depuis bien longtemps mort et pourtant il était toujours bien vivant et en plaine forme comparé a ses derniers mois. Edric la regardait d'un regard noir. Elle avait le même langage. Il était bien possible que ce soit un piège. Arlequin pouvait bien souiller dans son passé, pourquoi les autres ne pouvaient pas eut aussi? Il n'y avait absolument rien qui prouvait qu'elle n'était pas un ennemi. Tranquillement, elle se mit à s'approcher de lui. Il sera le anche de son épée dans baisser sa garde. Il ne suffisait qu'un simple mouvement pour qu'il la découpe en petites rondelles. Ivy leva cependant les mains en signe de paix. Plus elle parlait, plus Edric sentait son bras faiblir. Il n'y avait qu'une seule personne qui connaissait ce qui était arrivé et s'était elle. Comment pouvait-elle vraiment savoir tout ceci? Elle le racontait comme si elle l'avait vécu. Il l'avait vu brûlé! Il l'avait enterré... et lorsqu'il se pencha sur sa tombe...
-... Bien que les fleurs se fanent, et disparaissent, leurs précieux parfums demeureront toujours.... tout comme ces fleurs éclatantes, empreints dans mes souvenir précieux avec toi.... tu restera toujours dans mon coeur... repose en paix et que Dieu est pitié de toi....... nous nous retrouverons.....
Elle s'approcha alors de lui et mit sa lame sous son cou. Il resta la à l'observer. Il hésitait. Edric n'avait qu'un mouvement à faire... un simple petit mouvement... elle disait qu'elle ne pouvait pas lui dire ce qu'elle était. Si s'était vraiment elle, qu'avait-elle caché depuis temps d'année... il voyait mal autre chose que la possibilité d'être une sorcière si elle était toujours bien en vie! Le Templier ne voulait cependant pas le croire... c'était impossible! Il recula de plusieurs pas. Essayait-elle de jouer dans son esprit....
- Comment....
Les mots ne venait pas. Il espérait et craignait tellement que ce soit bel et bien elle qui se trouvait devant lui. Il fixa ses yeux pendant de longues minutes avant de rabaisser son arme... en fait, il l'échappa presque. Il garda cependant ses distances. Que devait-il vraiment pensé!
-... Bien que les fleurs se fanent, et disparaissent, leurs précieux parfums demeureront toujours.... tout comme ces fleurs éclatantes, empreints dans mes souvenir précieux avec toi.... tu restera toujours dans mon coeur... repose en paix et que Dieu est pitié de toi....... nous nous retrouverons.....
Elle s'approcha alors de lui et mit sa lame sous son cou. Il resta la à l'observer. Il hésitait. Edric n'avait qu'un mouvement à faire... un simple petit mouvement... elle disait qu'elle ne pouvait pas lui dire ce qu'elle était. Si s'était vraiment elle, qu'avait-elle caché depuis temps d'année... il voyait mal autre chose que la possibilité d'être une sorcière si elle était toujours bien en vie! Le Templier ne voulait cependant pas le croire... c'était impossible! Il recula de plusieurs pas. Essayait-elle de jouer dans son esprit....
- Comment....
Les mots ne venait pas. Il espérait et craignait tellement que ce soit bel et bien elle qui se trouvait devant lui. Il fixa ses yeux pendant de longues minutes avant de rabaisser son arme... en fait, il l'échappa presque. Il garda cependant ses distances. Que devait-il vraiment pensé!
Edric De Molay- Chef des Solciers
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Jeu 27 Jan - 18:42
La jeune femme espérait tant qu’Edric n’ai jamais oublié ces paroles lors qu’il l’avait enterré. Elle s’en était toujours souvenue et cela l’avait marqué à vie. Elle se rappelait de l’époque du moyen-âge, avant que cette époque devienne sombre, beaucoup d’homme vouaient respect envers leur femmes, respectant un code d’honneur, mais les choses avaient changé avec l’avènement des prêtes et leur ascension aux pouvoirs. Ces pauvres idiots… Ils se croyaient si puissant et fort, alors qu’ils n’étaient rien comparer aux Dieux, aux nymphes, aux véritables sorcier, qui en faite, réussir parfaitement à échapper aux gens des villes et villages tant leur stupidité était endormante. Tous ce qui leurs étaient étranges, ils les brulaient, ne voyant qu’Hadès partout où ils allaient. Les humains n’étaient que des ignorants, pire que les animaux. Enfin… Il semblait se rappeler de cette parole et lorsqu’il la prononça, elle le dit alors en même temps que lui :
-... Bien que les fleurs se fanent, et disparaissent, leurs précieux parfums demeureront toujours.... tout comme ces fleurs éclatantes, empreints dans mes souvenir précieux avec toi.... tu resteras toujours dans mon coeur... repose en paix et que Dieu est pitié de toi....... nous nous retrouverons.....
Elle posa alors la lame sur son cou, l’invitant à la tuer s’il ne croyait pas en elle. Mais il semblait hésitant. Le pauvre était troubler et ne savait pas quoi dire ou quoi penser de la jeune femme. Sa main tremblait et il recula de quelques pas, croyant sans doute que la femme se jouait de lui et cela fit bien de la peine à la jeune femme qui tentait tant bien que mal de lui montré qu’elle était réellement celle qu’il avait aimée, mais il ne semblait pas encore le croire. Que pourrait-elle faire alors ? Mais il fallait dire qu’elle était prise au dépourvu, ne pensant jamais revoir un jour Edric, certaine de sa mort. La jeune femme ne s’avança pas. Edric voulait savoir comment…
- Comme je viens de te le dire, prosforá mou agápi̱(mon tendre amour), j’ai une affinité avec la nature et celle-ci a décider de me ramener à la vie. Cent a dut prendre pour que mon corps se reconstitue et que ma beauté me revienne, ainsi que mes pouvoirs… il n’y a pas que des sorcières dans le monde tu sais Edric, allá oi Naḯtes sas xegelásoun mía gia af̱tés tis pli̱roforíes(mais les Templiers t'on berner sur ces informations). L’Humain à toujours créé les croyances pour démystifier ce qui lui était inexpliquer, mais il n’y a pas que le mal autour de sois Edric prosforá mou (mon tendre Edric)… Tu peux choisir de me croire… comme tu peux choisir de me tuer… mais… tu devras alors vivre avec ce choix de peut-être ne pas avoir fait le bon choix si tu me repousse… le choix est a toi…
La jeune femme recula alors, tournant dos au jeune homme… elle croyait l’avoir perdu, de parce qu’il semblait avoir peur et parce qu’il semblait ne pas la croire… Elle s’éloigna un peu pour fermer les yeux et chanter une douce mélodie qu’elle chantait toujours à Edric souvent le soir après qu’ils avaient fait l’amour…
‘’ Ypárchei mia forá í̱tan mia Theá, pou genní̱thi̱ke apó ti̱n éno̱si̱ tou Apóllo̱na kai ti̱s Dí̱mi̱tras (Il fut jadis une Déesse, née de l'union d'Apollon et de Déméter)
Af̱tí̱ i̱ gynaíka í̱tan éna apó ta omorfótera tou vasileíou tou, allá éprepe na akolouthí̱sei ti̱n Sátyros stous opoíous eíche anatetheí (Cette femme était une des plus jolie de son royaume, mais elle devait suivre le Satyre à qui elle fut confier)
Allá melaniasméno i̱ kardiá tou den í̱thele af̱tí̱ ti̱ zo̱í̱ (Mais son coeur meurtris ne désirait pas de cette vie)
Gia na xefýgei, pou katéstrepse to Sátyros, apelef̱theró̱nontas ti̱n adelfí̱ tou apó ta nýchia Nýmfes (Pour fuir, elle détruit le Satyre, libérant ainsi ses soeurs Nymphes de l'emprise)
I̱ kardiá tou í̱tan gemáti̱ me polloús ándres, ópo̱s o I̱raklí̱s, o patéras tou o Apóllo̱n, o Perséas, o Achilléas kai polloí ándres exakolouthoún na (Son coeur fut pris de bien des hommes tel qu'Héraclès, son père Apollon, Persée,Achille et bien des hommes encore)
Allá i̱ kardiá tou eíche móno mía pragmatikí̱ kai megáli̱ agápi̱ í̱tan af̱tí̱ enós Naoú ... (Mais son coeur connu un seul véritable et grand amour qui était celui d'un Templier... )
Apó mia apagorev̱méni̱ agápi̱, pou enó̱thi̱kan gia na kánoun mia pio (D'un amour interdit, ils s'unirent ensemble pour ne faire plus qu'un)
Kai pará ti̱n apagorev̱méni̱ agápi̱, ékapsan ta fterá tous mazí sti̱n aio̱nióti̱ta ... (Et malgré cette amour interdit, ils brûlèrent leurs ailes ensembles dans l'éternité...)
Et elle recommença sa chanson comme elle le faisait toujours...
-... Bien que les fleurs se fanent, et disparaissent, leurs précieux parfums demeureront toujours.... tout comme ces fleurs éclatantes, empreints dans mes souvenir précieux avec toi.... tu resteras toujours dans mon coeur... repose en paix et que Dieu est pitié de toi....... nous nous retrouverons.....
Elle posa alors la lame sur son cou, l’invitant à la tuer s’il ne croyait pas en elle. Mais il semblait hésitant. Le pauvre était troubler et ne savait pas quoi dire ou quoi penser de la jeune femme. Sa main tremblait et il recula de quelques pas, croyant sans doute que la femme se jouait de lui et cela fit bien de la peine à la jeune femme qui tentait tant bien que mal de lui montré qu’elle était réellement celle qu’il avait aimée, mais il ne semblait pas encore le croire. Que pourrait-elle faire alors ? Mais il fallait dire qu’elle était prise au dépourvu, ne pensant jamais revoir un jour Edric, certaine de sa mort. La jeune femme ne s’avança pas. Edric voulait savoir comment…
- Comme je viens de te le dire, prosforá mou agápi̱(mon tendre amour), j’ai une affinité avec la nature et celle-ci a décider de me ramener à la vie. Cent a dut prendre pour que mon corps se reconstitue et que ma beauté me revienne, ainsi que mes pouvoirs… il n’y a pas que des sorcières dans le monde tu sais Edric, allá oi Naḯtes sas xegelásoun mía gia af̱tés tis pli̱roforíes(mais les Templiers t'on berner sur ces informations). L’Humain à toujours créé les croyances pour démystifier ce qui lui était inexpliquer, mais il n’y a pas que le mal autour de sois Edric prosforá mou (mon tendre Edric)… Tu peux choisir de me croire… comme tu peux choisir de me tuer… mais… tu devras alors vivre avec ce choix de peut-être ne pas avoir fait le bon choix si tu me repousse… le choix est a toi…
La jeune femme recula alors, tournant dos au jeune homme… elle croyait l’avoir perdu, de parce qu’il semblait avoir peur et parce qu’il semblait ne pas la croire… Elle s’éloigna un peu pour fermer les yeux et chanter une douce mélodie qu’elle chantait toujours à Edric souvent le soir après qu’ils avaient fait l’amour…
‘’ Ypárchei mia forá í̱tan mia Theá, pou genní̱thi̱ke apó ti̱n éno̱si̱ tou Apóllo̱na kai ti̱s Dí̱mi̱tras (Il fut jadis une Déesse, née de l'union d'Apollon et de Déméter)
Af̱tí̱ i̱ gynaíka í̱tan éna apó ta omorfótera tou vasileíou tou, allá éprepe na akolouthí̱sei ti̱n Sátyros stous opoíous eíche anatetheí (Cette femme était une des plus jolie de son royaume, mais elle devait suivre le Satyre à qui elle fut confier)
Allá melaniasméno i̱ kardiá tou den í̱thele af̱tí̱ ti̱ zo̱í̱ (Mais son coeur meurtris ne désirait pas de cette vie)
Gia na xefýgei, pou katéstrepse to Sátyros, apelef̱theró̱nontas ti̱n adelfí̱ tou apó ta nýchia Nýmfes (Pour fuir, elle détruit le Satyre, libérant ainsi ses soeurs Nymphes de l'emprise)
I̱ kardiá tou í̱tan gemáti̱ me polloús ándres, ópo̱s o I̱raklí̱s, o patéras tou o Apóllo̱n, o Perséas, o Achilléas kai polloí ándres exakolouthoún na (Son coeur fut pris de bien des hommes tel qu'Héraclès, son père Apollon, Persée,Achille et bien des hommes encore)
Allá i̱ kardiá tou eíche móno mía pragmatikí̱ kai megáli̱ agápi̱ í̱tan af̱tí̱ enós Naoú ... (Mais son coeur connu un seul véritable et grand amour qui était celui d'un Templier... )
Apó mia apagorev̱méni̱ agápi̱, pou enó̱thi̱kan gia na kánoun mia pio (D'un amour interdit, ils s'unirent ensemble pour ne faire plus qu'un)
Kai pará ti̱n apagorev̱méni̱ agápi̱, ékapsan ta fterá tous mazí sti̱n aio̱nióti̱ta ... (Et malgré cette amour interdit, ils brûlèrent leurs ailes ensembles dans l'éternité...)
Et elle recommença sa chanson comme elle le faisait toujours...
Ivy Poison- Simple membre
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Jeu 27 Jan - 19:23
Il l'écouta attentivement alors que son coeur se serrait de plus en plus. La nature pouvait vraiment faire une chose pareille? La femme lui tourna le dos. Edric ne pouvait plus de cette torture. La voir ainsi, s'il découvrait qui était responsable pour cette illusion! Il lui fera la peau. Le Templier savait que la meilleure façon de s'en sortir était de détruire l'illusion...
Edric s'approcha et leva son épée vers le ciel prêt à trancher le corps de la jeune déesse en deux mais lorsqu'elle se mit à chanter, il figea sur place et laissa tomber son épée au sol. Cette mélodie... s'était trop...personne ne pouvait la chanter aussi bien que son amour... il se mit alors a murmuré les paroles alors qu'elle recommença sa chanson.
- nomen Dei hoc vero te (Non de Dieu... c'est toi)
Il s'approcha d'elle tremblant, la retourna vers lui et l'embrassa sauvagement. S'était plus fort que lui.. il avait été avec sa pulsion de l'instant. Il la sera contre lui mais après un moment il réalisa ce qu'il était en train de faire et se décolla aussi rapidement qu'il avait sauter sur elle.
- Ivy.... je...
Il n'avait même pas été fidèle avec elle... et puis il ne pouvait se promettre de tomber sous son charme de nouveau. Il était le chef des Solciers... il devait se consacrer corps et âme à sa tâche difficile.
Edric s'approcha et leva son épée vers le ciel prêt à trancher le corps de la jeune déesse en deux mais lorsqu'elle se mit à chanter, il figea sur place et laissa tomber son épée au sol. Cette mélodie... s'était trop...personne ne pouvait la chanter aussi bien que son amour... il se mit alors a murmuré les paroles alors qu'elle recommença sa chanson.
- nomen Dei hoc vero te (Non de Dieu... c'est toi)
Il s'approcha d'elle tremblant, la retourna vers lui et l'embrassa sauvagement. S'était plus fort que lui.. il avait été avec sa pulsion de l'instant. Il la sera contre lui mais après un moment il réalisa ce qu'il était en train de faire et se décolla aussi rapidement qu'il avait sauter sur elle.
- Ivy.... je...
Il n'avait même pas été fidèle avec elle... et puis il ne pouvait se promettre de tomber sous son charme de nouveau. Il était le chef des Solciers... il devait se consacrer corps et âme à sa tâche difficile.
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Jeu 27 Jan - 20:16
Ivy ignorait si cela pourrait fonctionner. C’est vrai… des gens aux pouvoirs énorme seraient en mesure de tout reproduire chez elle, mais ça chanson… personne ne le pouvait, même pas un Dieu, car elle venait de son cœur, de son âme, de sa passion pour Edric. La peur envahissait Ivy, la peur de reperdre de nouveau son amour et de ne plus jamais le revoir, la peur d’être décapiter de ses mains et de devoir reprendre cent longue années pour se régénéré. Son cœur était briser de ne pas avoir pu partager ces longues années d’éternité dans les bras de son tendre amour. Et là, elle allait se faire tuer et n’avait que pour seule preuve, cette chanson qu’elle lui chantait toujours… mais le pauvre n’en avait jamais compris les paroles. La jeune femme parlait d’elle-même dans ses paroles mais ne semblait pas en saisir les mots. Et elle le sentit venir vers elle, l’épée prête à s’abattre sur elle quand elle entendit alors le bruit de cette arme qui tomba au sol. Il murmura alors quelque parole avant de la retourner et de l’embrasser sauvagement. La nymphe enroula ses bras autour de son cou pour répondre à se baiser et leur corps se collèrent ensemble, mais il se décolla alors de la jeune femme, honteux de ses actes. Il voulu alors se faire pardonner… et elle posa alors sa main sur sa bouche.
- Non… ne dis rien… ne t’excuse en rien… c’est plutôt moi qui te doits des excuses, principalement parce que tu as assisté à ma mort et du me porter seul pour m’enterrer… je t’ai déjà pardonné il y a de cela des siècles…
Elle s’approcha de lui pour venir poser sa main sur sa joue et la caressa de son gant, quelque chose qu’elle ne quittait jamais. Hors de question de le séduire par les spores qui se dégageait de sa main. Elle aimait cet homme et voulait qu’il l’aime réellement et non artificiellement. Le visage d’Edric semblait par contre en désaccords avec tout cela…
- Qui a-t-il mon Apollon ?...
- Non… ne dis rien… ne t’excuse en rien… c’est plutôt moi qui te doits des excuses, principalement parce que tu as assisté à ma mort et du me porter seul pour m’enterrer… je t’ai déjà pardonné il y a de cela des siècles…
Elle s’approcha de lui pour venir poser sa main sur sa joue et la caressa de son gant, quelque chose qu’elle ne quittait jamais. Hors de question de le séduire par les spores qui se dégageait de sa main. Elle aimait cet homme et voulait qu’il l’aime réellement et non artificiellement. Le visage d’Edric semblait par contre en désaccords avec tout cela…
- Qui a-t-il mon Apollon ?...
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Jeu 27 Jan - 20:46
Edric ferma ses yeux alors qu'elle lui caressa la joue. Il soupira n'arrivant toujours pas à le croire. Elle lui demanda ce qui n'allait pas. Ivy avait toujours été tellement délicate... magnifique et séduisante. Elle lui demandait ce qui n'allait pas. Comment pouvait-il lui dire ça?
- Ivy... ma déesse... mon ange... ça fait des siècles que je te croyais morte...tu sais j'ai essayé de me faire une nouvelle vie mais toutes mes tentatives on fini en enfer...
Il ramassa son arme et la rangea pour ensuite la regarder... il était incapable de détacher son regard d'elle.
- Je suis le chef des Solciers maintenant Ivy... il faut que je me donne corps et âme à cette tâche. Je ne peux pas... retomber en amour. Je dois avoir l'esprit claire. On ne peut pas être ensemble et je ne veux pas que tu restes ici. Cette ville n'est pas une place bien pour vivre...
- Ivy... ma déesse... mon ange... ça fait des siècles que je te croyais morte...tu sais j'ai essayé de me faire une nouvelle vie mais toutes mes tentatives on fini en enfer...
Il ramassa son arme et la rangea pour ensuite la regarder... il était incapable de détacher son regard d'elle.
- Je suis le chef des Solciers maintenant Ivy... il faut que je me donne corps et âme à cette tâche. Je ne peux pas... retomber en amour. Je dois avoir l'esprit claire. On ne peut pas être ensemble et je ne veux pas que tu restes ici. Cette ville n'est pas une place bien pour vivre...
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Ven 28 Jan - 0:14
Caresser son visage… cela faisait si longtemps qu’elle ne l’avait pas fait, qu’elle n’avait pas sentit le souffle de son corps contre le siens, sentir sa peau coller à la sienne, toucher à ses magnifiques cheveux blond et se faire dévorer de son regard bleus Saphir. Il était l’homme parfait à ses yeux, tout en points, autant au niveau psychologique et physique. Aucun homme n’avait à être aussi délicat avec elle comme il le faisait. Il lui avoua donc qu’il eu d’autre relation… comme ci cela la dérangeait…
- J’en ai fait autant de mon côté mon Apollon… j’ai tenté de t’oublier, car je te croyais mort… mais personne n’a su être aussi délicat, attentionnée et amoureux avec moi comme tu l’étais… tu as été le seul à pouvoir faire vibrer chaque racine en moi… tu es le seul qui me permets a créé autant de jolie fleur et de plantes…
La jeune femme le vit ramasser son arme au sol mais leurs regards ne se détachèrent point… comment le pouvait-elle réellement ? Il était si beau, si parfait… si fait pour elle… mais ce qu’il dit lui brisa le cœur… en quoi être seul l’aiderait à mieux géré son groupe ? Il était donc devenu un chef ? S’était le plus grand rêve qu’il chérissait, qu’il lui avait partagé… LA jeune femme s’approcha alors de lui…
- Que vaudrait un chef malheureux, sans amour, sans attention d’une femme qui l’aime autant que lui il l’aime ? Tu seras malheureux de me savoir encore vivante, mais ne pouvant me toucher de nouveau, ne pouvant m’aimer à nouveau ! Tu seras alors détruit, aigris, en colère contre la vie de ne pouvoir être enfin un homme normal… Alors que si je peux enfin partager l’éternité avec toi, l’on sera bien heureux et surtout, maintenant que tu connais mon secret, je n’ai plus peur d’utiliser mes pouvoirs sous tes yeux, sans avoir peur que toi aussi tu veuille me brûler sur le bûcher… je ne veux plus te quitter… et cet endroit ne me fait peur… Et où existe-t-il un endroit sur pour moi Édric ? Les hommes ont changé… les hommes détruisent la nature… où je vais, je ne suis jamais en sécurité, car je mets au péril ma vie pour faire revivre la nature. Où je vais, je risque toujours de mourir… que je sois ici à tes côtés ou ailleurs, cela ne changerait rien… si tu a besoin d’aide, dit moi le… je serai là pour te supporter… Semper amabo te amica mea (je t’aimerai toujours mon amour)
- J’en ai fait autant de mon côté mon Apollon… j’ai tenté de t’oublier, car je te croyais mort… mais personne n’a su être aussi délicat, attentionnée et amoureux avec moi comme tu l’étais… tu as été le seul à pouvoir faire vibrer chaque racine en moi… tu es le seul qui me permets a créé autant de jolie fleur et de plantes…
La jeune femme le vit ramasser son arme au sol mais leurs regards ne se détachèrent point… comment le pouvait-elle réellement ? Il était si beau, si parfait… si fait pour elle… mais ce qu’il dit lui brisa le cœur… en quoi être seul l’aiderait à mieux géré son groupe ? Il était donc devenu un chef ? S’était le plus grand rêve qu’il chérissait, qu’il lui avait partagé… LA jeune femme s’approcha alors de lui…
- Que vaudrait un chef malheureux, sans amour, sans attention d’une femme qui l’aime autant que lui il l’aime ? Tu seras malheureux de me savoir encore vivante, mais ne pouvant me toucher de nouveau, ne pouvant m’aimer à nouveau ! Tu seras alors détruit, aigris, en colère contre la vie de ne pouvoir être enfin un homme normal… Alors que si je peux enfin partager l’éternité avec toi, l’on sera bien heureux et surtout, maintenant que tu connais mon secret, je n’ai plus peur d’utiliser mes pouvoirs sous tes yeux, sans avoir peur que toi aussi tu veuille me brûler sur le bûcher… je ne veux plus te quitter… et cet endroit ne me fait peur… Et où existe-t-il un endroit sur pour moi Édric ? Les hommes ont changé… les hommes détruisent la nature… où je vais, je ne suis jamais en sécurité, car je mets au péril ma vie pour faire revivre la nature. Où je vais, je risque toujours de mourir… que je sois ici à tes côtés ou ailleurs, cela ne changerait rien… si tu a besoin d’aide, dit moi le… je serai là pour te supporter… Semper amabo te amica mea (je t’aimerai toujours mon amour)
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Ven 28 Jan - 0:46
IL devait l'avouer, toutes les femmes qu'il avait aimé par la suite ne l'avait jamais autant marqué d'elle. Ivy avait toujours réussit à le comprendre et à être là lorsqu'il avait besoin d'aide. De plus, il avait apprit à la connaitre et était tranquillement tomber sous son charme. Elle ne lui avait jamais parlé de son pouvoir cependant... de toute manière, avec toutes ses expériences et les gens bizarre qui rôde de nos jours, il se fichait bien qu'elle a un certain don particulier. Il aurait simplement aimé de le connaitre plus tôt...
- Tu es la seule qui a vraiment fait battre mon coeur autant que tu l'as fait Ivy...tu m'as tellement manqué....
C'est vrai. Depuis qu'il était jeune, il avait toujours rêvé de devenir un grand chef mais maintenant qu'il en était un, il trouvait cette tâche beaucoup plus lourde qu'il ne l'avait imaginé. Il ne pouvait pas ce permettre de se remettre en couple... même si son coeur criait de lui sauter dessus, son esprit n'arrivait pas vraiment à vouloir. S'était aussi des retrouvailles assez brusques. Après des siècles d'absence, voilà qu'elle revenait à lui. S'était tout de même un choc et ses cries de douleur qui raisonnait dans la tête du Templier.... les cris de souffrance alors que les flemmes l'enveloppait parce qu'il n'avait pas su la protéger et qu'il avait été trop occupé à tenter de délivré Antonin lorsqu'il était retenu prisonnier...
- Il n'y a presque pas de verdure ici Ivy... tu seras bien triste...
Il hésita un moment puis la prit dans ses bras protecteur et la serra contre lui. Il ferma les yeux et embrassa son front.
- Je t'aimerais toujours Ivy.... depuis le jour ou je t'ai donné mon coeur,,, mais cette époque est terrible. IL y a tellement de chose qui sont arrivés, tellement chose que j'ai fait...Je ne demande qu'a te retrouver mais... je ne peux pas me permettre de te perdre par ma faute... tu seras leur cible principal si les Black Wings savaient... et... et....Te amo tanto (je t'aime tellement) mais je suis damné... et... et..
Il n'y avait pas de ''et'' il ne savait plus trop de qu'il voulait dire. Il était complètement perdu.
- Tu es la seule qui a vraiment fait battre mon coeur autant que tu l'as fait Ivy...tu m'as tellement manqué....
C'est vrai. Depuis qu'il était jeune, il avait toujours rêvé de devenir un grand chef mais maintenant qu'il en était un, il trouvait cette tâche beaucoup plus lourde qu'il ne l'avait imaginé. Il ne pouvait pas ce permettre de se remettre en couple... même si son coeur criait de lui sauter dessus, son esprit n'arrivait pas vraiment à vouloir. S'était aussi des retrouvailles assez brusques. Après des siècles d'absence, voilà qu'elle revenait à lui. S'était tout de même un choc et ses cries de douleur qui raisonnait dans la tête du Templier.... les cris de souffrance alors que les flemmes l'enveloppait parce qu'il n'avait pas su la protéger et qu'il avait été trop occupé à tenter de délivré Antonin lorsqu'il était retenu prisonnier...
- Il n'y a presque pas de verdure ici Ivy... tu seras bien triste...
Il hésita un moment puis la prit dans ses bras protecteur et la serra contre lui. Il ferma les yeux et embrassa son front.
- Je t'aimerais toujours Ivy.... depuis le jour ou je t'ai donné mon coeur,,, mais cette époque est terrible. IL y a tellement de chose qui sont arrivés, tellement chose que j'ai fait...Je ne demande qu'a te retrouver mais... je ne peux pas me permettre de te perdre par ma faute... tu seras leur cible principal si les Black Wings savaient... et... et....Te amo tanto (je t'aime tellement) mais je suis damné... et... et..
Il n'y avait pas de ''et'' il ne savait plus trop de qu'il voulait dire. Il était complètement perdu.
Dernière édition par Edric De Molay le Ven 28 Jan - 10:51, édité 1 fois
Edric De Molay- Chef des Solciers
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Ven 28 Jan - 1:54
Il était une véritable Perle rare et il le savait, mainte fois qu’elle lui avait dite. Cet homme avait quelque chose en lui, un potentielle puissant mais il ne semblait pas vraiment s’en rendre compte. Il avait tant de force et de caractère, mais le simple fait d’être seul ne l’aidait pas et il semblait réellement vouloir protéger la jeune femme, mais ce n’était plus son rôle désormais. Elle pouvait se protégé elle-même, principalement depuis qu’elle arrivait à donner certaine capacités à ses plantes, donc celui de résister au feu pour en devenir insensible. Edric n’avait plus besoin de jouer au chevalier servant avec la jeune femme… elle désirait une âme sœur à temps plein, qui l’aimerait et la respecterait…
- C’est réciproque Edric… et je ne veux plus jamais te quitter… il faudra que tu me tue et m’expédie ailleurs pour te débarrasser de moi… car je reste et ce, peu importe tes protestations… tu ne m’empêcheras pas de vivre à nouveau avec toi… kit à me battre pour que tu te décide de me reprendre…
La jeune femme était décider et personne ne lui ferait changer d’idée. Le destin les réunissait de nouveau. Zeus lui-même désirait les revoir ensemble, alors pourquoi aller à l’encombre des Dieux ? La vie avait mené la jeune femme ici et il devait avoir une raison. Ce n’était plus Ivy qui avait besoin d’Edric, mais Edric qui avait besoin d’Ivy et la jeune femme le sentait. Il semblait légèrement troubler, ne sachant plus quoi penser et elle ne pouvait l’empêcher d’agir de la sorte, car il avait toujours été ainsi, toujours tiraillé entre ses sentiments et ses principes… Il n’avait toujours pas compris que les principes servaient à être violer ? La femme se souvenait de la dernière fois qu’elle l’avait regardé… et quelques larmes coulaient sur ses joues… il l’avait vu crever comme une vulgaire vaut rien et elle l’avait entendu pleurer, sentit ses larmes sur son corps. L’homme s’était détruit les mains à creuser un trou pour elle et l’enterra avec ces dernières paroles… et saviez vous pourquoi cela arriva ? Parce qu’elle s’était éloigner de lui et qu’il n’avait pas pu la protégé et cette fois, elle comptait changer la donne…
- Et bien… mon pouvoir va au-delà de ce que tu crois mon amour… Oi theoí tha me synodév̱ei (Les dieux m'accompagneront)…
L’homme sembla hésiter un moment avant de la prendre dans ses bras et de lui embrasser le front… cela faisait si longtemps qu’il ne lui avait pas fait cela et ses bras si muscler l’avait tant manqué. Il était un des rares mecs de ce monde a encore possédé de véritable muscle, une véritable carrure d’ours. Il était dangereux de contrarier Edric et sa force était très grande. D’une seule main, il arrivait parfaitement à la soulever, elle qui pesait comme une fleur. Son regard se ferma pour profiter de ce moment intime avec lui, malgré que les lieux ne fussent pas vraiment approprier…
- Idiot… tu me perdras de toute façon si je dois partir… pense-si… tu accepterais de perdre la seconde chance que les Dieux nous offres Edric ? C’est un cadeau que les hauts placés nous offres, une seconde chance… Edric… toi aussi tu mérite le bonheur… Dieu ne voudrait pas te voir malheureux… il n’est pas mauvais et ce n’est pas mauvais l’amour… c’est quelque chose de merveilleux que Dieu à créé… et crois-moi… pour avoir rencontré son fils en personne, il ne voudrait pas que l’on se sépare ainsi… et … je peux t’assister tu sais… je devais jouer les bonnes sœurs à cette époque, mais plus maintenant… je suis bien plus forte et puissance que toi-même mon cher… je pourrais t’assister, être ton bras droit, ta conseillère… ton assassin, n’oublie pas que je possède une infinité de connaissance dans les poisons. Crois-moi… je saurais t’être très utile…
- C’est réciproque Edric… et je ne veux plus jamais te quitter… il faudra que tu me tue et m’expédie ailleurs pour te débarrasser de moi… car je reste et ce, peu importe tes protestations… tu ne m’empêcheras pas de vivre à nouveau avec toi… kit à me battre pour que tu te décide de me reprendre…
La jeune femme était décider et personne ne lui ferait changer d’idée. Le destin les réunissait de nouveau. Zeus lui-même désirait les revoir ensemble, alors pourquoi aller à l’encombre des Dieux ? La vie avait mené la jeune femme ici et il devait avoir une raison. Ce n’était plus Ivy qui avait besoin d’Edric, mais Edric qui avait besoin d’Ivy et la jeune femme le sentait. Il semblait légèrement troubler, ne sachant plus quoi penser et elle ne pouvait l’empêcher d’agir de la sorte, car il avait toujours été ainsi, toujours tiraillé entre ses sentiments et ses principes… Il n’avait toujours pas compris que les principes servaient à être violer ? La femme se souvenait de la dernière fois qu’elle l’avait regardé… et quelques larmes coulaient sur ses joues… il l’avait vu crever comme une vulgaire vaut rien et elle l’avait entendu pleurer, sentit ses larmes sur son corps. L’homme s’était détruit les mains à creuser un trou pour elle et l’enterra avec ces dernières paroles… et saviez vous pourquoi cela arriva ? Parce qu’elle s’était éloigner de lui et qu’il n’avait pas pu la protégé et cette fois, elle comptait changer la donne…
- Et bien… mon pouvoir va au-delà de ce que tu crois mon amour… Oi theoí tha me synodév̱ei (Les dieux m'accompagneront)…
L’homme sembla hésiter un moment avant de la prendre dans ses bras et de lui embrasser le front… cela faisait si longtemps qu’il ne lui avait pas fait cela et ses bras si muscler l’avait tant manqué. Il était un des rares mecs de ce monde a encore possédé de véritable muscle, une véritable carrure d’ours. Il était dangereux de contrarier Edric et sa force était très grande. D’une seule main, il arrivait parfaitement à la soulever, elle qui pesait comme une fleur. Son regard se ferma pour profiter de ce moment intime avec lui, malgré que les lieux ne fussent pas vraiment approprier…
- Idiot… tu me perdras de toute façon si je dois partir… pense-si… tu accepterais de perdre la seconde chance que les Dieux nous offres Edric ? C’est un cadeau que les hauts placés nous offres, une seconde chance… Edric… toi aussi tu mérite le bonheur… Dieu ne voudrait pas te voir malheureux… il n’est pas mauvais et ce n’est pas mauvais l’amour… c’est quelque chose de merveilleux que Dieu à créé… et crois-moi… pour avoir rencontré son fils en personne, il ne voudrait pas que l’on se sépare ainsi… et … je peux t’assister tu sais… je devais jouer les bonnes sœurs à cette époque, mais plus maintenant… je suis bien plus forte et puissance que toi-même mon cher… je pourrais t’assister, être ton bras droit, ta conseillère… ton assassin, n’oublie pas que je possède une infinité de connaissance dans les poisons. Crois-moi… je saurais t’être très utile…
Ivy Poison- Simple membre
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Ven 28 Jan - 10:51
Elle insista de nouveau pour rester et le menaça que la seule façon de ce débarrassé d'elle était de la tuer, chose qu'il ne pourrait jamais faire. Cruel créature! Il avait beau avoir combattu des millions d'homme en terre Sainte, traverser les grandes guerres, survivre à des centaines de combats, subit les pires tortures sans jamais céder à la tentation de tout abandonner, frôler la mort il ne sait combien de fois, il chevalier était incapable de rivaliser contre cette femme et se sera sûrement toujours ainsi. Que pouvait-il dire d'autre? La seule façon possible était de tenter de la blesser. De lui dire que tout était fini et qu'il ne voudrait plus jamais la revoir mais encore là, il savait qu'elle comprendrait qu'il mentait et de si vraiment son plan marcherait, misère à lui car son coeur se briserait de nouveau en mile miettes. Il n'avait absolument rien à dire d'autre. Il était contrains d'accepter sa proposition. De faiblir son sa demande. Mais quel genre de chef faisait-il vraiment à se laisser manipuler ainsi?
- Combien de fois devrais-je te dire que je ne veux pas que tu sois en danger... tu sais très bien que jamais je ne pourrais te tuer! Tu ne te rend pas compte du danger Ivy, regarde il y a quelques minutes! Tu étais prête pour l'abattoir. Si je n'avais pas tuer l'homme qui t'avait fait prisonnière des flemmes, tu ne serais plus là en ce moment ou bien tu serais rendu dans ce foutu hôpital et le Black Wings t'aurait fait subir les pires tortures du monde.... croit moi, le monde n'a jamais été en si mauvais état et je suis responsable de tout......
Il allait dire qu'il était responsable de tout cette merde. Que bien avant qu'il ne la rencontre, il avait fait un acte pitoyable, dégoutant et avait souillé une jeune femme qui lui avait voler pour la première fois son coeur. Elle l'avait complètement souler à leur dernier jour dans la seigneurie de Rossal et que sans le savoir, il l'avait mit enceinte... que tue cette génération d'enfant s'était poursuivit sans qu'il ne le sache jusqu'à se rendre à celui qui à fonder les Black Wings... son petit fils et que par conséquent, il pourrait sur ses épaules toutes les victimes de cette ville sur ses épaules... non, il ne pouvait le dire. Seul Arlequin connaissait le secret et il devait rester ainsi! S'était un des plus lourd fardeau qu'il devait porter sur son dos.
-... c'est homme qui on décidé de se battre pour pouvoir refaire de Keth en endroit bon pour y vivre. Dieu n'est pas avec moi Ivy. Regarde moi bien, physiquement je suis toujours le même et je poursuis mes valeurs et mes principes mais dedans, c'est une autre histoire. Dieu ne m'apporte que de misère après misère et je ne sais pas pourquoi... je ne sais pas pourquoi il m'empêche de mourir comme un homme. Pourquoi il m'a fait traversé les années et qu'il prend un vilain plaisir de me torturer autant! J'ai tenté de refaire mais vie mais mes proches mourraient toujours et mes familles aussi. J'ai vu mon maître brûler alors que l'Ordre s'est complètement effondrer, j'ai vu la mort, j'ai vu la misère, la famine, la guerre... les guerres et comment l'homme continue à dévier sur la mauvaise voie, comment je me retrouve encore aujourd'hui à devoir combattre sans repos le mal et que plus les époques avances, les dangers grandisses... je n'ai pas de pouvoir, pas de don, pas rien. Je suis un homme tout ce qui a de plus normal et pourtant je continue de faire autant de ravage contre des surhommes, des personnes aux capacités exceptionnels... et je continue à me dédier à la cause des victimes et des innocents. J'aimerais temps comprendre pourquoi Dieu veut me torturer l'âme... à moi que c'est Satan qu'il joue avec son pantin et rigoles dans les fin fonds de la terre....
Il ferma les yeux un moment et la berça dans ses bras. Il ne trouvait pas vraiment son commentaire très drôle. Elle était peut-être plus forte que lui mais peut importe ce qu'elle dira, il restera toujours le grand chevalier qui protègerait son âme soeur et qui ne laisserait jamais qui que ce soit toucher à un de ses cheveux. Peut importe ce qu'elle dira... elle voulait l'assisté et être son bras droite...
- Dieu m'offre une seconde chance d'être avec toi mais aussi une seconde chance de te perdre à nouveau... Si tu es avec moi, les Black Wings se serviront de toi pour m'atteindre. Je ne veux pas me permettre ça...
Il se décolla et lui embrassa la main avant de caresser son doux visage. Son coeur allait exploser de joie mais... il n'avait pas le droit de se laisser séduire par une vie qu'il ne pouvait avoir. Il était cependant vrai que la mine était sûrement l'endroit le plus sécuritaire le cette enfer... De toute manière, il savait très bien qu'il ne pourra pas lui faire changer d'avis. Il soupira et lui fit signe de le suivre chez lui.
La pièce était très grande et sur les murs, on pouvait voir plusieurs peintures qui représentaiten des chevaliers Templiers. Proche du lit, se trouvait sa cape accroché sur le mur avec à côté de celle-ci quelques épées de collection non aiguisé. Il y avait même un petit semblant de salon ou on pouvait y retrouver deux fauteuil. On y voyait aussi une grande bibliothèque avec de vieux livres usée avec le temps.
Le chef des Solciers enleva son épée et la déposa avec délicatesse sur un trépied spécialement fait pour elle. Il enleva par la suite sa cape. On pouvait voir l'imposante musculature du Templier et de ses années d'entrainements. Il y avait quelques cicatrices et aussi, tatoué sur le haut de son épaule le signe des templiers, on pouvait voir que son corps meurtri de ses combats, il n'avait pas eut la vie facile. Les couvertures de son lit avait encore du sang suite à ses 3 mois passé immobile dans le coma.
-... je vais m'arranger pour que tu as ta propre chambre... je sais qu'une mine n'est pas la meilleure place mais sécuritaire...
- Combien de fois devrais-je te dire que je ne veux pas que tu sois en danger... tu sais très bien que jamais je ne pourrais te tuer! Tu ne te rend pas compte du danger Ivy, regarde il y a quelques minutes! Tu étais prête pour l'abattoir. Si je n'avais pas tuer l'homme qui t'avait fait prisonnière des flemmes, tu ne serais plus là en ce moment ou bien tu serais rendu dans ce foutu hôpital et le Black Wings t'aurait fait subir les pires tortures du monde.... croit moi, le monde n'a jamais été en si mauvais état et je suis responsable de tout......
Il allait dire qu'il était responsable de tout cette merde. Que bien avant qu'il ne la rencontre, il avait fait un acte pitoyable, dégoutant et avait souillé une jeune femme qui lui avait voler pour la première fois son coeur. Elle l'avait complètement souler à leur dernier jour dans la seigneurie de Rossal et que sans le savoir, il l'avait mit enceinte... que tue cette génération d'enfant s'était poursuivit sans qu'il ne le sache jusqu'à se rendre à celui qui à fonder les Black Wings... son petit fils et que par conséquent, il pourrait sur ses épaules toutes les victimes de cette ville sur ses épaules... non, il ne pouvait le dire. Seul Arlequin connaissait le secret et il devait rester ainsi! S'était un des plus lourd fardeau qu'il devait porter sur son dos.
-... c'est homme qui on décidé de se battre pour pouvoir refaire de Keth en endroit bon pour y vivre. Dieu n'est pas avec moi Ivy. Regarde moi bien, physiquement je suis toujours le même et je poursuis mes valeurs et mes principes mais dedans, c'est une autre histoire. Dieu ne m'apporte que de misère après misère et je ne sais pas pourquoi... je ne sais pas pourquoi il m'empêche de mourir comme un homme. Pourquoi il m'a fait traversé les années et qu'il prend un vilain plaisir de me torturer autant! J'ai tenté de refaire mais vie mais mes proches mourraient toujours et mes familles aussi. J'ai vu mon maître brûler alors que l'Ordre s'est complètement effondrer, j'ai vu la mort, j'ai vu la misère, la famine, la guerre... les guerres et comment l'homme continue à dévier sur la mauvaise voie, comment je me retrouve encore aujourd'hui à devoir combattre sans repos le mal et que plus les époques avances, les dangers grandisses... je n'ai pas de pouvoir, pas de don, pas rien. Je suis un homme tout ce qui a de plus normal et pourtant je continue de faire autant de ravage contre des surhommes, des personnes aux capacités exceptionnels... et je continue à me dédier à la cause des victimes et des innocents. J'aimerais temps comprendre pourquoi Dieu veut me torturer l'âme... à moi que c'est Satan qu'il joue avec son pantin et rigoles dans les fin fonds de la terre....
Il ferma les yeux un moment et la berça dans ses bras. Il ne trouvait pas vraiment son commentaire très drôle. Elle était peut-être plus forte que lui mais peut importe ce qu'elle dira, il restera toujours le grand chevalier qui protègerait son âme soeur et qui ne laisserait jamais qui que ce soit toucher à un de ses cheveux. Peut importe ce qu'elle dira... elle voulait l'assisté et être son bras droite...
- Dieu m'offre une seconde chance d'être avec toi mais aussi une seconde chance de te perdre à nouveau... Si tu es avec moi, les Black Wings se serviront de toi pour m'atteindre. Je ne veux pas me permettre ça...
Il se décolla et lui embrassa la main avant de caresser son doux visage. Son coeur allait exploser de joie mais... il n'avait pas le droit de se laisser séduire par une vie qu'il ne pouvait avoir. Il était cependant vrai que la mine était sûrement l'endroit le plus sécuritaire le cette enfer... De toute manière, il savait très bien qu'il ne pourra pas lui faire changer d'avis. Il soupira et lui fit signe de le suivre chez lui.
La pièce était très grande et sur les murs, on pouvait voir plusieurs peintures qui représentaiten des chevaliers Templiers. Proche du lit, se trouvait sa cape accroché sur le mur avec à côté de celle-ci quelques épées de collection non aiguisé. Il y avait même un petit semblant de salon ou on pouvait y retrouver deux fauteuil. On y voyait aussi une grande bibliothèque avec de vieux livres usée avec le temps.
Le chef des Solciers enleva son épée et la déposa avec délicatesse sur un trépied spécialement fait pour elle. Il enleva par la suite sa cape. On pouvait voir l'imposante musculature du Templier et de ses années d'entrainements. Il y avait quelques cicatrices et aussi, tatoué sur le haut de son épaule le signe des templiers, on pouvait voir que son corps meurtri de ses combats, il n'avait pas eut la vie facile. Les couvertures de son lit avait encore du sang suite à ses 3 mois passé immobile dans le coma.
-... je vais m'arranger pour que tu as ta propre chambre... je sais qu'une mine n'est pas la meilleure place mais sécuritaire...
Edric De Molay- Chef des Solciers
- Messages : 437
Date d'inscription : 10/12/2010
Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Ven 28 Jan - 23:52
Edric ne semblait pas comprendre que peu importe les protestations, elle ne quitterait jamais cet endroit. La jeune femme avait enfin retrouvé le bonheur et l’amour qu’elle avait perdu et tant espéré retrouver. Mais à l’entendre parler, il semblait être le seul a avoir vu des choses horribles dans sa vie. Et plus il parlait et plus il semblait croire qu’il était le grand sauveur du monde. Il croyait vraiment que seul il saurait détruire ces gens qui avaient tenté à sa vie ? Mais il n’avait pas tord sur certaine chose… sans lui, elle serait sans doute enchainer quelque part sans savoir où elle était… elle devait y penser qu’elle avait amélioré ses petits bébés en leur permettant de résister à toute forme d’élément. Mais, elle ne voulait pas partir… pas comme ça, pas après avoir enfin retrouvé celui qu’elle aimait. Son amour pour lui était si important que partir la détruirait à jamais… En cet instant, elle aurait parfaitement été capable de le charmer et de le manipuler à sa guise. L’on ne peut échapper à un contrôle divin… mais la jeune femme détestait cela et ne voulait pas reconquérir son amour autrefois perdu avec la magie mais bien par son charme naturel. La jeune femme savait qu’Edric ne pourrait jamais se débarrasser d’elle, étant qu’il devait la tuer pour qu’elle puisse disparaître. Il était hors de question qu’elle le quitte encore de la sorte, s’était fini cela. Elle ne se cacherait plus, du moins en partie, et lui montrerait qu’elle valait beaucoup plus que la fausse Bonne Sœur qui devait toujours compter sur lui.
- Et combien de fois qu’il faudra que je te dise que je veux que tu cesse de jouer les protecteurs avec moi… J’ai besoin de toi que pour une chose Edric… et c’est pour m’aimer et me respecter en tant que femme… Je ne partirai pas sous prétexte qu’il y a des gens puissants ici ! Souvient toi dans le temps lorsque je priais ‘’ Dieu ‘’ … que la nature se déchainaient toujours pour ainsi venir te donner un coup de main… s’était moi et uniquement moi qui t’aidais… sans moi… tu es perdu Edric et ne dit pas le contraire. Tu dis et pense que tu es le seul a veiller sur moi, mais dois-je te rappeler que je veillais sur toi encore bien plus ? Qui devait te faire a mangé ? Qui s’occupait de laver tes vêtements ? Qui devait veiller sur Antonin lorsque tu n’étais pas là ? Qui soignait tes blessures Edric ? Qui veillait à ce que tu ne puisses rien manquer lorsque tu partais en voyage sans moi ? Qui ? Qui ? QUI ?... Alors mets de côté ton égo macho de côté, kai na stamatí̱soume na skeftómaste eíste af̱tós gia na féroun to város tou kósmou stous ó̱mous ...(et cesse de pensé que tu es le seul a porter le poids du monde sur tes épaules...). Un combat ne se fait jamais seul Edric… combiens de fois faudra-t-il que je te le répète ? Tu a toujours été ainsi Edric… croire que tu étais le seul à être fort et le seul a protégé la veuve et l’orphelin des brigands… Que tu veuille ou non m’avoir dans tes jambes, tu seras obliger de me supporter car rien ne me fera partir… et si tu es responsable, alors il faut réparer ton erreur, mais tu ne peux le faire seul ! Je te connais Edric et je sais que dès que tu fais une erreur, tu te laisse abattre par cela… c’est humains de faire des erreurs. Il suffit donc de les réparer et de pouvoir les réparer. Mais seul… un soldat seul, désespéré et aigri ne pourra rien faire que s’il est au moins accompagné d’une personne qu’il aime. Oui il y a le danger que je sois blesser… mais tu crois que moi je ne m’inquiétais pas pour toi Edric ? Je t’ai toujours aimé et ce, depuis le premier jour. Il y a quelque chose en toi de différent… Tu en déduiras que je ne suis pas vraiment une sœur ou une croyante de Dieu… Chaque fois que je te voyais partir, je pleurais seule dans ma chambre, espérant que tu reviennes à chaque fois. Je comprends parfaitement tes craintes et tes peurs Edric… mais si tu aime vraiment une personne, tu la laisseras faire son choix d’elle-même et l’accepter.
La jeune femme était déterminer à rester et il pouvait le voir sur son visage. Le pauvre, elle ne lui avait pas laissé une seule chance de parler avant de continuer son discours sur sa petite vie misérable… il était si dépressif que cela ? Qu’es-ce que les humains avaient tant à accorder autant d’importance à de banalité et ne pouvait voir le bon côté des choses ? Ignorait-il que la jeune femme souffrait à chaque jour ? Qu’elle entendait les vois des arbres, fleurs, arbustes, et autre créatures qui mourrait de la main de l’homme et qu’elle y était impuissante ? Il ne vivait pas à chaque jour avec c’est véritable voix qu’elle entendait à chaque instant de sa vie…
- Mon pauvre… l’homme à toujours été sur la mauvaise voies… tu ne me feras pas croire que s’était bien au temps du moyen-âge de voir autant de prête, de villageois tuer autant d’innocent par sorcellerie, simplement parce que pour vous, ce qui était inconnu n’était nul autre que le mal ? L’homme est un être idiot qui ne cesse de commettre des erreurs sans apprendre. Regard ce que la nature devient maintenant… L’homme détruit tout ce qu’il touche désormais… je suis connecter en permanence avec la Terre Edric… je souffre à chaque instant de ma vie devant la stupidité de l’homme. Tu crois être le seul a souffrir du temps ? Mon Zeus… Cesse de croire que tu es le seul être vivant sur terre à porter un lourd fardeau. J’ai vu aussi la guerre, la famine, le désespoir, les dommages de la Bombe Hiroshima… ce que la Deuxième Guerre Mondiale à causer comme dommage… J’ai pu rencontrer des êtres horribles dans ma vie… et justement, tu ne trouve pas que tu as trop combattu ? Tu dois te reposer Edric… sinon tu te perdras toi-même dans cette folie interminable… tu auras beau te battre, le Mal Existe toujours… Mon onc… je veux dire, L’enfer existera toujours et aura toujours un tour dans son sac pour amener le désespoir et la désolation… Il faut savoir arrêter de ce battre. Les Dieux ont plus d’un soldat en manche… et non… Dieu ne ta pas donner que du Désespoir…
Elle s’approcha de lui, malgré qu’il voulu prendre ses distances et elle glissa sa délicate main vers celle du guerrier pour la poser sur sa poitrine gauche pour lui faire sentir son cœur qui battait…
- Tu a une femme qui t’aime plus que tout… et c’est le cadeau que les Dieux offrent toujours aux mortels qui se méritent… mais…
Et une larme coula sur la joue de la jeune femme qui se détourna d’Edric qui ne se rendait pas compte du mal qui lui causait par ses paroles blessantes. La jeune femme savait parfaitement qu’Edric disait cela pour la protégé et ainsi empêcher quiconque de la détruire… mais elle comprenait maintenant pourquoi elle s’était fait capturer. Les Dieux désiraient les réunirent de nouveau ensemble, car il avait besoin de son aide, de son soutient et de sa tendresse. Seul, il ne saurait se battre convenablement… à Deux, il pourrait alors voir enfin une véritable raison de se battre. Oui la mort les guettait, mais s’était ainsi qu’était fait la vie. La mort nous entoure tous chacun et chacune, mais pour Ivy, elle ne pourrait jamais mourir, car peur importe ce qu’on lui ferait, ses pouvoirs étaient là pour cela. Il aura fallu une arme divine pour réellement la détruire… Et le chevalier vint la prendre dans ses bras pour la bercer, ce qui déplu énormément la jeune femme. Il se permettait d’être blessant et après il espérait qu’elle puisse se laisser faire ainsi… mais il avait encore une fois gagné et elle ferma les yeux, sentant son corps contre lui. Ses bras s’enroulèrent autour de sa taille et elle pleura en silence… tant que la peine était insoutenable… Et les paroles qu’il amena…
- Alors choisi ce cadeau Edric… prends le risque… tu crois que moi je ne m’inquièterai pas pour toi i̱líthios (idiot)… toujours aussi tête de mule… cesse de croire que tu es seul Edric… t’ai pas le seul qui s’inquiète des gens qui t’entoure ou de la personne que tu aime… si je pars… je ne vivrai plus… je mourrai de chagrin dans l’idée de ne plus jamais pouvoir te revoir un jour, inquiète à savoir si tu va bien ou non… Il fut moins difficile d’accepter ta mort lorsque je me suis réveillé cent ans plus tard que maintenant, en sachant que j’aurais pu t’aider…
Et l’homme se défit de l’étreinte de la jeune femme pour lui faire une bise main et caresser son visage. La jeune femme n’affichait plus de sourire, tant la déception la gagnait… Et donc, elle le suivit là où il vivait désormais, enfermer dans une mine abandonner. Il faisait assez sombre en ces lieux, peu de lumière éclairait les lieux. La jeune femme fit alors pousser des lianes qui serpentaient tout au long de la caverne, s’étendant partout et de petites fleurs fluorescentes surgirent, apportant une lumière douce et apaisante en ces lieux. Aucune terre n’était pas assez fertile pour la jeune femme et elle arriva alors dans les quartiers de son amour perdu. La chambre était décorée avec gout. Edric déposa son épée sur son socle, avec douceur et enleva sa cape, dévoilant une musculature plus impressionnante qu’il ne l’avait dans le temps. Les années d’entrainement avait eu raison de lui et elle put remarquer d’autre cicatrices ainsi qu’un tatouage. La jeune femme enleva alors sa cape, qui cachait beaucoup son habit et ainsi dévoila une magnifique robe moulante médiévale. Le top était un corset de cuir vert forêt avec des broderies fait d’un fil d’or, représentant de magnifiques fleurs et de petites fées. Le reste était une robe, fendu sur les côté pour ne pas empêcher les mouvements de la jeune femme. La jupe était faite en soies et ses pieds étaient complètement nus. Le lit par contre était loin d’être accueillant. Mais la jeune femme trouvait la chambre d’Edric un peu terne et la lumière n’était pas vraiment présente. Elle lui fit un sourire forcer avant de s’approcher d’un mur et des lianes semblaient jaillir de sa main pour s’étendre sur toute sa chambre et des roses apparurent alors, émettant une lumière.
-… ont peut toujours partager ta chambre…
Mais elle vit qu’Edric ne semblait pas vouloir rire et elle effaça son sourire…
- … Je rigole… j’ai compris que tu ne veux pas revenir vers moi…
- Et combien de fois qu’il faudra que je te dise que je veux que tu cesse de jouer les protecteurs avec moi… J’ai besoin de toi que pour une chose Edric… et c’est pour m’aimer et me respecter en tant que femme… Je ne partirai pas sous prétexte qu’il y a des gens puissants ici ! Souvient toi dans le temps lorsque je priais ‘’ Dieu ‘’ … que la nature se déchainaient toujours pour ainsi venir te donner un coup de main… s’était moi et uniquement moi qui t’aidais… sans moi… tu es perdu Edric et ne dit pas le contraire. Tu dis et pense que tu es le seul a veiller sur moi, mais dois-je te rappeler que je veillais sur toi encore bien plus ? Qui devait te faire a mangé ? Qui s’occupait de laver tes vêtements ? Qui devait veiller sur Antonin lorsque tu n’étais pas là ? Qui soignait tes blessures Edric ? Qui veillait à ce que tu ne puisses rien manquer lorsque tu partais en voyage sans moi ? Qui ? Qui ? QUI ?... Alors mets de côté ton égo macho de côté, kai na stamatí̱soume na skeftómaste eíste af̱tós gia na féroun to város tou kósmou stous ó̱mous ...(et cesse de pensé que tu es le seul a porter le poids du monde sur tes épaules...). Un combat ne se fait jamais seul Edric… combiens de fois faudra-t-il que je te le répète ? Tu a toujours été ainsi Edric… croire que tu étais le seul à être fort et le seul a protégé la veuve et l’orphelin des brigands… Que tu veuille ou non m’avoir dans tes jambes, tu seras obliger de me supporter car rien ne me fera partir… et si tu es responsable, alors il faut réparer ton erreur, mais tu ne peux le faire seul ! Je te connais Edric et je sais que dès que tu fais une erreur, tu te laisse abattre par cela… c’est humains de faire des erreurs. Il suffit donc de les réparer et de pouvoir les réparer. Mais seul… un soldat seul, désespéré et aigri ne pourra rien faire que s’il est au moins accompagné d’une personne qu’il aime. Oui il y a le danger que je sois blesser… mais tu crois que moi je ne m’inquiétais pas pour toi Edric ? Je t’ai toujours aimé et ce, depuis le premier jour. Il y a quelque chose en toi de différent… Tu en déduiras que je ne suis pas vraiment une sœur ou une croyante de Dieu… Chaque fois que je te voyais partir, je pleurais seule dans ma chambre, espérant que tu reviennes à chaque fois. Je comprends parfaitement tes craintes et tes peurs Edric… mais si tu aime vraiment une personne, tu la laisseras faire son choix d’elle-même et l’accepter.
La jeune femme était déterminer à rester et il pouvait le voir sur son visage. Le pauvre, elle ne lui avait pas laissé une seule chance de parler avant de continuer son discours sur sa petite vie misérable… il était si dépressif que cela ? Qu’es-ce que les humains avaient tant à accorder autant d’importance à de banalité et ne pouvait voir le bon côté des choses ? Ignorait-il que la jeune femme souffrait à chaque jour ? Qu’elle entendait les vois des arbres, fleurs, arbustes, et autre créatures qui mourrait de la main de l’homme et qu’elle y était impuissante ? Il ne vivait pas à chaque jour avec c’est véritable voix qu’elle entendait à chaque instant de sa vie…
- Mon pauvre… l’homme à toujours été sur la mauvaise voies… tu ne me feras pas croire que s’était bien au temps du moyen-âge de voir autant de prête, de villageois tuer autant d’innocent par sorcellerie, simplement parce que pour vous, ce qui était inconnu n’était nul autre que le mal ? L’homme est un être idiot qui ne cesse de commettre des erreurs sans apprendre. Regard ce que la nature devient maintenant… L’homme détruit tout ce qu’il touche désormais… je suis connecter en permanence avec la Terre Edric… je souffre à chaque instant de ma vie devant la stupidité de l’homme. Tu crois être le seul a souffrir du temps ? Mon Zeus… Cesse de croire que tu es le seul être vivant sur terre à porter un lourd fardeau. J’ai vu aussi la guerre, la famine, le désespoir, les dommages de la Bombe Hiroshima… ce que la Deuxième Guerre Mondiale à causer comme dommage… J’ai pu rencontrer des êtres horribles dans ma vie… et justement, tu ne trouve pas que tu as trop combattu ? Tu dois te reposer Edric… sinon tu te perdras toi-même dans cette folie interminable… tu auras beau te battre, le Mal Existe toujours… Mon onc… je veux dire, L’enfer existera toujours et aura toujours un tour dans son sac pour amener le désespoir et la désolation… Il faut savoir arrêter de ce battre. Les Dieux ont plus d’un soldat en manche… et non… Dieu ne ta pas donner que du Désespoir…
Elle s’approcha de lui, malgré qu’il voulu prendre ses distances et elle glissa sa délicate main vers celle du guerrier pour la poser sur sa poitrine gauche pour lui faire sentir son cœur qui battait…
- Tu a une femme qui t’aime plus que tout… et c’est le cadeau que les Dieux offrent toujours aux mortels qui se méritent… mais…
Et une larme coula sur la joue de la jeune femme qui se détourna d’Edric qui ne se rendait pas compte du mal qui lui causait par ses paroles blessantes. La jeune femme savait parfaitement qu’Edric disait cela pour la protégé et ainsi empêcher quiconque de la détruire… mais elle comprenait maintenant pourquoi elle s’était fait capturer. Les Dieux désiraient les réunirent de nouveau ensemble, car il avait besoin de son aide, de son soutient et de sa tendresse. Seul, il ne saurait se battre convenablement… à Deux, il pourrait alors voir enfin une véritable raison de se battre. Oui la mort les guettait, mais s’était ainsi qu’était fait la vie. La mort nous entoure tous chacun et chacune, mais pour Ivy, elle ne pourrait jamais mourir, car peur importe ce qu’on lui ferait, ses pouvoirs étaient là pour cela. Il aura fallu une arme divine pour réellement la détruire… Et le chevalier vint la prendre dans ses bras pour la bercer, ce qui déplu énormément la jeune femme. Il se permettait d’être blessant et après il espérait qu’elle puisse se laisser faire ainsi… mais il avait encore une fois gagné et elle ferma les yeux, sentant son corps contre lui. Ses bras s’enroulèrent autour de sa taille et elle pleura en silence… tant que la peine était insoutenable… Et les paroles qu’il amena…
- Alors choisi ce cadeau Edric… prends le risque… tu crois que moi je ne m’inquièterai pas pour toi i̱líthios (idiot)… toujours aussi tête de mule… cesse de croire que tu es seul Edric… t’ai pas le seul qui s’inquiète des gens qui t’entoure ou de la personne que tu aime… si je pars… je ne vivrai plus… je mourrai de chagrin dans l’idée de ne plus jamais pouvoir te revoir un jour, inquiète à savoir si tu va bien ou non… Il fut moins difficile d’accepter ta mort lorsque je me suis réveillé cent ans plus tard que maintenant, en sachant que j’aurais pu t’aider…
Et l’homme se défit de l’étreinte de la jeune femme pour lui faire une bise main et caresser son visage. La jeune femme n’affichait plus de sourire, tant la déception la gagnait… Et donc, elle le suivit là où il vivait désormais, enfermer dans une mine abandonner. Il faisait assez sombre en ces lieux, peu de lumière éclairait les lieux. La jeune femme fit alors pousser des lianes qui serpentaient tout au long de la caverne, s’étendant partout et de petites fleurs fluorescentes surgirent, apportant une lumière douce et apaisante en ces lieux. Aucune terre n’était pas assez fertile pour la jeune femme et elle arriva alors dans les quartiers de son amour perdu. La chambre était décorée avec gout. Edric déposa son épée sur son socle, avec douceur et enleva sa cape, dévoilant une musculature plus impressionnante qu’il ne l’avait dans le temps. Les années d’entrainement avait eu raison de lui et elle put remarquer d’autre cicatrices ainsi qu’un tatouage. La jeune femme enleva alors sa cape, qui cachait beaucoup son habit et ainsi dévoila une magnifique robe moulante médiévale. Le top était un corset de cuir vert forêt avec des broderies fait d’un fil d’or, représentant de magnifiques fleurs et de petites fées. Le reste était une robe, fendu sur les côté pour ne pas empêcher les mouvements de la jeune femme. La jupe était faite en soies et ses pieds étaient complètement nus. Le lit par contre était loin d’être accueillant. Mais la jeune femme trouvait la chambre d’Edric un peu terne et la lumière n’était pas vraiment présente. Elle lui fit un sourire forcer avant de s’approcher d’un mur et des lianes semblaient jaillir de sa main pour s’étendre sur toute sa chambre et des roses apparurent alors, émettant une lumière.
-… ont peut toujours partager ta chambre…
Mais elle vit qu’Edric ne semblait pas vouloir rire et elle effaça son sourire…
- … Je rigole… j’ai compris que tu ne veux pas revenir vers moi…
Ivy Poison- Simple membre
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Sam 29 Jan - 1:16
Elle avait totalement raison et chacune de ses paroles fut comme un couteau dans son coeur. Pourquoi avait-elle toujours raison? Elle avait donc son don depuis bien longtemps et l'avait aidé depuis les cinq magnifiques années où ils avaient été ensemble. Il est vrai qu'il avait toujours été le genre à porter tout sur ses épaules. Il se sentait misérable... elle avait raison. Alors que lui se battait, elle était seule et devait espérer son retour. Ce devait être terrible vivre ça. Il voulu parler mais elle continua. Il ne comprit pas cependant pourquoi elle parlait de l'homme ainsi, comme si elle était supérieur... Ce n'était pas le temps lui faire remarquer. De toute manière, elle semblait tellement vide tout à coup que cela l'alarma. Il savait qu'il n'était pas le seul à avoir mal et a souffrir mais jamais il n'aurait cru qu'elle avait autant mal elle aussi.
-...Ivy... peut importe ce que tu peux me dire, je me sentirais toujours aussi protecteur envers toi...
Elle se demandait maintenant s'il avait trop combattu. Lui, Edric de Molay, trop combattu? Temps et aussi longtemps qu'il pourra tenir sur ses deux jambes, jamais, il ne dira qu'il a trop combattu. S'était en lui. Il ne pouvait rester les bras croisé sans rien faire. S'était complètement impossible pour lui. Il ne pouvait pas s'imaginer être incapable de ce battre. Le combat avait été toute sa vie après qu'il l'avait vu brûler au bûcher et même avant qu'il ne la rencontre. Il vit alors une larme couler sur la joue de la jeune femme. Son coeur fendit en deux. Il se sentait vraiment imbécile de la blesser ainsi! Mais s'était pour son bien... mais quel bien? Tout ce qu'elle voulait était de retrouver son amour et lui tentait de la reposer pour rester sur le droit chemin, mais quel chemin? Pourquoi devait-il toujours ce mettre des bâtons dans les roues? Il fini par accepter qu'elle vienne avec lui à la mine. Lorsqu'il fini d'enlever sa cape, il se retourna vers elle et resta figer alors que son coeur s'arrêta. Elle était encore plus magnifique que dans ses souvenirs. Il du détourner un moment le regard et celui-ci tomba sur le masque qu'Arlequin avait laisser alors de sa dernière visite qui remonte à deux mois.... il avait vraiment le don de faire fuir ses proches. Elle lui fit alors une remarque mais elle se ressaisit rapidement en lui disant que s'était simplement pour rigoler. Edric était vraiment en train de tout gâcher bon Dieu!
- Il se fait déjà tard et il n'y a pas de chambre de libre encore alors si tu veux rester ici.... ce soir du moins, il n'y a aucun problème...
Il rabaissa les yeux vers le sol un moment. Tout ce qui se passait en ce moment, tout ses évènement ressent, tout ce bousculait dans sa tête. Il s'assit sur le bort de son lit et mit les mains sur son visage.
- Je suis vraiment... VRAIMENT désoler pour ce que j'ai pu te dire tout à l'heure. Tu sais que je n'aime pas te voir ainsi... je n'aurais pas du te parler ainsi.
Il leva les yeux vers elle et sourit légèrement. Elle était beaucoup plus forte qu'elle ne paraissait et il devait se mettre à l'évidence et elle n'avait rien perdu de sa beauté. Mais lui, malgré ses apparences et ce qu'il lui disait, n'avait rien perdu de l'amour qu'il avait pour elle. Ce n'était pas l'amoureux parfait, il avait plein de défaut comme avoir une tête de cochon... mais si savait aimer passionnément... Le Templier avec cependant peur de la reperdre de nouveau. Elle devait être patiente avec lui... il retrouvera la lumière vers elle. Il le savait, il ne pouvait pas vivre sans elle maintenant qu'il savait qu'elle était toujours là... de la même façon que son écuyer lui manquait énormément...
- Tu sais que je t'aime plus que tout Ivy.... mais c'est tout un choc pour moi de te revoir ainsi. J'ai tellement peur de te perdre de nouveau et...
Il se tue un moment.
- ... tu veux bien rester ce soir.... on ne fera rien, ne t'inquiète pas... juste... juste ta présence me suffit....
Il ne voulait pas se retrouver seul...
-...Ivy... peut importe ce que tu peux me dire, je me sentirais toujours aussi protecteur envers toi...
Elle se demandait maintenant s'il avait trop combattu. Lui, Edric de Molay, trop combattu? Temps et aussi longtemps qu'il pourra tenir sur ses deux jambes, jamais, il ne dira qu'il a trop combattu. S'était en lui. Il ne pouvait rester les bras croisé sans rien faire. S'était complètement impossible pour lui. Il ne pouvait pas s'imaginer être incapable de ce battre. Le combat avait été toute sa vie après qu'il l'avait vu brûler au bûcher et même avant qu'il ne la rencontre. Il vit alors une larme couler sur la joue de la jeune femme. Son coeur fendit en deux. Il se sentait vraiment imbécile de la blesser ainsi! Mais s'était pour son bien... mais quel bien? Tout ce qu'elle voulait était de retrouver son amour et lui tentait de la reposer pour rester sur le droit chemin, mais quel chemin? Pourquoi devait-il toujours ce mettre des bâtons dans les roues? Il fini par accepter qu'elle vienne avec lui à la mine. Lorsqu'il fini d'enlever sa cape, il se retourna vers elle et resta figer alors que son coeur s'arrêta. Elle était encore plus magnifique que dans ses souvenirs. Il du détourner un moment le regard et celui-ci tomba sur le masque qu'Arlequin avait laisser alors de sa dernière visite qui remonte à deux mois.... il avait vraiment le don de faire fuir ses proches. Elle lui fit alors une remarque mais elle se ressaisit rapidement en lui disant que s'était simplement pour rigoler. Edric était vraiment en train de tout gâcher bon Dieu!
- Il se fait déjà tard et il n'y a pas de chambre de libre encore alors si tu veux rester ici.... ce soir du moins, il n'y a aucun problème...
Il rabaissa les yeux vers le sol un moment. Tout ce qui se passait en ce moment, tout ses évènement ressent, tout ce bousculait dans sa tête. Il s'assit sur le bort de son lit et mit les mains sur son visage.
- Je suis vraiment... VRAIMENT désoler pour ce que j'ai pu te dire tout à l'heure. Tu sais que je n'aime pas te voir ainsi... je n'aurais pas du te parler ainsi.
Il leva les yeux vers elle et sourit légèrement. Elle était beaucoup plus forte qu'elle ne paraissait et il devait se mettre à l'évidence et elle n'avait rien perdu de sa beauté. Mais lui, malgré ses apparences et ce qu'il lui disait, n'avait rien perdu de l'amour qu'il avait pour elle. Ce n'était pas l'amoureux parfait, il avait plein de défaut comme avoir une tête de cochon... mais si savait aimer passionnément... Le Templier avec cependant peur de la reperdre de nouveau. Elle devait être patiente avec lui... il retrouvera la lumière vers elle. Il le savait, il ne pouvait pas vivre sans elle maintenant qu'il savait qu'elle était toujours là... de la même façon que son écuyer lui manquait énormément...
- Tu sais que je t'aime plus que tout Ivy.... mais c'est tout un choc pour moi de te revoir ainsi. J'ai tellement peur de te perdre de nouveau et...
Il se tue un moment.
- ... tu veux bien rester ce soir.... on ne fera rien, ne t'inquiète pas... juste... juste ta présence me suffit....
Il ne voulait pas se retrouver seul...
Edric De Molay- Chef des Solciers
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Sam 29 Jan - 2:19
La jeune femme ne riposta pas contre les paroles de son amant perdu-retrouver. Et elle savait qu’Edric chercherait toujours à la protégée malgré tout, étant son honneur avant tout le plus important, mais aussi elle savait qu’elle était la chose la plus importante à ses yeux. Mais la jeune femme voulait qu’il comprenne qu’il n’était pu à cette époque où la femme était considérée comme une moins que rien. Même parmi sa famille, les déesses possédaient une place importante parmi les autres Dieux, n’étaient pas considéré comme une moins que rien. Tellement de Déesses avaient prouvé leur valeur et elle se rappelait aussi que dans le temps, seule des femmes d’un esprit très fort pouvoir devenir prêtresse pour certain Dieux, mais en ce qui concernait les Oracles, seules les femmes pouvaient le devenir. Ces femmes étaient toucher de par les Dieux et possédaient des dons qui ne pouvaient être mis de côté. Edric devait absolument voir en son âme sœur qu’elle possédait autant de force qu’il pouvait en possédé. Mais malgré tout, cette phrase la toucha énormément. Il tenait toujours autant à elle et la Déesse ne pouvait que s’en sentir toucher. Son amour n’avait donc pas fané, telle une rose que l’on laisse mourir. Leur amour durera éternellement comme la nature. Et éventuellement, il décida d’amener la jeune femme dans cette vieille mine, qu’elle décora à sa façon, ce qu’elle fit aussi dans la chambre d’Edric. Il enleva sa cape, dévoilant son corps qui était aussi musclé que dans ses souvenirs. Mais lorsqu’elle enleva la sienne, il se figea sur place, admirant la jeune femme qui oui, physiquement, elle avait changé. Pourquoi ? Elle s’était rendu compte que comme la nature, à chaque fois qu’elle prenait cent ans pour se régénéré, elle devenait encore plus belle. Et il observa un masque que la jeune femme ignorait qu’il venait de cet enfant qu’elle avait connu. Elle pourrait lui demander ce qu’il était devenu, car elle s’ennuyait beaucoup de son fils adoptif, malgré qu’il ait souhaité l’épouser. Il semblait alors froid lorsqu’il l’invita à dormir avec lui ce soir, du moins il lui avait simplement demandé qu’elle pourrait rester ici ce soir… mais certainement pas dans ces couvertures couverte de sang.
- J’accepte… mais… j’espère que tu n’espère pas que je dorme dans se sang séché… si tu n’a pas de draps… je pourrais te montré les avantages à mon pouvoir… si tu le désire enfin… et que tu n’a pas de draps…
Et il fixa le sol pendant un temps avant de prendre place sur le bord de son lit et d’enfouir son visage dans ses mains. Il semblait alors réfléchir et se prendre pour un idiot, car elle connaissait cette façon d’agir, étant la seule qu’il faisait lorsqu’il regrettait une parole dite non voulu. Et il s’excusa de sa façon stupide de conduite. Enfin… il réalisait, mais le pauvre. Elle resta tout de même à sa place, toujours en peine de ce qu’il avait osé lui dire et ignorait si elle devait se fâcher, être compréhensive…
- Je… mais non… ce n’est pas grave… mais… n’espère pas te débarrasser de moi tout simplement ! Je ne veux plus me séparer de toi…
La jeune femme pensait tout comme Edric… elle aurait tant souhaité qu’il cesse de se battre pour ainsi prendre sa place. Malgré son immortalité, il pourrait mourir tout de même, elle en était certaine. Contrairement à elle, il ne pourrait pas revenir à la vie, alors que pour la jeune femme, cent ans prenaient pour qu’elle se régénère. Et donc, le Templier lui redit des paroles qu’elle était déjà au parfum. Et comme si il était devenu comme ce cher Antonin, il souhaitait qu’elle reste à ses côtés pour la nuit, sans doute ne voulait pas rester seul. Elle alla alors s’asseoir au près de lui, un genou sur le lit, l’autre jambe au sol. Elle était face à lui, alors qu’il était de profile. La jeune femme enleva ses gants, sans pour autant usé de ses spores et posa sa délicate mains sur son visage pour le tourner vers elle et lui sourit. Elle approcha alors ses lèvres pour lui déposer un doux baiser avant de finalement prendre place sur lui, les deux jambes tombant sur le coté de ses jambes.
- Tu es la chose la plus précieuse pour moi Edric… et crois-moi… c’est un choc pour moi aussi… et je partage la même peur… comme je te dis, ne crois pas être le seul à vivre ces émotions… à la différence… j’ai plus de plusieurs siècles derrières moi d’expérience… Et oui je veux rester avec toi pour la nuit je serai avec toi autant de fois que tu voudras et tu pourras venir dans ma chambre lorsque tu le désireras… mais… ne dis pas que l’on ferra rien… on sait jamais comment les choses peuvent se terminer…
Elle sentit les bras d’Edric s’enrouler autour d’elle pour la tenir dans ses bras et la jeune femme coucha sa tête contre son épaule en fermant les yeux, écoutant son cœur battre. Sa main gauche se posa sur son tors alors que sa main droite était derrière, sur son dos. Les yeux fermés, elle fredonna une mélodie…
- J’accepte… mais… j’espère que tu n’espère pas que je dorme dans se sang séché… si tu n’a pas de draps… je pourrais te montré les avantages à mon pouvoir… si tu le désire enfin… et que tu n’a pas de draps…
Et il fixa le sol pendant un temps avant de prendre place sur le bord de son lit et d’enfouir son visage dans ses mains. Il semblait alors réfléchir et se prendre pour un idiot, car elle connaissait cette façon d’agir, étant la seule qu’il faisait lorsqu’il regrettait une parole dite non voulu. Et il s’excusa de sa façon stupide de conduite. Enfin… il réalisait, mais le pauvre. Elle resta tout de même à sa place, toujours en peine de ce qu’il avait osé lui dire et ignorait si elle devait se fâcher, être compréhensive…
- Je… mais non… ce n’est pas grave… mais… n’espère pas te débarrasser de moi tout simplement ! Je ne veux plus me séparer de toi…
La jeune femme pensait tout comme Edric… elle aurait tant souhaité qu’il cesse de se battre pour ainsi prendre sa place. Malgré son immortalité, il pourrait mourir tout de même, elle en était certaine. Contrairement à elle, il ne pourrait pas revenir à la vie, alors que pour la jeune femme, cent ans prenaient pour qu’elle se régénère. Et donc, le Templier lui redit des paroles qu’elle était déjà au parfum. Et comme si il était devenu comme ce cher Antonin, il souhaitait qu’elle reste à ses côtés pour la nuit, sans doute ne voulait pas rester seul. Elle alla alors s’asseoir au près de lui, un genou sur le lit, l’autre jambe au sol. Elle était face à lui, alors qu’il était de profile. La jeune femme enleva ses gants, sans pour autant usé de ses spores et posa sa délicate mains sur son visage pour le tourner vers elle et lui sourit. Elle approcha alors ses lèvres pour lui déposer un doux baiser avant de finalement prendre place sur lui, les deux jambes tombant sur le coté de ses jambes.
- Tu es la chose la plus précieuse pour moi Edric… et crois-moi… c’est un choc pour moi aussi… et je partage la même peur… comme je te dis, ne crois pas être le seul à vivre ces émotions… à la différence… j’ai plus de plusieurs siècles derrières moi d’expérience… Et oui je veux rester avec toi pour la nuit je serai avec toi autant de fois que tu voudras et tu pourras venir dans ma chambre lorsque tu le désireras… mais… ne dis pas que l’on ferra rien… on sait jamais comment les choses peuvent se terminer…
Elle sentit les bras d’Edric s’enrouler autour d’elle pour la tenir dans ses bras et la jeune femme coucha sa tête contre son épaule en fermant les yeux, écoutant son cœur battre. Sa main gauche se posa sur son tors alors que sa main droite était derrière, sur son dos. Les yeux fermés, elle fredonna une mélodie…
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Sam 29 Jan - 9:38
Il regarda ses draps un moment. C'est vrai qu'il devrait les changer. Cela faisait un bon moment qu'il les avait. Il les enleva alors et en remit des neufs, maladroitement mais il s'en fichait. Il se dit qu'il les arrangerait éventuellement. L'important, c'est qu'il tiennent en place. Avec le temps, Edric avait beaucoup assombri. À l'époque il s'amusait à faire quelques blagues parfois vulgaires, il faisait rire la cour et savait être sérieux lorsqu'il fallait. En ce moment, tout ce moment, il restait neutre et lamentable. Antonin lui avait bien dit que ce qu'il était en train de devenir était horrible et lorsqu'il s'était remit à l'ouvrage, il croyait regagner cette force de vouloir. Il lui manquait peut-être un rêve... un but pour poursuivre. Serte, il y a l'honneur et les valeurs. S'était les principes qu'il l'avait toujours guider. Maintenant, il voulait plus que tout sauver la ville mais il lui manquait quelque chose. Enfin, c'est ce qu'il avait l'impression car il ne réalisait peut-être pas qu'il se battait aussi pour des proches. Des amis fidèles qu'il avait trouvé, sans oublier on nouveaux petit écuyer. Un homme-chien qui avait tellement eut un bon coeur qu'Edric n'avait pu faire autrement que de le prendre sous son aile, au grand désespoirs de ses parents.
- Je ne voulais pas t'attaquer Ivy. C'est juste que j'ai beaucoup sur la conscience, plus que tu ne le pense et tu finiras bien pas connaitre l'histoire de la ville...
... Et la je te dirais ce qui me déchire le plus dans toute cette histoire... enfin, il ne termina pas sa phrase. Ce n'était pas le moment. Elle lui dit que ce n'était pas grave mais il la connaissait très bien. Malgré les époques qui les avaient séparé, il n'avait rien oublier d'elle, de ses défauts, de son attitude, de son amour, à l'époque interdit ou une soeur et un Templier vivait quelque chose qui était un péché capitale au moyen-âge. Ivy s'assit alors à côté de lui. Il savait qu'elle l'aimait autant que lui et qu'elle avait peur de le perdre. Le pauvre venait de réaliser comment cela avait du être difficile pour elle a chaque fois qu'il était sur le champ de bataille. Il fut soulager qu'elle accepte de rester mais elle semblait vouloir plus. Ce n'était pas vraiment ce qu'il voulait... il voulait simplement l'avoir près de lui... la prendre dans ses bras protecteurs et s'assurer qu'elle était bien là, en sécurité. Qu'il ne l'avait pas perdu. Lorsqu'elle retira on gant et déposa sa main sur son visage, il sentit son coeur s'accélérer. Elle lui donna un doux baiser qui le fit chavirer et elle s'assit sur lui. Alors qu'elle parlait, il enroula ses bras autours d'elle. la jeune femme coucha sa tête contre son épaule en fermant les yeux, écoutant son cœur battre. Un main sur son tors alors que l'autre était sur son dos. Les yeux fermés, elle fredonna une mélodie. Il ferma les yeux et embrassa son front avant de déposer sa tête son la sienne.
- Tu m'as encore vaincu... très bien. J'accepts que tu m'aide à Keth mais laisse moi un peu de temps. Tu m'accompagneras lors de mes tours de gardes et mes missions. Pour le moment, je veux être avec toi... par parce que je doute de tes capaciter... simplement pour la même raison que tu voulais toujours venir avec moi alors que je devais partir pour l'Ordre.
Il lui faudra du temps pour accepter de l'envoyer se battre mais... Cela n'avait rien a voir avec le fait qu'il pensait que les femmes étaient plus faible, au contraire. Il avait simplement peur de la perdre. Il comprenait très bien maintenant ce qu'elle devait ressentir lorsqu'il était en mission. Il la berça doucement dans ses bras. De toute façon, il préférait garder un oeil sur elle. Il ne voulait plus la quitter.
- Tu te souviens ce que je t'avais dit jadis... que l'amour est comme une rose, sa beauté nous fait oublier ses épines... je le pense toujours ma déesse. Tu as toujours été la plus belle fleur de mon jardin secret.
Il releva son visage pour pouvoir admirer ses yeux qu'il s'était si souvent perdu à l'intérieur. Il se pencha vers elle et l'embrassa aussi passionnément qu'il l'avait fait jadis en la serrant contre elle. Le preux chevalier, qui n'avait jamais fléchit sous la pression ne pu s'empêcher de laisser quelques larmes couler sur ses joues. Il était tellement heureux malgré la peur...
- Je ne voulais pas t'attaquer Ivy. C'est juste que j'ai beaucoup sur la conscience, plus que tu ne le pense et tu finiras bien pas connaitre l'histoire de la ville...
... Et la je te dirais ce qui me déchire le plus dans toute cette histoire... enfin, il ne termina pas sa phrase. Ce n'était pas le moment. Elle lui dit que ce n'était pas grave mais il la connaissait très bien. Malgré les époques qui les avaient séparé, il n'avait rien oublier d'elle, de ses défauts, de son attitude, de son amour, à l'époque interdit ou une soeur et un Templier vivait quelque chose qui était un péché capitale au moyen-âge. Ivy s'assit alors à côté de lui. Il savait qu'elle l'aimait autant que lui et qu'elle avait peur de le perdre. Le pauvre venait de réaliser comment cela avait du être difficile pour elle a chaque fois qu'il était sur le champ de bataille. Il fut soulager qu'elle accepte de rester mais elle semblait vouloir plus. Ce n'était pas vraiment ce qu'il voulait... il voulait simplement l'avoir près de lui... la prendre dans ses bras protecteurs et s'assurer qu'elle était bien là, en sécurité. Qu'il ne l'avait pas perdu. Lorsqu'elle retira on gant et déposa sa main sur son visage, il sentit son coeur s'accélérer. Elle lui donna un doux baiser qui le fit chavirer et elle s'assit sur lui. Alors qu'elle parlait, il enroula ses bras autours d'elle. la jeune femme coucha sa tête contre son épaule en fermant les yeux, écoutant son cœur battre. Un main sur son tors alors que l'autre était sur son dos. Les yeux fermés, elle fredonna une mélodie. Il ferma les yeux et embrassa son front avant de déposer sa tête son la sienne.
- Tu m'as encore vaincu... très bien. J'accepts que tu m'aide à Keth mais laisse moi un peu de temps. Tu m'accompagneras lors de mes tours de gardes et mes missions. Pour le moment, je veux être avec toi... par parce que je doute de tes capaciter... simplement pour la même raison que tu voulais toujours venir avec moi alors que je devais partir pour l'Ordre.
Il lui faudra du temps pour accepter de l'envoyer se battre mais... Cela n'avait rien a voir avec le fait qu'il pensait que les femmes étaient plus faible, au contraire. Il avait simplement peur de la perdre. Il comprenait très bien maintenant ce qu'elle devait ressentir lorsqu'il était en mission. Il la berça doucement dans ses bras. De toute façon, il préférait garder un oeil sur elle. Il ne voulait plus la quitter.
- Tu te souviens ce que je t'avais dit jadis... que l'amour est comme une rose, sa beauté nous fait oublier ses épines... je le pense toujours ma déesse. Tu as toujours été la plus belle fleur de mon jardin secret.
Il releva son visage pour pouvoir admirer ses yeux qu'il s'était si souvent perdu à l'intérieur. Il se pencha vers elle et l'embrassa aussi passionnément qu'il l'avait fait jadis en la serrant contre elle. Le preux chevalier, qui n'avait jamais fléchit sous la pression ne pu s'empêcher de laisser quelques larmes couler sur ses joues. Il était tellement heureux malgré la peur...
Edric De Molay- Chef des Solciers
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Sam 29 Jan - 15:11
Les époques avaient tellement changé le pauvre jeune homme, alors que pour la jeune femme, elle était toujours la même personne, à la différence près qu’elle se rendait compte que les Dieux étaient des êtres parfaits contrairement aux humains qui détruisaient le monde par leurs stupidités. Mais, lorsqu’elle voyait Edric aussi battant, tenant à cœur ses valeurs, elle voyait que le monde avait de l’espoir, contrairement à ce que les Dieux pensaient. Mais Edric n’était plus le même et la jeune femme le voyait. Il n’était plus aussi blagueur, aussi enjouer, aussi enthousiasme. La jeune femme se rappelait dans le temps, ses petites blagues déplacer qu’il lui faisait et en bonne sœur, elle était obliger de faire comme s’il atteignait à sa pudeur, mais le jeune homme avait étrangement sentit que cela ne dérangeait pas tant que cela la Déesse. Il était déjà beaucoup plus heureux à cette époque, plus joviale et amuseur. Les époques avaient du lui ternir ses émotions et tout le reste. La jeune femme se demandait ce qui s’aurait passé si jamais elle avait été avec le jeune homme tout le long de son voyage et de son éternité. Ils auraient été différents tout les deux et sans doute qu’ils auraient eux plein de petit enfants demi-dieux. Ou bien, elle lui aurait partagé son secret et lui aurait présenté sa mère, ainsi que son père. Mais la jeune femme se souvint qu’elle lui avait confié que ses parents étaient morts, un soir alors qu’elle pleurait de ne pouvoir vivre son amour avec lui. Le Templier lui avait demandé ce qu’elle avait et chercha une excuse et se fut cela, mais le jeune homme ne semblait pas réellement y croire. Il comprit plus tard ce qu’elle lui cachait n’était pas bien et contre les principes du Catéchisme… mais qu’es-ce qu’elle en avait à ciré de ce Dieu, alors qu’elle savait parfaitement que les hommes interprétait mal la venu de Jésus, un homme qu’elle avait croisé entre-temps, fils d’un des cousins de son Oncle Zeus. Il prêchait en fait le respect de tout être vivants, que les hommes n’avaient point besoin d’une église pour prier, qu’une pierre aurait amplement suffit à cela et il n’avait pas tord et le pauvre, il fut tuer de sang froid pour ses blasphèmes. Mais l’humain ne se rendait pas compte que s’était lui qui blasphémait le véritable but de la religion. Lui-même, Jésus, était amoureux de Marie Madeleine… Chaque histoire cachait une histoire d’amour…
- Edric… j’ai connu pire dans ma vie, crois-moi… et je serai là maintenant pour t’écouter agápi̱ mou (mon amour)…
Mais elle évita de lui spécifier qu’elle était déjà allée en enfer pour une mission que les Dieux lui avaient confié, enfin s’était plus une quête personnelle, mais les Dieux lui avaient permis d’y aller. La jeune femme désirait connaître des propriétés de d’autre plante pour ainsi donner à les siennes ce qui donnerait une grande résistance au feu. Pour l’instant, elle devait éviter de lui parler de ses origines, car elle savait qu’il pensait fièrement à son pathétique Dieu. Et donc, elle prit place à ses côtés, lui fit rappeler que l’on ne peut jamais rien décider avant, pas qu’elle avait envi de faire l’amour avec, mais l’on sait jamais comment finirait la soirée. Mais, elle devait avouer qu’être contre lui était la seule chose qu’elle souhaitait, à l’embrasser. Il semblait enfin comprendre qu’il n’était pas seul à avoir peur pour l’autre. Si cet endroit était si dangereux, il pensait quoi de la jeune femme ? Qu’elle allait rester là gentiment à attendre qu’il revienne comme dans le temps où elle devait jouer la sœur. Elle souhaitait sentir ses muscles de nouveau contre son corps, la protégeant de tout à nouveau. Jouer les demoiselles en détresse était quelque chose qu’elle aimait bien faire avec Edric, car elle savait que son code d’honneur l’empêcherait de la laisser crever et souffrir. Posant sa main sur son visage, suivit d’un baiser, elle put sentir son doux amant chavirer et faiblir à cela, ce qui la fit légèrement sourire. Il avait donc autant d’attirance pour elle que dans le temps. De plus, maintenant, ils n’auraient plus besoin d’avoir peur d’être surpris et de cacher leurs amours. Main sur son torse et l’autre sur le dos, elle caressait son dos et écoutait son cœur battre. Il lui affirma alors qu’elle l’avait de nouveau vaincu…
- Tu auras tout le temps qu’il te faut mon amour… disons que… af̱tó den eínai o chrónos pou mou leípei ... (ce n'est pas le temps qui me manque...) et j’espère que tu ne doute pas de mes capacités, sinon je vais devoir te punir, dit-elle en rigolant. Je sais que tu a besoin de temps, tu me la fais sentir. Et tu viens de le dire toi-même, je suis la personne la mieux placer pour savoir pourquoi tu agis de la sorte mon beau… et si tu préfère que je t’accompagne jusqu’à la fin des temps, je le ferai sans hésitation agápi̱ mou (mon amour). Je… je ne souhaite plus te quitter, plus jamais… je serais déchirer sinon… dit-elle en versant de nouveau quelques larmes sucré.
Il était maintenant hors de question qu’elle le quitte pour quel ce soit la raison. La déesse se laissa bercer contre son mortel adoré. Habituellement, un Dieu se devait d’aimer et copuler avec un autre Dieu ou bien une créature magique, mais la jeune femme était une rebelle de naissance, préférant trouver l’amour d’une autre façon. Elle ne pouvait dire à Edric qui elle était réellement, mais elle pourrait au moins lui apprendre d’autre chose sur elle, au cas où… Et alors Edric lui posa une question suivit de la réponse… Ses yeux pleurèrent de joua et de charme… il avait tellement les mots juste pour la séduire de nouveau… Et il leva son visage pour admiré ses yeux avant de l’embrasser, Elle posa alors sa main gauche sur son visage, qui possédait encore son gant celui la. Elle sentit alors des larmes venir d’Edric, ce qui la fit sourire… Mais si seulement il savait à quel point il avait raison de la surnommé ‘’ Ma déesse ‘’ …
- J’aime les hommes qui n’ont pas peur de montré leurs émotions à leurs dames… tu ma incroyablement manquer Edric… et je ne te quitterai plus jamais. Mais… je veux que tu sache ce que je suis, du moins en partie… je ne veux plus autant te mentir que je le fis dans le temps…
Elle quitta alors son étreinte, avec tristesse et une liane de rose jaillit du sol. Elle enleva son deuxième gant, qu’elle déposa sur un meuble avec l’autre et sa peau prit une couleur verdâtre avant de venir s’entailler la main. Mais au lieu d’un liquide rouge, ce fut un liquide transparent ayant une légère teinte vert très pâte qui tomba sur le sol. Elle ferma alors les yeux, ce concentrant sur la lumière qui les entourait et comme si elle était aspirer, la luminosité diminua pendant quelques secondes et la blessure se referma.
- Je ne suis pas humain Edric… je suis ce qui se rapproche le plus des plantes… si je ne mangeais que des légumes, s’était pas simplement pour garder un corps pure, mais aussi parce que je me nourris du soleil. Mon sang possède des capacités curatives que j’aurais tant voulu te faire boire pour ainsi faire disparaître toute forme de blessure. Ton corps ne serait alors pas aussi marqué par le temps… mais bon… à l’époque, ca n’aurait pas été long que je sois considéré comme étant une sorcière… Il y a tellement de chose que tu ignore sur le monde… mais je ne veux point t’en parler… car cela viendra en l’encontre de tes croyances.
Et elle posa alors sa main sur son visage et usa alors légèrement de ses spores pour lui montrer l’état euphorique qu’elle pouvait créer, mais elle annula immédiatement les effets…
- Je possède aussi des spores que je dégage de mes mains pour charmer, manipuler les gens… mais ne pense pas que je les ai utiliser sur toi… enfin si, un peu… tu dois sans doute te rappeler de certain rêves, au totale de cinq si ma mémoire est bonne, où tout deux l’on faisait l’amour… et bien… c’était ce pouvoir que j’utilisais… enfin…
Elle se tourna alors, honteuse, mais elle devait lui dire… et elle pleura alors…
- Je me sens tellement mal d’avoir ainsi usé mon pouvoir d’une façon si pervers… je… enfin… je ne veux pas que tu crois que l’amour que tu me porte est du à ce pouvoir, car je le déteste… malgré que parfois, il m’est utile. Tous les hommes que j’ai pu fréquenter, je n’ai jamais utilisé ce pouvoir, car j’adore les défis… mais… toi… tu es le seul qui à su réellement me charmer et ainsi faire battre mon cœur…
La jeune femme s’attendit alors à ce que Edric la déteste…
- Edric… j’ai connu pire dans ma vie, crois-moi… et je serai là maintenant pour t’écouter agápi̱ mou (mon amour)…
Mais elle évita de lui spécifier qu’elle était déjà allée en enfer pour une mission que les Dieux lui avaient confié, enfin s’était plus une quête personnelle, mais les Dieux lui avaient permis d’y aller. La jeune femme désirait connaître des propriétés de d’autre plante pour ainsi donner à les siennes ce qui donnerait une grande résistance au feu. Pour l’instant, elle devait éviter de lui parler de ses origines, car elle savait qu’il pensait fièrement à son pathétique Dieu. Et donc, elle prit place à ses côtés, lui fit rappeler que l’on ne peut jamais rien décider avant, pas qu’elle avait envi de faire l’amour avec, mais l’on sait jamais comment finirait la soirée. Mais, elle devait avouer qu’être contre lui était la seule chose qu’elle souhaitait, à l’embrasser. Il semblait enfin comprendre qu’il n’était pas seul à avoir peur pour l’autre. Si cet endroit était si dangereux, il pensait quoi de la jeune femme ? Qu’elle allait rester là gentiment à attendre qu’il revienne comme dans le temps où elle devait jouer la sœur. Elle souhaitait sentir ses muscles de nouveau contre son corps, la protégeant de tout à nouveau. Jouer les demoiselles en détresse était quelque chose qu’elle aimait bien faire avec Edric, car elle savait que son code d’honneur l’empêcherait de la laisser crever et souffrir. Posant sa main sur son visage, suivit d’un baiser, elle put sentir son doux amant chavirer et faiblir à cela, ce qui la fit légèrement sourire. Il avait donc autant d’attirance pour elle que dans le temps. De plus, maintenant, ils n’auraient plus besoin d’avoir peur d’être surpris et de cacher leurs amours. Main sur son torse et l’autre sur le dos, elle caressait son dos et écoutait son cœur battre. Il lui affirma alors qu’elle l’avait de nouveau vaincu…
- Tu auras tout le temps qu’il te faut mon amour… disons que… af̱tó den eínai o chrónos pou mou leípei ... (ce n'est pas le temps qui me manque...) et j’espère que tu ne doute pas de mes capacités, sinon je vais devoir te punir, dit-elle en rigolant. Je sais que tu a besoin de temps, tu me la fais sentir. Et tu viens de le dire toi-même, je suis la personne la mieux placer pour savoir pourquoi tu agis de la sorte mon beau… et si tu préfère que je t’accompagne jusqu’à la fin des temps, je le ferai sans hésitation agápi̱ mou (mon amour). Je… je ne souhaite plus te quitter, plus jamais… je serais déchirer sinon… dit-elle en versant de nouveau quelques larmes sucré.
Il était maintenant hors de question qu’elle le quitte pour quel ce soit la raison. La déesse se laissa bercer contre son mortel adoré. Habituellement, un Dieu se devait d’aimer et copuler avec un autre Dieu ou bien une créature magique, mais la jeune femme était une rebelle de naissance, préférant trouver l’amour d’une autre façon. Elle ne pouvait dire à Edric qui elle était réellement, mais elle pourrait au moins lui apprendre d’autre chose sur elle, au cas où… Et alors Edric lui posa une question suivit de la réponse… Ses yeux pleurèrent de joua et de charme… il avait tellement les mots juste pour la séduire de nouveau… Et il leva son visage pour admiré ses yeux avant de l’embrasser, Elle posa alors sa main gauche sur son visage, qui possédait encore son gant celui la. Elle sentit alors des larmes venir d’Edric, ce qui la fit sourire… Mais si seulement il savait à quel point il avait raison de la surnommé ‘’ Ma déesse ‘’ …
- J’aime les hommes qui n’ont pas peur de montré leurs émotions à leurs dames… tu ma incroyablement manquer Edric… et je ne te quitterai plus jamais. Mais… je veux que tu sache ce que je suis, du moins en partie… je ne veux plus autant te mentir que je le fis dans le temps…
Elle quitta alors son étreinte, avec tristesse et une liane de rose jaillit du sol. Elle enleva son deuxième gant, qu’elle déposa sur un meuble avec l’autre et sa peau prit une couleur verdâtre avant de venir s’entailler la main. Mais au lieu d’un liquide rouge, ce fut un liquide transparent ayant une légère teinte vert très pâte qui tomba sur le sol. Elle ferma alors les yeux, ce concentrant sur la lumière qui les entourait et comme si elle était aspirer, la luminosité diminua pendant quelques secondes et la blessure se referma.
- Je ne suis pas humain Edric… je suis ce qui se rapproche le plus des plantes… si je ne mangeais que des légumes, s’était pas simplement pour garder un corps pure, mais aussi parce que je me nourris du soleil. Mon sang possède des capacités curatives que j’aurais tant voulu te faire boire pour ainsi faire disparaître toute forme de blessure. Ton corps ne serait alors pas aussi marqué par le temps… mais bon… à l’époque, ca n’aurait pas été long que je sois considéré comme étant une sorcière… Il y a tellement de chose que tu ignore sur le monde… mais je ne veux point t’en parler… car cela viendra en l’encontre de tes croyances.
Et elle posa alors sa main sur son visage et usa alors légèrement de ses spores pour lui montrer l’état euphorique qu’elle pouvait créer, mais elle annula immédiatement les effets…
- Je possède aussi des spores que je dégage de mes mains pour charmer, manipuler les gens… mais ne pense pas que je les ai utiliser sur toi… enfin si, un peu… tu dois sans doute te rappeler de certain rêves, au totale de cinq si ma mémoire est bonne, où tout deux l’on faisait l’amour… et bien… c’était ce pouvoir que j’utilisais… enfin…
Elle se tourna alors, honteuse, mais elle devait lui dire… et elle pleura alors…
- Je me sens tellement mal d’avoir ainsi usé mon pouvoir d’une façon si pervers… je… enfin… je ne veux pas que tu crois que l’amour que tu me porte est du à ce pouvoir, car je le déteste… malgré que parfois, il m’est utile. Tous les hommes que j’ai pu fréquenter, je n’ai jamais utilisé ce pouvoir, car j’adore les défis… mais… toi… tu es le seul qui à su réellement me charmer et ainsi faire battre mon cœur…
La jeune femme s’attendit alors à ce que Edric la déteste…
Ivy Poison- Simple membre
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Dim 30 Jan - 0:14
Elle pouvait bien dire qu'elle aimait voir une homme pleurer, Edric trouvait que s'était plus tôt une marque de faiblesse. Enfin... s'était plus qu'il n'aimait pas qu'on le voit ainsi. Sûrement par orgueil. Il fallait avouer, lorsqu'il voulait, Edric était vraiment une tête de cochon. Elle fini cependant de se détacher de lui malgré qu'il aurait voulu qu'elle reste près de lui.... Comment, elle n'était pas humaine? Il la regarda perplexe alors mais figea lorsqu'il vit sa peau changer de couleur. Le Templier l'écoutait attentivement alors que son coeur ce sera dans sa poitrine mais le pire fut sûrement prit de panique lorsqu'elle lui révéla avec une démonstration son pouvoir de séduction. Ses fameux rêves.... s'était donc vrai... Il avait...
Edric ne se contenta de la fixer dans rien ajouter et attendit qu'elle termine. C'est vrai, si elle avait agit comme aujourd'hui, elle aurait été traiter de sorcière sans hésiter. S'était cruel ce qu'elle avait faire mais ce qui lui faisait faisait de plus de peine, c'est qu'elle ne lui avait rien dit... et si elle n'était pas humain, qu'est-ce qu'elle était au juste. Il croisa les bras et la fixa.
-... tu ne m'as jamais rien dit de tout ça...
Il se frotta les mains un moment la tête basse. Il ne savait vraiment plus ou ce donner la tête.
- Si tu n'es pas humaine, tu es quoi...?
Edric seva les yeux vers le ciel.
- Putin de Dieu... pourquoi tout doit être toujours aussi compliqué....
Edric ne se contenta de la fixer dans rien ajouter et attendit qu'elle termine. C'est vrai, si elle avait agit comme aujourd'hui, elle aurait été traiter de sorcière sans hésiter. S'était cruel ce qu'elle avait faire mais ce qui lui faisait faisait de plus de peine, c'est qu'elle ne lui avait rien dit... et si elle n'était pas humain, qu'est-ce qu'elle était au juste. Il croisa les bras et la fixa.
-... tu ne m'as jamais rien dit de tout ça...
Il se frotta les mains un moment la tête basse. Il ne savait vraiment plus ou ce donner la tête.
- Si tu n'es pas humaine, tu es quoi...?
Edric seva les yeux vers le ciel.
- Putin de Dieu... pourquoi tout doit être toujours aussi compliqué....
Edric De Molay- Chef des Solciers
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Dim 30 Jan - 0:55
Ivy ne pouvait rien lui dire dans le temps, même si elle l’aimait… Edric était encré dans ses propres valeurs et croyances dans le temps, comment aurait-elle put lui dire qu’elle était une déesse ? Une créature divine possédant des pouvoirs divins et que tout ce en quoi il croyait, était en fait fausser ? Comment la jeune femme aurait pu lui dire, alors qu’il ne cessait de dire qu’il devait privilégier ses valeurs et cacher aux Templiers leurs relation intime, qu’elle était une Nymphe, créature de la nature possédant ce pouvoir qu’elle usait à chaque fois qu’il avait besoin d’aide ! Et plus elle avançait sur ses paroles et plus elle remarquait à la fois la déception et la surprise. Il semblait aussi perplexe et très surpris de voir les révélations de la jeune femme. Elle-même se détestait en ce moment de lui avoir tant caché des choses sur elle, alors que lui avait été sincère avec elle de A à Z. La jeune femme ne voulait pas se torturer l’esprit, mais la présence d’Edric n’y aidait pas et lui révélé cela, sans avoir un seul commentaire positive sur ce quelle lui venait de dire ne l’aidait pas. Il semblait très perplexe sur le fait qu’elle ne lui ai rien dit…
- Et comment ? Je t’aurais révélé mes pouvoirs et qu’aurais-tu pensé alors ? Que j’étais qu’une sale sorcière qui avait usé de ses pouvoirs pour te charmer… ne me fais pas croire le contraire… je sais comment étaient les gens de cette époque ! Regarde… j’ai été brûlé sur le bucher simplement parce que j’avais demandé l’aide à la nature le soir où j’ai voulu sauver Antonin… ne me fais pas croire le contraire Edric… mets-toi à ma place Edric, juste deux secondes…
D’autres larmes vinrent perler ses joues, coulant de ses yeux. Elle était honteuse de ses actions et elle se laissa tomber et une fleur surgit du sol pour l’asseoir. Cela lui prenait beaucoup de courage pour lui dire la vérité sur son identité, surtout après tant d’année de mensonges. Mais la question que posa Edric figea la jeune femme sur place… qui était-elle réellement ? Allait-il la croire si elle lui disait ? Devrait-elle lui avouer ? Son esprit lui disait que non, qu’il fallait éviter a tout prix le rejet d’Edric… mais son cœur lui disait que oui mais elle ignorait quoi faire et donc, elle ferma les yeux…. Edric trouvait cette situation un peu plus compliquer, alors qu’elle ne l’était pas…
- Patéras ... Ti prépei na káno̱? (Père… que dois-je faire ?)
Et une voix apaisante résonna alors dans la tête de la jeune femme… s’était nul autre qu’Apollon qui venait en aide à sa fille, qu’il savait qu’elle avait besoin de son aide. Une étrange aura jaunâtre enroula la jeune femme, le temps que ce message soit entendu, ce qui put étonner énormément le jeune homme. Et le message était un peu plus claire…
-Afí̱ste ton eaf̱tó sas na kathodi̱geítai apó ti̱n kardiá sou, kóri̱ mou ... Tha prépei na tou po̱ ti̱n alí̱theia ... eán agapá me mia agápi̱ eilikriní̱s, tha apodechteí to poios pragmatiká eínai ... den afí̱nei kanéna fóvo katef̱thýnoun tis dráseis sas Ivy ... (Laisse-toi guider par ton coeur ma fille... Tu dois lui dire la vérité... s'il t'aime d'un amour sincère, il saura accepter qui tu es réellement... ne laisse plus la peur diriger tes actes Ivy...)
La jeune femme se releva alors fixant Edric…
- Je suis Fille d’Apollon et Déméter… Une Nymphe… Une Déesse…
- Et comment ? Je t’aurais révélé mes pouvoirs et qu’aurais-tu pensé alors ? Que j’étais qu’une sale sorcière qui avait usé de ses pouvoirs pour te charmer… ne me fais pas croire le contraire… je sais comment étaient les gens de cette époque ! Regarde… j’ai été brûlé sur le bucher simplement parce que j’avais demandé l’aide à la nature le soir où j’ai voulu sauver Antonin… ne me fais pas croire le contraire Edric… mets-toi à ma place Edric, juste deux secondes…
D’autres larmes vinrent perler ses joues, coulant de ses yeux. Elle était honteuse de ses actions et elle se laissa tomber et une fleur surgit du sol pour l’asseoir. Cela lui prenait beaucoup de courage pour lui dire la vérité sur son identité, surtout après tant d’année de mensonges. Mais la question que posa Edric figea la jeune femme sur place… qui était-elle réellement ? Allait-il la croire si elle lui disait ? Devrait-elle lui avouer ? Son esprit lui disait que non, qu’il fallait éviter a tout prix le rejet d’Edric… mais son cœur lui disait que oui mais elle ignorait quoi faire et donc, elle ferma les yeux…. Edric trouvait cette situation un peu plus compliquer, alors qu’elle ne l’était pas…
- Patéras ... Ti prépei na káno̱? (Père… que dois-je faire ?)
Et une voix apaisante résonna alors dans la tête de la jeune femme… s’était nul autre qu’Apollon qui venait en aide à sa fille, qu’il savait qu’elle avait besoin de son aide. Une étrange aura jaunâtre enroula la jeune femme, le temps que ce message soit entendu, ce qui put étonner énormément le jeune homme. Et le message était un peu plus claire…
-Afí̱ste ton eaf̱tó sas na kathodi̱geítai apó ti̱n kardiá sou, kóri̱ mou ... Tha prépei na tou po̱ ti̱n alí̱theia ... eán agapá me mia agápi̱ eilikriní̱s, tha apodechteí to poios pragmatiká eínai ... den afí̱nei kanéna fóvo katef̱thýnoun tis dráseis sas Ivy ... (Laisse-toi guider par ton coeur ma fille... Tu dois lui dire la vérité... s'il t'aime d'un amour sincère, il saura accepter qui tu es réellement... ne laisse plus la peur diriger tes actes Ivy...)
La jeune femme se releva alors fixant Edric…
- Je suis Fille d’Apollon et Déméter… Une Nymphe… Une Déesse…
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Dim 30 Jan - 3:06
Elle avait un point. Si elle lui avait révélé tout ça lorsqu'ils étaient ensemble, il y avait de très forte chance qu'il l'a prenne lui aussi pour une sorcière ou du moins, il se serait sérieusement mit à douter d'elle. Il était cependant blessé de ne pas l'avoir su avant. Lui qui avait toujours fait tout ce qu'il pouvait pour elle… enfin, tout mais discrètement. Il avait mit sa vie en jeu et son honneur pour pouvoir être avec elle. Edric la regarda sans faire de commentaire positif. Il avait mal au coeur de la voir ainsi aussi mal mais Edric resta assit sur son lit à observer la scène.
- Je comprends ce que tu ressente Ivy… mais toi, cherche à me comprendre un peu aussi. Je ne sais pas si tu me manipulais ou même encore si je suis sous ton emprise. Tu me dis que tu n'es pas humaine et tu me laisses comme ceci sans explication. Je suis supposé réagir comment moi dans cette histoire?
Il ne savait vraiment plus ou se donner de la tête. Premièrement, il était toujours sur le choc d'avoir retrouver Ivy et voilà maintenant qu'elle lui disait qu'elle était pas humaine, qu'elle lui faisait qu'elle ne pouvait rien dire pour ne pas lui faire perdre ses croyances et que s'était mieux ainsi. Non, le Templier voulait à tout prix savoir ce qui se passait. La déesse se laissa tomber au sol et Edric eut le coeur lourd de pas aller l'aider. Il ne lui avait même pas dit un seul mot doux. Il fallait le comprendre aussi. Il savait très bien que s'étai difficile pour Ivy mais de son côté, il ne savait vraiment plus si elle disait la vérité! Était-elle vraiment une sorcière? Non, ça, il refusait totalement de le croire. Pas après toutes ses années passé avec elle.
Ivy dit quelques mots alors dans une ancienne langue. Edric se rappela qu'elle avait tenter de lui apprendre mais d'avec les époques, il avait oublier le peut de chose qu'il savait sauf bien sur les petits mots doux qu'elle lui disait tout le temps. Un étrange lueur jaunâtre apparu et enroula la jeune femme. Cela étonna le chevalier qui ne comprenait pas ce qui ce passait et encore moi ce que cette… ''aura'' disait mais quoi qu'elle pu dire, il vit son amour ce relever et le fixa. Les mots qu'elle prononça par la suite fut comme un coup de massue. Il la regarda horrifié pendent plusieurs minutes mais le Templier ferma les yeux un moment pour remettre ses idées en place. Il cherchait dans ses souvenirs le moindre souvenir… la moindre petite faille qui aurait fait en sorte qu'il puisse savoir si elle le manipulait mais rien… sa tête lui faisait un mal de chien. Il ne pouvait pas croire que la personne avec qui il avait partagé assez souvent sa couche était une déesse mais son ami semblait tellement sérieuse qu'il ne pouvait que la croire… et peut-être comme un pauvre fou, il allait la croire… elle ne l''avait pas manipulé. Il ne voulait as le croire, ne pouvait pas le croire. Pas elle….. La pauvre semblait complètement désemparé. Il soupira et après plusieurs minutes de réflexion, il était prêt à lui répondre… il se laissa simplement guidé par son coeur…
- L'Amour est un jardin; Au milieu d'une roseraie; Où éclosent par milliers; Des trésors de beauté.; Il ne suffit pas de vouloir; Cueillir son bouquet!; Il faut trouver sa rose; Et se nourrir de sa pureté; La laisser s'épanouir; Par les caresses et les tendresses; Pour qu'elle s'offre toute entière; Sans envie de piquer….
Il s'approcha alors d'elle et la prit dans ses bras avant de l'embrasser tendrement. Il lui faudra surement du temps avant de vraiment accepter tout ça… mais il savait au fond de lui qu'il l'aimait par dessus tout et en ce moment… elle devait être en état de panique… lui aussi l'était un peu… une déesse… s'était sa déesse à lui et elle l'avait toujours été… et aujourd'hui, elle était revenue sur sa route… et il comprit qu'il avait autant besoin d'elle que elle…
- Je comprends ce que tu ressente Ivy… mais toi, cherche à me comprendre un peu aussi. Je ne sais pas si tu me manipulais ou même encore si je suis sous ton emprise. Tu me dis que tu n'es pas humaine et tu me laisses comme ceci sans explication. Je suis supposé réagir comment moi dans cette histoire?
Il ne savait vraiment plus ou se donner de la tête. Premièrement, il était toujours sur le choc d'avoir retrouver Ivy et voilà maintenant qu'elle lui disait qu'elle était pas humaine, qu'elle lui faisait qu'elle ne pouvait rien dire pour ne pas lui faire perdre ses croyances et que s'était mieux ainsi. Non, le Templier voulait à tout prix savoir ce qui se passait. La déesse se laissa tomber au sol et Edric eut le coeur lourd de pas aller l'aider. Il ne lui avait même pas dit un seul mot doux. Il fallait le comprendre aussi. Il savait très bien que s'étai difficile pour Ivy mais de son côté, il ne savait vraiment plus si elle disait la vérité! Était-elle vraiment une sorcière? Non, ça, il refusait totalement de le croire. Pas après toutes ses années passé avec elle.
Ivy dit quelques mots alors dans une ancienne langue. Edric se rappela qu'elle avait tenter de lui apprendre mais d'avec les époques, il avait oublier le peut de chose qu'il savait sauf bien sur les petits mots doux qu'elle lui disait tout le temps. Un étrange lueur jaunâtre apparu et enroula la jeune femme. Cela étonna le chevalier qui ne comprenait pas ce qui ce passait et encore moi ce que cette… ''aura'' disait mais quoi qu'elle pu dire, il vit son amour ce relever et le fixa. Les mots qu'elle prononça par la suite fut comme un coup de massue. Il la regarda horrifié pendent plusieurs minutes mais le Templier ferma les yeux un moment pour remettre ses idées en place. Il cherchait dans ses souvenirs le moindre souvenir… la moindre petite faille qui aurait fait en sorte qu'il puisse savoir si elle le manipulait mais rien… sa tête lui faisait un mal de chien. Il ne pouvait pas croire que la personne avec qui il avait partagé assez souvent sa couche était une déesse mais son ami semblait tellement sérieuse qu'il ne pouvait que la croire… et peut-être comme un pauvre fou, il allait la croire… elle ne l''avait pas manipulé. Il ne voulait as le croire, ne pouvait pas le croire. Pas elle….. La pauvre semblait complètement désemparé. Il soupira et après plusieurs minutes de réflexion, il était prêt à lui répondre… il se laissa simplement guidé par son coeur…
- L'Amour est un jardin; Au milieu d'une roseraie; Où éclosent par milliers; Des trésors de beauté.; Il ne suffit pas de vouloir; Cueillir son bouquet!; Il faut trouver sa rose; Et se nourrir de sa pureté; La laisser s'épanouir; Par les caresses et les tendresses; Pour qu'elle s'offre toute entière; Sans envie de piquer….
Il s'approcha alors d'elle et la prit dans ses bras avant de l'embrasser tendrement. Il lui faudra surement du temps avant de vraiment accepter tout ça… mais il savait au fond de lui qu'il l'aimait par dessus tout et en ce moment… elle devait être en état de panique… lui aussi l'était un peu… une déesse… s'était sa déesse à lui et elle l'avait toujours été… et aujourd'hui, elle était revenue sur sa route… et il comprit qu'il avait autant besoin d'elle que elle…
Edric De Molay- Chef des Solciers
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Dim 30 Jan - 3:53
Et cette fois s’était Edric qui avait raison, et la jeune femme ne pouvait qu’approuver le jeune homme. Comment avait-elle put lui être mystérieuse et hypocrite sur sa vie ? Mais il semblait oublier un point… et il venait lui-même de se tirer dans le pied sur ce sujet. Pourquoi ne lui avait-elle pas dit dans le temps ? Car justement, il aurait totalement douté de la jeune femme et ses valeurs hypocrites auraient eux raisons de lui et au final, leurs amours aurait fané et mourut et la déesse en serait morte. Mais Ivy commençait sincèrement en avoir marre des explications, de l’obstination … ne pouvaient-ils pas se blottir un contre l’autre et commencer à rattraper les siècles perdu…
- Justement Edric… tu doute de moi en ce moment … imagine une seconde comment cela aurait été au temps des Templiers, lorsque les valeurs du Catéchisme étaient bien plus présente ? Il est certain que tu n’aurais jamais cru en mon amour envers toi… et qu’au finale, tu m’aurais abandonné, car je sais que tu ne m’aurais jamais dénoncé… mais je sais que tu n’aurais jamais eu confiance en moi… JE te demande juste maintenant de me croire quand je t’ai dis que je n’ai jamais utilisé mes pouvoirs pour te charmer… je l’ai fais ces quelques fois pour créer un état euphorique pour ainsi m’unir à toi… c’est dur pour une femme comme moi qui a vécu des siècles avec des hommes de trouver un nouvel amour pour qui nous sommes prêts de nous brûle de passion mais n’y avoir qu’une simple relation platonique. Je ne suis pas une femme chaste…
Edric pouvait penser ce qu’il désirait de cette femme, mais s’était ce qu’elle était. Et la grande révélation fut fait, sous le conseille de son père qui désirait voir sa fille heureuse, tant que sa sœur ne l’était point, la pauvre était en Enfer avec Hadès… Et donc, la jeune femme s’attendit à être rejeter, pousser dehors, renier, bref, elle s’attendait à la pire réaction d’Edric, surtout par l’expression de son visage qu’il démontra, cela n’annonçait rien de bon. Des larmes perlèrent le visage de la jeune femme qui se disait que désormais, elle ne pourrait plus jamais vivre son amour avec Edric. Il ouvrit alors la bouche… et les paroles la clouèrent sur place… Il se leva et la prit dans ses bras pour l’embrasser tendrement. Elle leva ses mains et les posa sur sa nuque, prolongeant le baiser. Ses bras muscler la tenait comme pour la protégé et elle désirait répondre à cette magnifique phrase et donc, décolla leurs lèvres…
- Cette rose ne peu s’épanouir dans les mains d’un seul jardinier, car un seul saura s’occuper d’elle d’une façon qui la marquera. Elle fermera alors ses épices à cette unique et même personne… Je t’aime plus que tout Edric… et cela, ce n’est pas des mensonges ou une façon de te manipuler… je sais qu’il te faudra du temps pour accepter qui je suis réellement, mais… sache que je n’ai jamais eu besoin d’usé de mes pouvoirs pour te charmer… je l’ai fais naturellement et en prenant mon temps… l’amour est un sentiment que l’on doit apprivoiser par les caresses, la tendresse, la patience et l’ardeur. Usé de magie ne crée qu’un sentiment faux et vide…
Et elle posa ses lèvres sur les siennes, caressant sa nuque. Elle ne désirait qu’une chose, se blottir contre lui, mais la pour le moment, elle avait envie d’enlever ses vêtements qui commençaient à lui être pénible et donc, elle fixa Edric avant d’ouvrir la parole…
- Cela ne te dérange pas si… je me déshabille ?... j’aimerais bien enlever mon corset… mais si tu préfère garder une certaine pudeur, je saurais cacher ma nudité, en partie… mais si tu veux… tu peux le faire toi-même, hi !hi !hi !...
- Justement Edric… tu doute de moi en ce moment … imagine une seconde comment cela aurait été au temps des Templiers, lorsque les valeurs du Catéchisme étaient bien plus présente ? Il est certain que tu n’aurais jamais cru en mon amour envers toi… et qu’au finale, tu m’aurais abandonné, car je sais que tu ne m’aurais jamais dénoncé… mais je sais que tu n’aurais jamais eu confiance en moi… JE te demande juste maintenant de me croire quand je t’ai dis que je n’ai jamais utilisé mes pouvoirs pour te charmer… je l’ai fais ces quelques fois pour créer un état euphorique pour ainsi m’unir à toi… c’est dur pour une femme comme moi qui a vécu des siècles avec des hommes de trouver un nouvel amour pour qui nous sommes prêts de nous brûle de passion mais n’y avoir qu’une simple relation platonique. Je ne suis pas une femme chaste…
Edric pouvait penser ce qu’il désirait de cette femme, mais s’était ce qu’elle était. Et la grande révélation fut fait, sous le conseille de son père qui désirait voir sa fille heureuse, tant que sa sœur ne l’était point, la pauvre était en Enfer avec Hadès… Et donc, la jeune femme s’attendit à être rejeter, pousser dehors, renier, bref, elle s’attendait à la pire réaction d’Edric, surtout par l’expression de son visage qu’il démontra, cela n’annonçait rien de bon. Des larmes perlèrent le visage de la jeune femme qui se disait que désormais, elle ne pourrait plus jamais vivre son amour avec Edric. Il ouvrit alors la bouche… et les paroles la clouèrent sur place… Il se leva et la prit dans ses bras pour l’embrasser tendrement. Elle leva ses mains et les posa sur sa nuque, prolongeant le baiser. Ses bras muscler la tenait comme pour la protégé et elle désirait répondre à cette magnifique phrase et donc, décolla leurs lèvres…
- Cette rose ne peu s’épanouir dans les mains d’un seul jardinier, car un seul saura s’occuper d’elle d’une façon qui la marquera. Elle fermera alors ses épices à cette unique et même personne… Je t’aime plus que tout Edric… et cela, ce n’est pas des mensonges ou une façon de te manipuler… je sais qu’il te faudra du temps pour accepter qui je suis réellement, mais… sache que je n’ai jamais eu besoin d’usé de mes pouvoirs pour te charmer… je l’ai fais naturellement et en prenant mon temps… l’amour est un sentiment que l’on doit apprivoiser par les caresses, la tendresse, la patience et l’ardeur. Usé de magie ne crée qu’un sentiment faux et vide…
Et elle posa ses lèvres sur les siennes, caressant sa nuque. Elle ne désirait qu’une chose, se blottir contre lui, mais la pour le moment, elle avait envie d’enlever ses vêtements qui commençaient à lui être pénible et donc, elle fixa Edric avant d’ouvrir la parole…
- Cela ne te dérange pas si… je me déshabille ?... j’aimerais bien enlever mon corset… mais si tu préfère garder une certaine pudeur, je saurais cacher ma nudité, en partie… mais si tu veux… tu peux le faire toi-même, hi !hi !hi !...
Ivy Poison- Simple membre
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Dim 30 Jan - 14:07
Elle sembla ravit de ses parole et Edric ne pouvait s'empêcher de sourire. Elle était adorable. Comment ce faisait-il qu'il n'était pas aussi troubler par cette annonce… en fait non, il était terrifié qu'il se trouvait devant une déesse mais en même temps elle avait été son ami depuis plusieurs années et avait toujours été là pour l'aider, le soigner et l'aimer. Comment pouvait-il lui en vouloir longtemps? Était-ce parce qu'elle utilisait ses pouvoirs contre un simple mortel? Peut-être mais en ce moment, il s'en fichait. Elle était avec lui de nouveau et s'était tout ce qu'il pouvait espéré. Les paroles qu'elle lui dit par la suite fit battre encore plus son coeur qui était éteint depuis tellement longtemps… ça faisait presque mal. Lorsqu'elle lui dit demanda si elle pouvait se déshabiller, il trouva vraiment ça bizarre de ne pas devoir se demander si s'était une bonne ou une mauvaise idée et qu'ils n'avaient pas à faire attention de se faire prendre. Les temps avaient vraiment changé.
- Fait comme chez toi ma déesse, ce n'est pas comme si s'était la première fois que je te voix ainsi ma soeur!
Il avait vraiment envie de l'aider mais en même temps, il n'osait pas. C'est vrai… il y avait tellement d'information à magasiner dans sa tête en ce moment. Edric était souvent du rente à trop pensé. Toujours déchiré entre le bonheur et l'honneur. Le Templier s'approcha d'elle et l'embrassa tendrement. Arlequin avait raison, il était vraiment en train de couler dans la noirceur et n'était peut-être plus chevalier qu'il était mais il voulait se battre pour retrouver ses ardeurs d'autre fois et maintenant qu'il l'avait retrouver, il était encore plus motivé. Il voulait redevenir le petit chevalier protecteur qu'il était, un peu bouffon et avec ses petites blagues déplacés… comment pouvait-il vraiment redevenir cet homme qui l'avait charmé. Elle allait découvrir qu'il n'était plus le même avec les époques et allait peut-être le laisser… Non, ce n'était pas le moment de pensé ainsi! Il devait profiter du moment présent.
Le templier là laissa se déshabiller seule alors qui enlevait son chandail et ses pantalons en laissant simplement son sous-vêtement. On pouvait voir deux grande cicatrices encore fraiche qui avait presque coûté sa vie il n'y a pas si longtemps. l'une état dangereusement très proche du coeur alors que l'autre avait complètement perforer un de ses poumons. Il avait aussi plusieurs autres autres marque des grandes guerres alors que certaine vieille cicatrices avaient fini par disparaitre avec le temps. Il se coucha dans les couvertures et l'invita a le rejoindre. Il la prit dans ses bras avec tendresse et se colla contre elle. Il respira son parfum si pure qu'il l'avait vraiment manquer alors qu'il l'embrassa dans le bas du cou. Il était épuisé et toute cette journée était assez… impressionnante et pleine de surprise. Il ferma les yeux même s'il ne dormait pas.
- Fait comme chez toi ma déesse, ce n'est pas comme si s'était la première fois que je te voix ainsi ma soeur!
Il avait vraiment envie de l'aider mais en même temps, il n'osait pas. C'est vrai… il y avait tellement d'information à magasiner dans sa tête en ce moment. Edric était souvent du rente à trop pensé. Toujours déchiré entre le bonheur et l'honneur. Le Templier s'approcha d'elle et l'embrassa tendrement. Arlequin avait raison, il était vraiment en train de couler dans la noirceur et n'était peut-être plus chevalier qu'il était mais il voulait se battre pour retrouver ses ardeurs d'autre fois et maintenant qu'il l'avait retrouver, il était encore plus motivé. Il voulait redevenir le petit chevalier protecteur qu'il était, un peu bouffon et avec ses petites blagues déplacés… comment pouvait-il vraiment redevenir cet homme qui l'avait charmé. Elle allait découvrir qu'il n'était plus le même avec les époques et allait peut-être le laisser… Non, ce n'était pas le moment de pensé ainsi! Il devait profiter du moment présent.
Le templier là laissa se déshabiller seule alors qui enlevait son chandail et ses pantalons en laissant simplement son sous-vêtement. On pouvait voir deux grande cicatrices encore fraiche qui avait presque coûté sa vie il n'y a pas si longtemps. l'une état dangereusement très proche du coeur alors que l'autre avait complètement perforer un de ses poumons. Il avait aussi plusieurs autres autres marque des grandes guerres alors que certaine vieille cicatrices avaient fini par disparaitre avec le temps. Il se coucha dans les couvertures et l'invita a le rejoindre. Il la prit dans ses bras avec tendresse et se colla contre elle. Il respira son parfum si pure qu'il l'avait vraiment manquer alors qu'il l'embrassa dans le bas du cou. Il était épuisé et toute cette journée était assez… impressionnante et pleine de surprise. Il ferma les yeux même s'il ne dormait pas.
Edric De Molay- Chef des Solciers
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Dim 30 Jan - 14:30
Les choses semblaient enfin revenir à la normal, mais la jeune femme pouvait lire dans le regarde de son tendre amour qu’il n’était plus l’homme qu’il était autrefois, que les années l’avait marqué et elle ne pouvait s’en douter. Les humains étaient souvent plus marqués par le temps que les Dieux pouvaient l’être. Un siècle était rien pour la jeune femme, alors que pour Edric, cela devait être dure à assimilé et à encaisser. C’est vrai ! Elle avait plus d’un millénaire la jeune femme, en fait, elle avait même cessé de compter son âge depuis si longtemps, qu’elle ne pourrait lui révélé son âge. Du moins, elle savait qu’elle était née avant l’époque de Jésus, mais à savoir quand elle était née, s’était un véritable mystère pour elle. Peut-être plusieurs siècles avant ou bien, un millénaire. Tout cela n’était plus qu’un souvenir effacer par le temps. Au fond, Ivy aurait bien apprécié qu’Edric s’amuse à la dévêtir, mais en même temps, elle ignorait si elle se sentait prête de se donner de nouveau à lui. Et donc, sous son invitation, elle se déshabilla sans attendre, appréciant le regard que le Templier lui donnait en guise d’amour. Et il avait raison… il l’avait déjà vue nue, alors pourquoi cela la gênerait maintenant, principalement que dans le temps, il était encore encré dans ses valeurs chevaleresque.
- L’on sait jamais… je préfère demander par politesse…
Et a ce moment, Edric aurait été supposé lui laisser une petite blague de mauvais goût, mais il n’en fit rien. S’était ces blagues qui lui avaient mis puce à l’oreille dans le temps, savoir s’il possédait une attirance pour elle ou non. Les temps ont changé et donc, ils n’auraient plus besoin de se cacher de la vue des gens pour vivre leur amour en paix et tranquillité. Et ce fut alors Edric qui se déshabilla, exposant des blessures fraîches, ce qui fit de la peine à la jeune femme qui détestait voir son preux chevalier blesser et elle s’approcha alors de lui, touchant ces blessures et déposa un baiser. Elle monta la tête vers lui et dit :
- Je vois que tu n’as toujours pas appris à faire attention avec les années. Je vais devoir te punir tu sais… Mais tu es toujours aussi beau...
Et elle ria de bon cœur avant de suivre son amant, qui était toujours aussi attirant et excitant physiquement. Mais ce soir, elle voulait simplement se retrouver dans ses bras et pouvoir profiter de ses muscles saillant qui lui avait tant manqué, mais lorsqu’elle se retrouva contre lui, il vint à déposer ses lèvres pour embrasser le bas de son cou, ce qui fit gémir la jeune femme qui approcha un peu plus son corps d’Edric. Sa main gauche se posa sur son dos et le caressait descendant vers ses fesses, alors que son autre main se posa sur sa nuque, la caressant… comment cela allait finir ?
- L’on sait jamais… je préfère demander par politesse…
Et a ce moment, Edric aurait été supposé lui laisser une petite blague de mauvais goût, mais il n’en fit rien. S’était ces blagues qui lui avaient mis puce à l’oreille dans le temps, savoir s’il possédait une attirance pour elle ou non. Les temps ont changé et donc, ils n’auraient plus besoin de se cacher de la vue des gens pour vivre leur amour en paix et tranquillité. Et ce fut alors Edric qui se déshabilla, exposant des blessures fraîches, ce qui fit de la peine à la jeune femme qui détestait voir son preux chevalier blesser et elle s’approcha alors de lui, touchant ces blessures et déposa un baiser. Elle monta la tête vers lui et dit :
- Je vois que tu n’as toujours pas appris à faire attention avec les années. Je vais devoir te punir tu sais… Mais tu es toujours aussi beau...
Et elle ria de bon cœur avant de suivre son amant, qui était toujours aussi attirant et excitant physiquement. Mais ce soir, elle voulait simplement se retrouver dans ses bras et pouvoir profiter de ses muscles saillant qui lui avait tant manqué, mais lorsqu’elle se retrouva contre lui, il vint à déposer ses lèvres pour embrasser le bas de son cou, ce qui fit gémir la jeune femme qui approcha un peu plus son corps d’Edric. Sa main gauche se posa sur son dos et le caressait descendant vers ses fesses, alors que son autre main se posa sur sa nuque, la caressant… comment cela allait finir ?
Ivy Poison- Simple membre
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Edric De Molay Dim 30 Jan - 14:55
Elle lui reprocha de ne pas faire plus attention malgré les années qui avait passé. Il sourit lorsqu'elle lui dit qu'elle devra le punir.
- J'aimerais bien voir ça!...... Et toi tu es encore plus belle que dans mes souvenirs.
Il la sera contre lui en sentant ses caresses mais il ne pouvait pas se donner ainsi. Cela faisait si longtemps et il en avait vraiment envie surtout lorsqu'il sentait cette peau si douce sur sa peau mais il se contenta de la garder contre lui. Edric ferma les yeux savourant les caresses qu'elle lui faisait. Son coeur voulait lui sauter dessus mais il tentait de maitriser ses émotions. Pouvait-il vraiment se permettre de passer à l'acte...? Les dernières fois qu'il l'avait fait, il n'en était pas vraiment bien fière. Son côté bestiale de guerrier l'avait guider pendent quelques siècles et il avait perdu beaucoup de tendresse... dégouter par lui même il avait été en panne sèche depuis la deuxième guerre mondiale. Il ne voulait las la décevoir non plus...
-... chante moi ta mélodie mon ange... ta voix m'a tellement manqué...
Il ferma les yeux et caressa le dos de sa déesse alors qu'il l'embrassa de nouveau dans son cou. Il profitait de se moment. Tout son corps voulait la prendre mais Edric resta fermer. Il se disait qu'il devrait attendre...
- J'aimerais bien voir ça!...... Et toi tu es encore plus belle que dans mes souvenirs.
Il la sera contre lui en sentant ses caresses mais il ne pouvait pas se donner ainsi. Cela faisait si longtemps et il en avait vraiment envie surtout lorsqu'il sentait cette peau si douce sur sa peau mais il se contenta de la garder contre lui. Edric ferma les yeux savourant les caresses qu'elle lui faisait. Son coeur voulait lui sauter dessus mais il tentait de maitriser ses émotions. Pouvait-il vraiment se permettre de passer à l'acte...? Les dernières fois qu'il l'avait fait, il n'en était pas vraiment bien fière. Son côté bestiale de guerrier l'avait guider pendent quelques siècles et il avait perdu beaucoup de tendresse... dégouter par lui même il avait été en panne sèche depuis la deuxième guerre mondiale. Il ne voulait las la décevoir non plus...
-... chante moi ta mélodie mon ange... ta voix m'a tellement manqué...
Il ferma les yeux et caressa le dos de sa déesse alors qu'il l'embrassa de nouveau dans son cou. Il profitait de se moment. Tout son corps voulait la prendre mais Edric resta fermer. Il se disait qu'il devrait attendre...
Edric De Molay- Chef des Solciers
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Re: Une vieille connaissance... [PV Edric]
Ivy Poison Dim 30 Jan - 15:23
Autrefois, elle n’aurait pas su punir Edric à la façon des Nymphes, mais maintenant qu’il était au courant de son pouvoir, de son origine, elle pourrait le punir enfin amplement à sa façon. Mais sans doute pas ce soir.
- Hooo… je ne sais pas si tu aimeras… je n’ai jamais pu le faire a l’époque… mais maintenant que tu connais mon secret, je pourrai te montré ce que nous les Nymphes sommes capable… si enfin… tu veux redevenir mon amant…
La jeune femme lui sourit et alla le rejoindre dans le lit, collé contre son homme. Cela faisait tellement longtemps qu’ils ne s’étaient retrouver un avec l’autre. Et côté sexualité, cela faisait un minime d’un siècle qu’elle n’avait rien fait et donc, elle se sentait légèrement rouiller et ignorait si elle pourrait autant offrir du plaisir au templier qu’elle lui en offrait avant. Son corps désirait tant caresser, se faire caresser par Edric. Son corps désirait se faire prendre par l’homme qui était à ses côtés, mais l’esprit de la jeune femme désirait pour l’instant l’embrasser, profiter de ce petit moment de retrouvaille et contempler la plus belle chose sur la Terre à ses yeux, le seul humain qui méritait réellement qu’elle puisse ainsi autant s’ouvrir à lui. Malgré que ses mains se baladaient profitant de ce moment, la jeune femme sentit qu’Edric était un peu plus réticent. Et par conséquence, il lui demanda de lui chanter cette chanter cette mélodie qu’elle lui chantait toujours après avoir fait l’amour avec lui et donc, sans attendre, elle la chanta sans se prier.
‘’ Ypárchei mia forá í̱tan mia Theá, pou genní̱thi̱ke apó ti̱n éno̱si̱ tou Apóllo̱na kai ti̱s Dí̱mi̱tras
Af̱tí̱ i̱ gynaíka í̱tan éna apó ta omorfótera tou vasileíou tou, allá éprepe na akolouthí̱sei ti̱n Sátyros stous opoíous eíche anatetheí
Allá melaniasméno i̱ kardiá tou den í̱thele af̱tí̱ ti̱ zo̱í̱
Gia na xefýgei, pou katéstrepse to Sátyros, apelef̱theró̱nontas ti̱n adelfí̱ tou apó ta nýchia Nýmfes
I̱ kardiá tou í̱tan gemáti̱ me polloús ándres, ópo̱s o I̱raklí̱s, o patéras tou o Apóllo̱n, o Perséas, o Achilléas kai polloí ándres exakolouthoún na
Allá i̱ kardiá tou eíche móno mía pragmatikí̱ kai megáli̱ agápi̱ í̱tan af̱tí̱ enós Naoú ...
Apó mia apagorev̱méni̱ agápi̱, pou enó̱thi̱kan gia na kánoun mia pio
Kai pará ti̱n apagorev̱méni̱ agápi̱, ékapsan ta fterá tous mazí sti̱n aio̱nióti̱ta ...
Et elle lui chanta deux et puis une troisième fois… avant de finalement l’embrasser passionnément. Il l’avait tellement manqué, que son corps était littéralement contre celui d’Edric… il n’était pas difficile de savoir ce que la jeune femme désirait, mais elle gardait une réserve, au cas qu’elle recevrait un refus… Et elle eu alors une idée... Ses lèvres quittèrent le jeune homme et elle chanta... chanta la même mélodie, mais elle lui traduisit les paroles pour qu'il puisse enfin en comprendre le sens...
'' Il fut jadis une Déesse, née de l'union d'Apollon et de Déméter
Cette femme était une des plus jolie de son royaume, mais elle devait suivre le Satyre à qui elle fut confier
Mais son coeur meurtris ne désirait pas de cette vie
Pour fuir, elle détruit le Satyre, libérant ainsi ses soeurs Nymphes de l'emprise
Son coeur fut pris de bien des hommes tel qu'Héraclès, son père Apollon, Persée,Achille et bien des hommes encore
Mais son coeur connu un seul véritable et grand amour qui était celui d'un Templier...
D'un amour interdit, ils s'unirent ensemble pour ne faire plus qu'un
Et malgré cette amour interdit, ils brûlèrent leurs ailes ensembles dans l'éternité... ''
Et elle posa alors sa main sur son visage...
- Je t'ai toujours dis la vérité Edric... simplement... je ne le disais pas en Français... mais dans ma langue d'origine... croit ce que tu veux... mais je t'aime réellement... et si cela ne serais pas vrai... crois-tu que je serais ici en ce moment ?...
Et son corps se rapprocha énormément de celui d'Edric et elle devint alors plus insistante à travers ses baiser et ses mains qui se baladait sur son corps. Elle arriva même à amener le corps du Chevalier sur le sien pour être en dessous de lui elle le fixa. Il était clair de savoir ce qu'elle attendait de lui. Ses lèvres ne quittèrent pas sa bouche pendant plusieurs minutes jusqu'à ce qu'elle vint lui embrasser le cou pour venir lui mordiller son oreille...
- Hooo… je ne sais pas si tu aimeras… je n’ai jamais pu le faire a l’époque… mais maintenant que tu connais mon secret, je pourrai te montré ce que nous les Nymphes sommes capable… si enfin… tu veux redevenir mon amant…
La jeune femme lui sourit et alla le rejoindre dans le lit, collé contre son homme. Cela faisait tellement longtemps qu’ils ne s’étaient retrouver un avec l’autre. Et côté sexualité, cela faisait un minime d’un siècle qu’elle n’avait rien fait et donc, elle se sentait légèrement rouiller et ignorait si elle pourrait autant offrir du plaisir au templier qu’elle lui en offrait avant. Son corps désirait tant caresser, se faire caresser par Edric. Son corps désirait se faire prendre par l’homme qui était à ses côtés, mais l’esprit de la jeune femme désirait pour l’instant l’embrasser, profiter de ce petit moment de retrouvaille et contempler la plus belle chose sur la Terre à ses yeux, le seul humain qui méritait réellement qu’elle puisse ainsi autant s’ouvrir à lui. Malgré que ses mains se baladaient profitant de ce moment, la jeune femme sentit qu’Edric était un peu plus réticent. Et par conséquence, il lui demanda de lui chanter cette chanter cette mélodie qu’elle lui chantait toujours après avoir fait l’amour avec lui et donc, sans attendre, elle la chanta sans se prier.
‘’ Ypárchei mia forá í̱tan mia Theá, pou genní̱thi̱ke apó ti̱n éno̱si̱ tou Apóllo̱na kai ti̱s Dí̱mi̱tras
Af̱tí̱ i̱ gynaíka í̱tan éna apó ta omorfótera tou vasileíou tou, allá éprepe na akolouthí̱sei ti̱n Sátyros stous opoíous eíche anatetheí
Allá melaniasméno i̱ kardiá tou den í̱thele af̱tí̱ ti̱ zo̱í̱
Gia na xefýgei, pou katéstrepse to Sátyros, apelef̱theró̱nontas ti̱n adelfí̱ tou apó ta nýchia Nýmfes
I̱ kardiá tou í̱tan gemáti̱ me polloús ándres, ópo̱s o I̱raklí̱s, o patéras tou o Apóllo̱n, o Perséas, o Achilléas kai polloí ándres exakolouthoún na
Allá i̱ kardiá tou eíche móno mía pragmatikí̱ kai megáli̱ agápi̱ í̱tan af̱tí̱ enós Naoú ...
Apó mia apagorev̱méni̱ agápi̱, pou enó̱thi̱kan gia na kánoun mia pio
Kai pará ti̱n apagorev̱méni̱ agápi̱, ékapsan ta fterá tous mazí sti̱n aio̱nióti̱ta ...
Et elle lui chanta deux et puis une troisième fois… avant de finalement l’embrasser passionnément. Il l’avait tellement manqué, que son corps était littéralement contre celui d’Edric… il n’était pas difficile de savoir ce que la jeune femme désirait, mais elle gardait une réserve, au cas qu’elle recevrait un refus… Et elle eu alors une idée... Ses lèvres quittèrent le jeune homme et elle chanta... chanta la même mélodie, mais elle lui traduisit les paroles pour qu'il puisse enfin en comprendre le sens...
'' Il fut jadis une Déesse, née de l'union d'Apollon et de Déméter
Cette femme était une des plus jolie de son royaume, mais elle devait suivre le Satyre à qui elle fut confier
Mais son coeur meurtris ne désirait pas de cette vie
Pour fuir, elle détruit le Satyre, libérant ainsi ses soeurs Nymphes de l'emprise
Son coeur fut pris de bien des hommes tel qu'Héraclès, son père Apollon, Persée,Achille et bien des hommes encore
Mais son coeur connu un seul véritable et grand amour qui était celui d'un Templier...
D'un amour interdit, ils s'unirent ensemble pour ne faire plus qu'un
Et malgré cette amour interdit, ils brûlèrent leurs ailes ensembles dans l'éternité... ''
Et elle posa alors sa main sur son visage...
- Je t'ai toujours dis la vérité Edric... simplement... je ne le disais pas en Français... mais dans ma langue d'origine... croit ce que tu veux... mais je t'aime réellement... et si cela ne serais pas vrai... crois-tu que je serais ici en ce moment ?...
Et son corps se rapprocha énormément de celui d'Edric et elle devint alors plus insistante à travers ses baiser et ses mains qui se baladait sur son corps. Elle arriva même à amener le corps du Chevalier sur le sien pour être en dessous de lui elle le fixa. Il était clair de savoir ce qu'elle attendait de lui. Ses lèvres ne quittèrent pas sa bouche pendant plusieurs minutes jusqu'à ce qu'elle vint lui embrasser le cou pour venir lui mordiller son oreille...
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